Caudebec-en-Caux

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vers la mer. Le mascaret de la Seine était exceptionnel puisqu’il pouvait atteindre 4m au milieu du fleuve et jusqu’à 7m sur les berges ! Il y a eu plusieurs autres mascarets exceptionnels tel que celui qui s’est produit le 8 Avril 1958 à Caudebec-en-Caux. L’extrait de journal ci-dessous retrace cet évènement: « L’heureuse conjonction d’un mascaret particulièrement spectaculaire s’est traduite, dimanche matin, par une affluence de curieux sur les bords de Seine, dépassant les prévisions les plus

septembre, elle et son mari s'embarquent pour une promenade en bateau à voile en compagnie de Pierre Vacquerie et du neveu de Charles. Lors de l’embarcation, ils chargent des pierres sur le bateau pour le lester. Ils se rendent chez un notaire à Caudebec-en-Caux, à trois ou quatre kilomètres en amont et pendant le retour, un coup de vent renverse le bateau ; Léopoldine qui ne sait pas nager, s'agrippe au bateau, mais finit par être emportée, et son mari, excellent nageur est noyé également, sans qu'on

la Seine. Ce service (gratuit pour les seino-marins) fonctionne de 4H30 à 22H30 la semaine avec une pause méridienne de 1H00 entre 12H30 et 13H30. Les Pont Les ponts les plus proches permettant de traverser la Seine sont le pont de Brotonne à Caudebec-en-Caux et le pont Gustave-Flaubert à Rouen. Ces deux ponts sont situés à environ 20 Km de Duclair, ensuite il faut prendre la D982. Conclusion : Duclair par ses moyens d’accès contraignants et limités, peut-être qualifié de commune rurale enclavé

Communauté de communes Caux Vallée de Seine Plan de la communauté de communes Caux Vallée de Seine I/ Historique La communauté de communes Caux Vallée de Seine est née officiellement le 1er janvier 2008 de la la fusion des communautés de communes de Bolbec, de Caudebec-en-Caux/Brotonne et de Port-Jérôme. Cette fusion est décidé après une réunion des maires et des conseillers municipaux des 3 anciennes communautés de communes le 12 avril 2006 et en mars 2007 les trois communautés de communes

(Guezennec et al, 1999). Figure 1. Carte du bassin versant de la Seine (Dupont, 2001) b. La géologie Les méandres du fleuve s’inscrivent dans la bordure ouest du Bassin Parisien (figure 2). Le fleuve correspond à la limite le sud du Pays de Caux (Bessineton et al, 1996) . Le bassin versant continental de la Seine et de ses affluents draine une grande partie du bassin de Paris, formé de terrains crayeux datés du Crétacé. En périphérie, les formations traversées correspondent aux assises calcaires

Église Notre-Dame de Caudebec-en-Caux La clef de voûte de la chapelle de la Vierge, mesurant 4,5 m et pesant 7 tonnes. Façade de l’église Saint Vulfran d’Abbeville, voir gable EGLISE SAINT ETIENNE DE TOUL Palais Jacques-Cœur à BOURGES FACADE POSTERIEURE DU Palais Jacques-Cœur à BOURGES (ressemble à une forteresse) au dessous Voûte gothique de l'escalier L'Hôtel de Cluny était le lieu de résidence des abbés, enseignants du Collège de Cluny, puis des nonces apostoliques et de particuliers

Ce recueil est également un hommage à sa fille Léopoldine Hugo, morte noyée. Elle et son mari décèdent accidentellement le 4 septembre 1843 d'un voyage en barque avec un oncle et un cousin de son mari. Leur barque chavire sur la Seine entre Caudebec-en-Caux et Villequier et les quatre passagers se noient, ils sont inhumés à Villequier. Partie 3 Les Contemplations Je choisirai ces images pour la nouvelle couverture

janvier 1844 lorsque Flaubert, séjournant chez son père à Rouen, découvre dans une brève période à la fois les vitraux de la cathédrale de Rouen représentant la légende de Julien l'Hospitalier et une statuette en pierre du saint dans l'église de Caudebec-en-Caux[1]. Par ailleurs, Flaubert a eu pour maitre de dessin le graveur rouennais, Hyacinthe Langlois qui publia un Essai historique et descriptif sur la peinture sur verre dans lequel il s'attache particulièrement aux vitraux de la Vie de saint Julien

costume régional en Normandie commence très tôt au regard de la chronologie de l’histoire des costumes régionaux en France. Dès 1730, les normandes se distinguent par le port d’un bonnet, dit « bonnet cauchois », exclusivement porté dans le pays de Caux. La fin du costume régional normand se situe dans la seconde moitié du XIXe siècle, avec l’abandon des grandes coiffes au profit de coiffes plus petites et plus pratiques. C’est donc dans cette période allant de 1785 à 1850, que le costume populaire