Caton d'Utique

rencontrer de résistance, et ajoute à ses forces les trois légions que Pompée avait commencé à lever. Pompée récupère des troupes à Capoue, et se replie sur Brindisi d’où il écrit à tous les gouverneurs de provinces de mobiliser contre César. Les consuls, Caton, Bibulus et même les sénateurs modérés comme Cicéron fuient en hâte, rejoignent Pompée à Brindisi et s’embarquent pour Dyrrachium en Épire[78]. Sans flotte, César ne peut les poursuivre. Pendant les quelques jours qu’il passe à Rome, il rassure les

ami Manlius, laissant à ses partisans le soin de chercher la complicité des Allobroges (tribu gauloise de la province de Narbonnaise). Ceux-ci refusèrent et avertirent même les autorités romaines. Cinq conjurés furent arrêtés. Sur proposition de Caton d'Utique et malgré les réserves formulées par César, ceux-ci furent exécutés sans procès, sur base du senatus consultum ultimum (pleins pouvoirs) accordé au Consul le 22 octobre -63, procédé dont la légalité est encore aujourd'hui discutée et qui valut

Mithridate , qui s'était révolté (c'est à cette occasion qu'il écrivit au Sénat ces mots célèbres : Veni vidi vici) ; puis il se rend en Afrique, où il détruit à la bataille de Thapsus l'armée républicaine que commandaient Metellus scipion et Caton d'Utique en 46 av. J.-C.. De là César se rend en Espagne où il bat le jeune Pompée à la bataille de Munda et ce qui achève d'anéantir le parti pompéien. Pendant la guerre civile, bien qu'éloigné de Rome, César correspond avec ses partisans et fait entreprendre

il accepte les choses dont elle sait qu'elles ne sont pas évitables, accepter sa douleur, son destin. Caton le jeune (arrière petit fils de Caton l'ancien) : contemporain de césar et de Pompée qui était un farouche républicain. Il menait une vie austère, il a bien vu que César l’emportait dans ces guerres civiles et instaurait une dictature, il a combattu césar, il a été vaincu. Réaction de Caton : il a pris cette défaite comme un élément malheureux, une souffrance très grande et un évènement inévitable

La mort de Caton d'Utique par Jean-Paul Laurens 1/Savoir situer dans le temps, dans l'histoire une œuvre et son auteur : Jean-Paul Laurens est un peintre français né en 1838 à Fourquevaux et mort en 1921 à Paris. Enfant illettré n'ayant jamais fréquenté les bancs de l'école il commence à dessiner sur les murs de l'unique chambre de la maison de son père, paysan. A 13 ans des peintres italiens passent dans son village pour restaurer l'église et remarquent ses peintures et lui proposent de repartir

au IIIe siècle avant notre ère, a consigné dans un traité d'agronomie en vingt huit volumes l'essentiel du savoir de son époque sur la vinification. Cet ouvrage, rédigé, semble-t-il, avec l'aide de Denys d'Utique, fut suivi d'un abrégé en six volumes dû à Diophane de Bithynie. Caton l'Ancien à Rome (234–149), puis Varron (116–27) font état de ce travail considérable qui inspira aussi Pline l'Ancien et Columelle. C'est dire à la fois l'importance et l'antériorité du vignoble carthaginois. Toutefois

Bibliographie Caton laissa en mourant un grand nombre de discours, j’ai regroupé certains d’entre eux (les plus connus et desquels nous avons pu recueillir des informations). -Les origines (Origines), en sept livres, de la fondation de Rome jusqu'à la préture de Ser. Galba, vainqueur de la Lusitanie. Il ne nous en reste que quelques passages (135 au total) cités par Denys d'Halicarnasse, Aulu-Gelle, Pline l'Ancien et quelques autres auteurs postérieurs. Le 1er livre renfermait l’histoire de

troisième guerre punique:149-146 av. J.-C. Cinquante ans après sa douloureuse défaite dans la deuxième guerre punique, Carthage est de nouveau prospère. Réduite à son seul territoire tunisien, elle impressionne Caton l'Ancien, un sénateur romain envoyé en ambassade. Revenu à Rome, Caton conclut tous ses discours par la formule : « Il faut détruire Carthage ». Pour pouvoir y parvenir, Rome pousse Massinissa, le roi de Numidie, à attaquer Carthage. Pour se défendre, Carthage ne demande pas l'avis

......................................................................................... Introduction « La province de Sicile se destine à devenir le grenier à blé du peuple romain » selon Caton l'Ancien (234-149 avant Jésus-Christ). Ce texte est un extrait du Tome II, livre 3 des Verrines, écrit par Cicéron en 70 avant Jésus-Christ. Les Verrines peuvent se considérer comme un corpus qui regroupe toute la plaidoirie en plusieurs discours

avait pour langue maternelle l'osque ; comme tous les habitants du sud de la péninsule italienne (la Grande-Grèce), il parle aussi couramment le grec, et assimile le Latin sans doute très jeune. Il suit d'abord la carrière militaire, puis suit à Rome Caton L'Ancien, qui a remarqué ses talents d'écrivain. Il y enseigne les lettres grecques et latines et se concilie l'estime et la faveur des plus grands personnages : il est l'ami des Scpions. Nous n'avons plus que des fragments de ces œuvres, citations