Cavour

forêt des livres, Révélation 2005 o Louis Guilloux, 2006 2 Cosme OROU LOGOUMA logcosme@yahoo.fr o Montalembert, 2006 (catégorie premier roman de femme) o René Fallet, 2006 o Bernard Palyssy, 2006 o L’excellence camerounaise, 2007 o Grinzane Cavour (catégorie premier roman étranger), 2008. Contours du jour qui vient quant à lui a reçu le prix Goncourt des lycéens en 2006. Au printemps 2008, elle publie dans la Collection Etonnants Classiques aux Éditions Flammarion, cinq nouvelles titrées Afropean

développement des nationalismes débouche sur la création de deux nouveaux Etats. En Prusse, Guillaume Ier et son chancelier Bismarck ont conservé une Constitution et un Parlement. Au Piémont-Sardaigne, Victor-Emmanuel II et le président du Conseil Cavour partagent le pouvoir avec un Parlement. La situation économique de la Prusse et du Piémont-Sardaigne en font deux pôles d’attraction pour la bourgeoisie libérale et industrielle allemande et italienne. Seconde moitié du XIXe, la Prusse et le Piémont-Sardaigne

L’Allemagne réalise son unité en 1871 sous l’impulsion de son plus grand royaume, la Prusse grâce à Bismarck. Le 2ème Reich est proclamé et le roi de Prusse devient empereur d’Allemagne (Guillaume II). En Italie, le ministre du royaume de Piedmont-Sardaigne Cavour, et le républicain Garibaldi, avec le soutien de la France, unifient eux aussi la péninsule en 1870. L’Italie devient un royaume. 2) 1871-1914 : les nationalismes déstabilisent l’Europe. Après 1871, les nations entrent dans l’engrenage de la

Wenzel von Metternich (Coblence 1773 - Vienne 1859). Louis Auguste Victor de Ghaisne, comte de Bourmont (1773-1846), Ministre de la Guerre, Commandant en chef l'armée d'expédition d'Afrique (11 avril 1830), maréchal de France Camillo Benso, comte de Cavour (Turin 1810 - Turin 1861), principal artisan de l'unité italienne. L’Europe : On peut dire que le XIXe siècle est le siècle de l'Europe. Après les guerres de la Révolution française 1792-1799 et les guerres de l'épopée napoléonienne 1799-1815

pour assassiner Napoléon III. L’assassin est exécuté. Il voulait le punir de n’avoir rien fait pour l’Italie qui est divisée et veut la réunification. Napoléon III est très proche de l’Italie. Du coup la France aide l’unité italienne, il rencontre Cavour à Plombière en 58. En Piémont Sardaigne ils ont besoin de la France pour chasser les Autrichiens. La France est d’accord et entre en guerre d’Italie en 1859 avec la bataille de Magenta et la bataille de Solférino.  Nap III est épouvanté par les

d’Orsini (janvier 1858) — attentat qui débouche sur l’instauration momentanée de la « loi de sûreté générale » et sur un durcissement du régime —, se penche sur la question de l’unification italienne. Favorable à une confédération italienne, il promet à Cavour son soutien lors de l’entrevue de Plombières (juillet 1858), en échange du rattachement de Nice et de la Savoie à la France. Peu après la défaite des Autrichiens au terme de la campagne d’Italie, la France annexe les deux territoires convoités, mais

territoires pontificaux. D'autre part, car il défend cette cause des nationalités. En effet, il déclare vouloir libérer l'Italie « Des alpes à l'adriatique ». Les conflits auront lieu en quelques mois en 1859. Suite à un traité secret avec le compte de Cavour du Royaume du Piémont-Sardaigne, Napoléon III s'engage à récupérer les terres de l'Autriche en contre partie de la Savoie et de Nice. Les troupes Franco-Sardes mettent à mal les troupes Autrichiennes à Palestro, Magenta, Solférino et à San Martino

de ses pairs. 38.  C’est que l’unification de ces 2 pays se réalise toujours grâce à une forte personnalité ( personnage ) et un état qui prend le dessus ( état ).   Ainsi donc, pour L’unification Italienne, on peut dire que le personnage était Cavour et l’état le Piémont.   De même, pour l’Allemagne, on peut dire que le personnage était Brismack et l’état La prusse.   C’est à chaque fois un personnage important avec un état prêt à combattre qui rendent cette unification possible.

l'Armistice de Villafranca qui met fin à la campagne d'Italie, laissant ainsi la Vénétie autrichienne. N'ayant pas rempli ses obligations, Cavour refuse de céder la Savoie et Nice à la France. Toutefois, la défaite de l'Autriche affaiblit les petits États de la péninsule où des gouvernements libéraux se forment demandant l'annexion au Royaume de Sardaigne. Cavour arrache l'accord de la France mais doit sacrifier la Savoie et Nice. La cession de Nice soulève de vives protestations, en particulier de Giuseppe

sous les noms de « Autel de la Patrie » et surnommé dans les années 1970 la « Machine à écrire » par certains Romains, est le bâtiment néoclassique le plus connu de la ville. Le Palais de Justice, conçu par Guglielmo Calderini, situé sur la place Cavour, est un exemple d'éclectisme. Il est surnommé péjorativement Palazzaccio (« vilain palais ») par les Romains. L'architecture fasciste apparaît surtout dans le quartier de l'EUR, bâti dans la deuxième moitié des années 1930. L'Expositione Universale