Cauchemar Verlaine

Plan de commentaire:  - la femme sujet d'inspiration du poète :  Si dans le poème précédent "Mon rêve familier", Verlaine nous faisait entrer dans l'intimité de son rêve, le rêve devient ici un hideux cauchemar et l'étrange femme vue en rêve devient ici celui d'une grâce consolante, une grande sœur que le poète n'a jamais eue. C'est une femme gracieuse, au regard doux, romantique, avec de grands yeux dans lesquels on perçoit le rire ou les larmes. C'est une femme honnête, sincère, qui a une âme

GUIDE DE LECTURE DE POEME :VERLAINE, POEMES SATURNIENS, 1866 | Connaissance de l’œuvre intégrale. 1 ) Le titre du recueil « Poèmes saturniens » choisi par Verlaine évoque les astres, en particulier Saturne, qui renvoie à l’influence fatale et au poids de la mélancolie que les astrologues associaient jadis à cette planète mais aussi au dieu romain du temps, Chronos. La définition faite à cette époque de cette planète était : « planète froide et malfaisante

Le premier poème que j’ai choisi est intitulé ″NEVERMORE″ est tiré de la section Melancholia des Poèmes Saturniens, premier recueil poétique publié par Verlaine en 1866. La section Melancholia est dédiée à Ernest Boutier (cet ami qui avait introduit Verlaine chez Alphonse Lemerre.) Nous allons tout d’abord définir le nom du poème et celui de sa section, son étymologie, afin de mieux le comprendre, le ressentir… Melancholia est un mot latin, transcrit du grec μελαγχολία (melankholía) composé

,Le cauchemar de Fussli (1741-1821) Le peintre Johann Heinrich Füssli, réalisa The Nightmare en 1781 . Il mesure 101,6 cm sur 127,7 cm , il conservé Detroit Institute of Arts Il en existe différentes versions : 3 tableaux ont été créés, tous sur la même base de ce cauchemar. Le premier fut peint en 1781, et les deux autres versions en 1790. Füssli est le premier peintre à s’intéressé au phénomène du cauchemar . Le tableau traite de l’interprétation des cauchemards. Le mot  » Cauchemar  » trouve

Le cauchemar dans l'art 5 documents (pp.100-101) « Le Cauchemar », Füssli « Le Sommeil de la raison engendre des monstres », Goya « Le Cauchemar », Thivier « Le Poème de l'âme: le cauchemar », Janmot « Cauchemar », Verlaine Problématique: Comment représenter le phénomène abstrait qu'est le cauchemar ? A. Le tableau de Füssli Femme rêvant et contenu de son cauchemar sont dépeints incube (démon) et cheval appartiennent au folklore de l'époque concernant les cauchemars Description

pluriel de soleils indique que le paysage n'est pas à prendre au pied de la lettre, il s'agit d'un paysage rêvé, reflet d'un état d'âme. Le poème s'articule autour d'une double thématique, celle du rêve, vers 4 à 8 et celle beaucoup plus longue des cauchemars, vers 9 à 16. I-La tentation du paradis perdu - Le rythme et les sonorités d'une berceuse. Les 8 premiers vers se déroulent selon un schéma grammatical limpide, sujet, verbe, complément avec un parallélisme de construction entre les deux phrases

est douillet. Nous avons relevé les enjeux suivants : -les différents conforts : Dans le poème de Rimbaud le wagon est confortable, mais l’extérieur est presque un cauchemar : « Avec des coussins bleus. » ; « des démons noirs et de loups noirs ». Tandis que dans le poème de Verlaine le confort se trouve dans la pensée de Verlaine, et pas dans le wagon qui avance brutalement : « wagon brutal » ; « blanche vision ; pur pivot » -l’indifférence: Dans la dernière strophe on remarque que le personnage

ainsi que les cauchemars sont des phénomènes que tout les hommes ou du moins la majorité ont en commun, et qui intrigue depuis la nuit des temps l’humanité entière. Plus particulièrement, le cauchemar à toujours suscité de nombreuses questions de par l’étrangeté de son contenu mais aussi et sur tout de part l’impact émotionnel et quelque fois physique qui y est associé. Résultant généralement d’un grand stresse ou d’un conflit qui serait survenu au cours de la journée, les cauchemars sont une lecture

    VERLAINE (1844-1896) : Mon rêve familier 1866 je fais souvent ce rêve étrange et pénétrantD'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aimeEt qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la mêmeNi tout à fait une autre, et m'aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon cœur, transparent Pour elle seule, hélas ! cesse d'être un problèmePour elle seule, et les moiteurs de mon front blême,Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant. Est-elle brune, blonde ou rousse ? - je

cavalier de Verlaine n’est-il pas autrement plus effrayant que l’allégorie de la Faucheuse dans « Mors » de Victor Hugo ? Le lugubre défilé de fantômes de Queneau ne représente-t-il pas une menace plus redoutable que la voiture pourtant bien réelle qui s’est arrêtée de justesse lorsque vous avez traversé la route en sortant de chez vous ce matin ? On est plus souvent effrayé par un cauchemar que par la pensée de la Mort. La Mort n’est pas l’égale du Rêve, mais son esclave. A côté de ces cauchemars qui nous