Cavalerie

spécifiquement les détournements de fonds opérés par les dirigeants de sociétés commerciales (SA, SARL, SAS).  La cavalerie est un processus financier où de nouveaux emprunts servent sans cesse à rembourser les emprunts antérieurs. Le système s'écroule lorsque l'emprunteur n'obtient pas le Nième prêt : il sait alors qu'il ne pourra pas rembourser l'emprunt précédent. La cavalerie est une tentation pour des acteurs économiques au départ honnêtes mais confrontés à des difficultés qu'ils croient passagères

Derville, […] « -Monsieur, lui dit Derville, à qui ai-je l’honneur de parler ? -Au colonel Chabert -Lequel ? -Celui qui est mort à Eylau », répondit le vieillard. […] « Monsieur, dit le défunt, peut-être savez-vous que je commandais un régiment de cavalerie à Eylau. J'ai été pour beaucoup dans le succès de la célèbre charge que fit Murat, et qui décida le gain de la bataille. Malheureusement pour moi, ma mort est un fait historique consigné dans les Victoires et Conquêtes, où elle est rapportée en détail

n’apparurent qu’avec la démocratie, et que leur importance date des mesures par lesquelles Éphialte priva l’Aréopage de la plus grande partie de ses attributions. Hippeis : ceux qui pouvaient entretenir un cheval et de ce fait servaient dans la cavalerie. Hoplites : fantassin lourdement armé qui combat au sein de la phalange. L’équipement de l’hoplite : casque à cimier, cuirasse de bronze, ceinture, jambières, lance d’estoc et bouclier à double poignée.Liturgies : Certaines fonctions étaient remplies

d'une femme, Sophonisbe, il allait reconquérir un royaume, celui de ses ancêtres et annexer celui de ses ennemis. Massinissa, fils de Gaïa est né en – 238 avant JC à Dougga. Elevé et instruit à Carthage, il se fait remarquer à la tête de la fameuse cavalerie numide en Espagne, lors des guerres puniques qui opposent alors Rome et Carthage. Il accède au pouvoir à l’âge de 36 ans, grâce à une alliance avec Rome et en perdant l’amour de sa vie, la carthaginoise Sophonisbe. Son règne durera 52 ans, une longévité

pas réformes proposées. 1 – Armée spécialisée Armée spécialisée dès le début empire ottoman, avec unités différenciées, spécialistes d’armes différentes et de combats à des vitesses différentes. Cavaleries, cavaliers avec élites habitué à la course rapide et au combat (les Sipahi, crème de la cavalerie. Infanterie divisé en unité spécialisé et unité d’élite = janissaires. Artillerie qui au 16ème s est la plus puissante d’Europe. Une flotte qui se développe et assimile innovation techno des autres

tente d'arrêter l'armée macédonienne sur les rives du Granique (mai 334), fleuve de la Propontide. Malgré l'obligation de traverser le fleuve et d'escalader une rive escarpée, les Macédoniens mettent les Perses en fuite après une ardente mêlée de cavalerie où Alexandre manque d'être tué à plusieurs reprises. Alexandre s'emploie ensuite à conquérir toute la région côtière afin d'empêcher les Perses de s'en servir comme base pour envahir la Grèce. C'est ainsi qu'il libère un certain nombre de villes

connus, les gaulois utilisaient de simples galets, ainsi que des balles ovoïdes en terre cuite d’un diamètre allant jusqu’à 10 cm. Le javelot : C’est l’arme de jet par excellence des troupes légères que l’on retrouve dans la cavalerie ou l’infanterie. Sa fonction, à l’instar du pilum romain, n’est pas nécessairement de porter un tir fatal à l’ennemi mais de le harceler. L’action des tirailleurs va être avant tout de déstabiliser les lignes ennemies, de fragiliser ou d’entraver

qu’un but, les persuader de mettre de côté leur différents historiques avec les thébains et de conclure un accord contre les Macédoniens. Il proposa que tous les hommes en âge de combattre rejoignent immédiatement les rangs de l’infanterie et de la cavalerie et s’avancent jusqu'à Eleusis, sur la route de Thèbes. Tandis que dix envoyés et les stratèges se rendraient à Thèbes avec les pleins pouvoirs afin de négocier un pacte et de décider des mesures militaire pour bloquer Philippe II. L’assemblée soutient

porta ses efforts sur la Catalogne qu'il envahit après l'avoir assiégé à trois reprises en 1640, en 1641 et en 1642 et finalement prit la forteresse de Salses. Mais l'échec des tercios espagnols s'ajouta à la bataille de Rocroi en 1643 où, si la cavalerie pouvait s'enfuir, l'infanterie était capturée et pouvait même être massacrée. À nouveau vaincu, en particulier à la bataille des Dunes en 1658, Philippe IV fut poussé à la paix. Sur la période 1635-1648, la France s'est attaqué aux forces espagnoles

des usurpations multiples, Ingénuus et Régalien en occident (260), Macrien, ses fils et Ballista en Orient (260-261), Piso, Valens, sénateurs affectés dans les Balkans (261). grâce à son énergie et à celle d'Auréolus, son dux equitum (chef de la cavalerie), il put se débarasser de ces compétiteurs. En même temps, l'Empire était assailli de toutes parts et Gallien dut se résigner à tolérer momentanément les sécessions de Postumus en Gaule et d'Odénath à Palmyre, qui n'étaient pas toutefois dirigées