Cauchemar En Gris

est mis en évidence , en avant ; il représente le diable .Il porte une couronne de laurier comme les rois du Moyen-Age . Il est entouré de sorcières qui lui donne en offrandes des enfants morts. nous voyons des couleurs plutot froides comme : - le gris qui représente la tristesse , la solitude , la monotonie .... -le noir qui représente les ténébres,la mort , le vide , l’obscurité .... -le blanc qui représente la pureté , l’innocence , la lumière.... Mais nous voyons aussi des couleurs chaudes: -le

avec enthousiasme dans l’armée allemande. Il devient mitrailleur et combat en France notamment durant la bataille de la Somme. Il obtient la croix de fer mais est traumatisé par les horreurs de la guerre dont il a été témoin au point d’en faire des cauchemars dans lesquels il rampe dans des maisons en ruine. A la fin de la guerre, Otto quitte Gera pour Dresde ou il commence à adopter l’expressionisme et le collage. Il décide de peindre les horreurs de la guerre, notamment des « gueules cassées » les

monsieur Hamil avec qui il aborde les sagesses de la vie. Les prostituées déposent leurs enfants(moise, banania,michel et momo) chez madame rosa et verse en contrepartie un mandat.Momo par besoin d'affection demande un chien .Il vole un petit caniche gris qu'il appelle Super pour revoir sa mère. Chapitre 3 et 4: Momo s'attache à Super, son chien. Il le donne pourtant parce qu'il allait pas le rendre heureux à une dame riche dont il reçoit en échange 500 francs qu'il jette dans une bouche d'égout.Madame

son vieil ami, l'abbé Maucombe. La nuit, le baron Xavier fait un affreux cauchemar : Un prêtre, coiffé de son tricorne, lui tend un grand manteau noir en fixant les yeux blûlants sur le baron. Le lendemain, il doit repartir à Paris à cause de ses affaires. Comme il avait oublié son manteau, l'abbé lui prête le sien sur le chemin de la gare. Le baron s'effraie de la conformité de cette scène avec celle du cauchemar. Quelques jours plus tard, il apprend que l'abbé, enveloppé dans son manteau

le spectateur et l'oeuvre. Ces dimensions, ce sont aussi celles des grands retables exécutés au XVI° siècle, notamment le Retable d'Issenheim de GRÜNEWALD (1512-1516). c) Couleurs et lumières La gamme chromatique de l'oeuvre s'articule autour du gris bleuté et des bruns dont les nuances vont de la couleur froide à la couleur chaude. Les panneaux latéraux sont de dominante froide, et la chaleur s'inscrit à l'arrière plan dans le feu du ciel menaçant le matin (panneau de gauche), tumultueux le

épaules, il faut s’enivrer sans trêve. De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous !» - Le Spleen de Paris «A chaque minute nous sommes écrasés par l'idée et la sensation du temps. Et il n'y a que deux moyens pour échapper à ce cauchemar : le plaisir et le travail. Le plaisir nous use. Le travail nous fortifie. Choisissons.» [ Charles Baudelaire ] - Hygiène Le Dr Camille Laurin (Charlemagne, 6 mai 1922 - Vaudreuil-Dorion 11 mars 1999) était un psychiatre et un homme politique

Hamil, avec qui il aborde les sagesses de la vie. Les prostituées déposent leurs mômes (Moïse, Banania, Michel, Momo) chez Madame Rosa et versent, en contrepartie, un mandat. Momo, par besoin d’affection, demande un chien. Il vole un petit caniche gris qu’il appelle Super. Chapitres 3 et 4 Momo s’attache à Super. Il le donne pourtant à une dame riche dont il reçoit, en échange, 500 francs qu’il jette dans une bouche d’égout. Madame Rosa, s’inquiétant de cette « crise de colère », se demande s’il

qui n’aide d’aucune façon à l’histoire, elle est présente, mais on ne l’a connaît pas, on apprend à la connaître lors de son départ, pour finalement avoir l’impression qu’elle n’est là que pour boucher des trous. La fin tourne véritablement au cauchemar parce qu’il n’y a aucune cohésion, on surprend la servante au lit avec le fils de Charles avant de voir cette dernière faire de même avec Faulque, et ce, durant que l’agente immobilière fait une visite guidée de la maison à un couple. Durant tout

enchanté, métamorphosé. Tous les arbres étaient gris, le reste aussi, si bien que la jeune fille, malgré ses efforts, ne reconnut pas le grand chêne qui marquait la bifurcation qu’elle devait emprunter et continuait toujours de s'enfoncer dans les bois. Elle avait beau plisser les yeux et scruter les environs, tout se ressemblait, rien n’était identifiable. Le soleil lui-même était caché. Tout cela était si étrange que le Petit Chaperon Rouge crut à un cauchemar, elle

symbole de l’alitement, mais aussi, divan du psychanalyste. Une première lecture du tableau qui nous plonge dans le mystère Lorsque nous observons ce tableau, nous remarquons tout d’abord l’obscurité des couleurs. En effet, le marron, le noir et le gris envahissent l’œuvre et nous plongent dans une peinture particulièrement sombre. Seules quelques touches de blancs, ainsi que la peinture beige éclairent quelque peu le tableau. La réunion de ces couleurs particulièrement froides et obscures nous font