Catholicisme

L’ingénu retrace l’actualité du siècle des lumières. Nous étudierons un passage du chapitre 9 qui correspond à l’arrivée à la cour de Versailles d’un jeune Huron en provenance de Bretagne. Amoureux de Melle de St Yves, il s’est pour elle converti au catholicisme, cette dernière étant devenue sa marraine, il ne peut plus la demander en mariage, c’est pourquoi, il décide de demander justice au roi. En outre, ayant combattu les anglais, il espère avoir la récompense pour ses exploits guerriers. Le penseur

succès du baroque sont encouragés par l’Église catholique romaine[->0] quand elle décide que le côté théâtral du style des artistes du baroque pouvait promouvoir des thèmes religieux avec une implication directe et émotionnelle. C’est un art du catholicisme tel qu'il fut défini en 1545-1563 par le concile de Trente[->1]. C’est une esthétique de la Contre-Réforme[->2]. Dans les arts, le baroque se traduit par le gout du mouvement, des contrastes et de l'hyperbole. L'exuberance des formes se repand

Arnauld dans lequel il soutient que l’eucharistie ne peut être permise qu’à ceux qui en sont dignes ; qu’il faut l’attendre et s’y préparer longtemps, et ne s’en approcher qu’avec une sorte de crainte. Cet ouvrage est le manifeste d’une conception du catholicisme, morale autant que doctrinale, qui rencontre très vite un assentiment extraordinaire. Le centre du jansénisme a été le monastère féminin de Port-Royal. Pour connaître l’histoire du jansénisme, il faut étudier Port-Royal. En fait tout se borne

convaincre les chrétiens des erreurs de la religion catholique. Cette œuvre supporte un discours engagé. A- Le catholicisme est vivement critiqué : • Partie droite de la gravure : - Le pape amasse des pièces d'or → le seul but de l’Église est de s'enrichir - Les moines apparaissent comme occupés à manger et à jouer - Le diable souffle à un moine (sur une chaire) le contenu de la messe → le catholicisme du véritable dogme. - Inutilité des processions, des pèlerinages et de l'extrême onction. = Cette façon

ralliés sont dépassés en nombre par les réfractaires à la République, qui s’expriment de manière puissante dans leurs journaux à l’image de La Croix, L’Autorité, Libre Parole, La Gazette du Français. Cependant l’émergence d’un catholicisme social, ou du courant du catholicisme bleu favorable à la République apparaît comme une « révolution » dans le paysage clérical français des années 1890, puisque pour la première fois, une quantité relativement importante d’électeurs catholiques français se rallient

la déchristianisation et de l'anti-cléricalisme. Dans les villes, les fidèles sont traités de la même manière que les réfractaires à la démocratie. Plus personne ne va à la messe, on assiste à une décroissance de la foi. Dans les campagnes, le catholicisme est abandonné au profit des superstitions, on ne célèbre plus que les baptêmes, les mariages et les enterrement, plus par habitude que par croyance. Il y a une profusion de Saints divers cencés protéger les habitants. Face à la baisse de fréquentation

CONTEXTE HISTORIQUE : Une guerre oppose les catholiques, qui est le courant officiel, au courant novateur : les protestants. A la fin du 15ème siècle, certains intellectuels remettent en cause le catholicisme, et oriente ainsi vers la réforme, et plus tard vers les protestants. A la tête du pays gouverne un roi catholique. Puis vint un roi trop jeune pour gouverner, c'est sa mère qui prend la couronne à sa place (Régence). Pour essayer de réconcilier les catholiques et les protestants, elle fait

notamment de ceux qui font la guerre. Il critique l’idéologie de l’héroïsme. « Héroïsme » / « Affreux ». Voltaire est littéralement sidéré par l’implication de la religion dans la guerre, implication qui s’explique par les liens que le pouvoir et le catholicisme entretiennent à cette époque, l’un renforçant le pouvoir de l’autre. La désignation des religieux est polémique : « harangueurs », « ces gens-là », « misérables médecins des âmes », « philosophes moralistes ». Le champ lexical de la religion est

logique et cet un peu comme certain raisonnement du philosophe Pangloss les raisons invoquées pour chaque condamnation : on note la disproportion entre la châtiment (la mort) et le chef d'accusation : non respect d'une pratique imposée par le catholicisme, retour à des pratiques traditionnelles pour deux Portugais issus du Judaïsme, propos prétendument dangereux tenus par Pangloss, attitude simplement attentive du disciple. L'horreur du châtiment et le caractère spectaculaire donné à la cérémonie

l'autre[3]. » Il faut donc chercher dans le jansénisme non pas une doctrine figée et défendue par des partisans facilement identifiables et revendiquant un système de pensée, mais plutôt les développements mouvants et divers d'une partie du catholicisme français et européen à l'époque moderne[4].