Catherine de Médicis

Henri est placé par sécurité à Montargis sous la protection de Renée de France. Après la guerre et le décès de son père, il est retenu à la cour comme garant de l'entente entre la monarchie et la reine de Navarre. Jeanne d'Albret obtient de Catherine de Médicis le contrôle de son éducation et sa nomination comme gouverneur de Guyenne (1563)[5]. De 1564 à 1566, il accompagne la famille royale durant son grand tour de France et retrouve à cette occasion sa mère qu'il n'avait pas revue depuis deux

Saints), et ils lisent quotidiennement la Bible. Les protestants sont beaucoup plus exigeant sur le devoir que les catholiques. La France est majoritairement catholique. Les protestants vont casser les statues de Marie et des Saints. En1572, Catherine de Médicis et Charles IX veulent la paix avec les protestants → mariage entre Marguerite de Valois (catholique) et Henri de Navarre (chef des protestants). C’est l’union catholique et protestante, le mariage est imposé. La nuit du 24 août, on massacre

de François de Guise massacrèrent des protestants aux cris de «  tue, tue, mort Dieu, tue ces huguenots ». Pris d’effroi, les protestants entreprirent aussitôt de répondre à cette violence en prenant la ville de Tours. En 1562, la catholique Catherine de Médicis profita de la mort de Guise afin de faire passer l’Edit d’Ambroise qui garantissait la liberté de conscience. On a donc affaire à deux courants catholiques : le royale qui essaie tant bien que mal de maintenir la paix dans le royaume en donnant

assez « vif » pour le précéder, et celle-ci ne manque pas de réussir sa tâche et d’ainsi acquérir un grand pouvoir sur lui, et l’assurance de rester à la cour. Il en est de même pour le vidame de Chartres, qui grâce à sa liaison avec la reine Catherine de Médicis, se voit attribuer plus de pouvoir au sein de la société. D’ailleurs cette dernière ne se leurre pas sur les véritables motivations du vidame, elle lui dit même, que si une passion entre eux avait lieu, elle ne manquerait pas de grandir sa

Henri est placé par sécurité à Montargis sous la protection de Renée de France. Après la guerre et le décès de son père, il est retenu à la cour comme garant de l'entente entre la monarchie et la reine de Navarre. Jeanne d'Albret obtient de Catherine de Médicis le contrôle de son éducation et sa nomination comme gouverneur de Guyenne (1563)[7]. De 1564 à 1566, il accompagne la famille royale durant son grand tour de France et retrouve à cette occasion sa mère qu'il n'avait pas revue depuis deux

se venger, faire condamner a mort leur rival principal, Louis de Condé. => mais la mort de Francois II va le sauver. La régence en attendant que Charles IX soit en age de gouverner est assurée par Catherine de Medicis qui est beaucoup plus tolérante et qui va gracier Louis de Condé. Catherine de Medicis tente de mener un politique de tolérance et elle fait reunir un grand colloque en 1561 a Poissy pour tenter de trouver un terrain d'entente entre protestants et catholiques. Mais c'est jsutement a

visiter le château le 3 avril 1548, date à laquelle la suite des travaux lui est confiée. C'est ainsi qu'une grande partie du château actuel voit le jour, dont la salle de bal. C'est à Fontainebleau que naissent les enfants de Henri II et de Catherine de Médicis, les futurs rois François II (19 janvier 1544) et Henri III (19 septembre 1551) ainsi qu'Élisabeth de France (2 avril 1545), Claude de France (12 novembre 1547), Louis de France (3 février 1549), François d'Alençon (18 mars 1555) et les jumelles

L’intrigue : Pour renforcer la France, Catherine de Médicis, sa mère, Marguerite de Valois, sœur du roi Charles IX, la marie de force au protestant Henri de Navarre, futur roi Henri IV. Mais le massacre de la Saint-Barthélemy est là qui s'annonce. Il n'empêche : la reine Margot va connaître l'amour avec un autre huguenot, le seigneur de La Môle. Une guerre de religion fait rage entre les catholiques et les protestants, afin d’imposer la paix à un mariage forcé, Catherine maintient sont derrière le scène

janvier 1515. Est sacré à Reims le 25 janvier 1515. Remporte l'éclatante victoire de Marignan le 14 septembre 1515 et se fait armer chevalier par Bayard. Meurt d'une fistule tuberculeuse et de syphilis le 25 janvier 1547. Régence (1552) : Catherine de Médicis, épouse d'Henri II, à la guerre. 62 Henri II (31 mars 1519, Saint-Germain-en-Laye – 10 juillet 1559, Paris) mort à 40 ans 1547 – 1559 Valois-Angoulême Devient roi de France à la mort de son père FrançoisIer, le 25 janvier 1547. Est

humaniste. Malgré cela, il y a des conflits entre protestants et catholique, car son entourage professionnel, ses ministres, sont contre sa tolérance face aux protestants. Henri II, son successeur, durcit la répression. Suite à sa mort prématurée, Catherine de Médicis devient régente du pays. C'est une femme diabolique et elle a comme but de limiter le nombre de protestant en France. Elle échoue car, au contraire, le protestantisme atteint toutes les classes sociales de la société française, même la cour