Catherine II

catholiques et protestants. Le 18 août 1572, Le chef politique des protestants Henri de Navarre se marie avec la fille de Catherine de Médicis et soeur du roi Charles VI. Depuis plusieurs mois, le chef militaire des protestants Gaspard de Coligny tente de convaincre le roi d’envahir les possessions espagoles mais, le duc de Guise chef militaire catholique ne veut pas de cette guerre. Catherine de Médicis se range du coté des catholiques. Cette dernière décide d’éliminer tous les chefs Protestants dans l’idée

pour son épouse Catherine Briconnet. Les Bohier semblaient alors vouloir transformer tout le logis des Marques, ils ont finalement changé d’avis, ils gardèrent le donjon, un puit et rasèrent tout le reste. Après la mort de ses propriétaires, Chenonceau devient propriété royale en 1535. En 1547, Le roi Henri II l’offre à sa favorite Diane de Poitiers. A la mort du roi, la reine Catherine de Médicis oblige celle-ci à lui céder le château en échange de celui de Chaumont-sur-Loire. Catherine fait aménager

évènement-rupture ? Dans son essai La Saint-Barthélémy, les mystères d'un crime d'Etat, Arlette Jouanna évoque une anecdote tout à fait étrange. Elle raconte l'histoire d'un jeune protestant, Geoffroy, qui, ayant parvenu à fuir le massacre, écrit à Catherine de Médicis. Le motif qui l'a poussé à écrire ne manque pas de surprendre : il voulait se justifier de son départ précipité au matin du 24 Août et de ne pas avoir eu le temps de "bayser très-humblement les mayns" de leur majestés ! Cette anecdote

sur une terrible guerre civile. Les premières persécutions contre ceux qui adhèrent aux idées nouvelles commencent dans les années 15201. Mais il faut attendre les années 1540 et 1550, pour voir le développement des clivages. À la fin du règne d'Henri II, le conflit se politise. Les guerres de religion commencent en 1562et se poursuivent entrecoupées de périodes de paix jusqu'en 1598, avec la mise en place de l'Édit de Nantes. Les guerres de religion trouvent un prolongement aux XVIIe (siège de La Rochelle

Clèves - Madame de La Fayette L'histoire : Anti-copie - Résumé et fiche de lecture - La princesse de Clèves - Madame de La Fayette En cette fin du règne de Henri II, la cour de France brille d’un éclat insurpassable. Autour du roi, de sa favorite Mme de Valentinois (titre porté par Diane de Poitiers) que tolère la reine Catherine de Médicis, toute une humanité d’élite vit dans une fête perpétuelle. Une galerie de rois et de princes s’offre à nous, parmi lesquels se détachent le prince de Clèves

biche, qui est tout le temps présente a ses côtés, et pourtant ses flèches la visent. Elle est représentée le plus souvent aux côtés d'animaux sauvages et de troupe de nymphes. Ainsi la Diane a l'arc d'Or est également nommée la Dame des Fauves. II / Analyse politique Le "bain de Diane" de François Clouet, représente de façon symbolique, Diane de Poitiers. C’est une peinture réalisée par François Clouet. C’est une huile sur bois de 136 cm sur 196 cm datant de 1555 environ. Cette œuvre est

pacifiction fait moi d'août 1570 jusques au regne de Henry troisième". Etant protestant, il fui la France par crainte d'une repression catholique. Il se réfugie donc à Genève en 1566. Le roi de France actuel est alors Charles IX, fils de Henry II et de Catherine de Médicis. Durant tout son règne, il n'aura de cesse que d'essayer de maintenir la paix dans son royaume, et de maintenir une stabilité politique e éviter tout conflit religieux entre les catholiques et les protestants. Paradoxalemment, il

chambre du roi). Il est alors obligé de réagir. Ces affiches nient la transsubtantation notamment. L'opposition a l'Eglise est marquée. Il est obligée de manifester sa foi catholique. => un durciseement des relations. La repression va commencer. Henri II, fis de Francois Ier, succède au trône. Il laisse se developper l'influence des Guise. Dans l'Edit de Chateaubriand (1551), il annonce clairement sa repression. Pour lui, les protestants nuisent a l'odre public. L'autorité du roi est eprouvée. 1560

roman écrit par Marie-Madeleine de La Fayette en 1678. Il est considéré comme le premier véritable roman français. L'histoire : En cette fin du règne de Henri II, la cour de France brille d’un éclat insurpassable. Autour du roi, de sa favorite Mme de Valentinois (titre porté par Diane de Poitiers) que tolère la reine Catherine de Médicis, toute une humanité d’élite vit dans une fête perpétuelle. Une galerie de rois et de princes s’offre à nous, parmi lesquels se détachent le prince de Clèves

l’hôtel trouve d’un coté la cour et de l’autre le jardin. Ceci existe notamment grâce à Francois 1er qui faisait alors vendre des batiments (hôtel st Paul). Il instaure la division des lotissements et surtout la création de rue. Le prieuré Ste Catherine de Laval (abbaye cistercienne) vend lui aussi une partie de ses territoires par lotissements. Nombreux sont ceux qui viennent du parlement de Paris. Jacques de Ligneris par exemple a acheté vingt-et-un lotissements et en construit cinq au