Cavalerie

consacre une grande partie de son récit à la guerre entre Guillaume et Harold et donc il y a beaucoup de combats. Elle ne permet pas de comprendre les stratégies militaires de l’époque, mais elle montre que la force principale des conquérants était une cavalerie lourde alors que les Anglais étaient des fantassins. Les seules armes défensives qui apparaissent sont le casque, le haubert et le bouclier. Les casques présents sur quasiment tous les combattants provoquent l’étonnement car ils devaient être à l’époque

l'audace lui semblaient plus critiques que les techniques. Du moins, elles convenaient plus à son caractère. Il croyait encore à l'audace et à l'élan vital. Patton était un as du polo et de la discipline. Patton a passé l'entre deux guerres dans la cavalerie. Féru d'histoire militaire, il avait inventorié presque toutes les batailles depuis l'antiquité. Il pensait que les armes avaient fait rarement la différence. La leçon de la grande guerre a pourtant été que la technique est primordiale. C'est pourquoi

1812. Amateur d'arts et passionné d'Italie où il effectua de nombreux séjours, il écrivit d'abord des essais esthétiques sous son vrai nom comme L'Histoire de la peinture (début 1817), mais c'est sous le pseudonyme de « M. de Stendhal, officier de cavalerie » qu'il publia Rome, Naples, Florence en septembre 1817[4]. Ce nom de plume est inspiré d'une ville d'Allemagne « Stendal », lieu de naissance de l'historien d'art et archéologue renommé à l'époque Johann Joachim Winckelmann, mais surtout proche

avaient la boxe, lutte, pancrace (pankration), pentathlon et la cours de char. Ensuite, pour les romains ils avaient une course de char qui consistais a sautant à l’extérieur du char et dis resauter à l’intérieur du char, il bataille d’infanterie et cavalerie, lancé du javelot et plusieurs autres jeux. Pour la suite, il à la procession de péplos l’offrande est un vêtement tissé par les Érastine et teint dans le curcuma. Cette cérémonie compte environ 360 personnes. Ce texte vous a informé sur les trois

supposées d’Arthur à son usage intensif de la cavalerie, or à cette époque le gros des troupes étaient composé d’infanterie. Un bon usage de la cavalerie, arme très coûteuse, a sans doute permis à certains chefs de guerre de remporter des victoires décisives. On peut imaginer une aristocratie guerrière bardée de mailles et de cuir qui servira de modèle à la chevalerie médiévale, Les Bretons restèrent par ailleurs célèbres pour leur usage de la cavalerie au cours de leur conflit contre les Francs sur

« Anna et son orchestre » de J.Joffo Lexique COSAQUE : 1) soldat d’un corps de cavalerie russe recruté parmi les populations des steppes 2) homme dur, brutal ; à la cosaque : brutalement GHETTO (étym : mot italien désignant au XVIè s le quartier juif de Venise) 1) quartier d’une ville où les juifs étaient tenus de résider 2) endroit où une minorité est séparée du reste de la société (à New-York, Harlem est un ghetto noir) POGROM (étym : du russe « po » : entièrement et

volant et brûlant des villages entiers d'Amérindiens, notamment à Wounded Knee en 1890, à Sand Creek, Whashita river ... La principale défaite des soldats américains eut lieu en 1876 à Little Big Horn, dans un affrontement entre le septième de cavalerie et une union de tribus sioux et cheyennes. Les Indiens perdirent 26 hommes, contre plus de 200 pour les tuniques bleues. Le général George Armstrong Custer, commandant le régiment, y trouva également la mort. Ce fut la dernière victoire des cavaliers

régions parvinrent à conserver une certaine indépendance, (Naples, la Calabre) et la Sicile continuèrent à relever de l'Empire byzantin. Les troupes passèrent progressivement de l’infanterie à la cavalerie lourde, cuirassée ou servaient les grands seigneurs. Le fer de lance de l’armée était donc la cavalerie qui était employé massivement et était redoutable lors des offensives. Au fur et à mesure de ses acquisitions, Charlemagne était parvenu à organiser en Occident un grand territoire, plus continental

des boeufs ou bien par des mules. Ils constituent les impedimenta, le train de l'armée. Au III°-IV° siècle, on compte un chariot pour seize soldats, soit deux chambrées, ce qui correspond à 725 chariots par légion, sans compter les besoins de la cavalerie, ni ceux des officiers. Le train est considérablement grossi par les bagages personnels du général en chef de l'armée, qui peut être l'empereur en personne, et ceux des officiers supérieurs. Même en campagne, ils s'entourent d'un cadre de vie luxueux

l'Ethiopie! Si l'on donnait aux fourmis l'intelligence de l'homme, ne partageraient-elles pas aussi l'aire d'une grange en cent provinces? Quand vous vous serez élevé à cette hauteur, chaque fois que vous verrez des armées marcher enseignes déployées, la cavalerie tantôt se portant à l'avant-garde, tantôt se répandant sur les ailes, comme si tout cela était chose sérieuse, vous pourrez dire avec le poête « Dans les champs se répand la noirâtre phalange ; » ce sont, des évolutions de fourmis, qui se donnent