Cela s'appelle l'aurore

en perdant beaucoup d’argent au jeu. En 1816, il a rencontré Julie Charles avec qui il vivait un amour tragique puis qu’elle est morte quelques mois plus tard. La mort de son aimante a beaucoup influencé sa poésie. Il a écrit un recueil qui s’appelle Méditations et a été publié en 1820, y compris notamment Le lac, L’isolement et L’Automne. Cet œuvre a obtenu un grand succès. Ces poèmes sont pleins de sensibilité inspirée par Julie Charles, avec les thèmes romantiques de la nature, de la mort

signe distinctif des humains, et sur la légitimité de l'action d'Électre, symbole d'une «vérité sans résidu», d'une «lumière sans mèche». Acte II Scène 1 : Réveil d'Électre qui dialogue avec le mendiant.Ce dernier lui conseille de partir «de l'aurore». Scène 2 : Retour d'Agathe et du Jeune Homme.Leur dialogue révèle qu'Agathe a des amants et qu'elle bâtit sans cesse des mensonges pour cacher sa vérité. Mais la vérité se dévoile car le mensonge se découvre. Scène 3 : Réveil d'Oreste. Les

connu. De quelle œuvre Zola parle-t-il ici ? Il parle de l’œuvre Henriette Maréchal. Quel peintre hollandais s’attire les faveurs de Zola ? Johan Barthold Jongkind attire les faveurs de Zola. D. Le projet d’une vie. Comment s’appelle cette famille ? Cette famille s’appelle Rougon-Macquart. En quelle année Émile Zola se lance –t-il dans ce projet ? Il se lance en 1869. Pourquoi la famille a-t-elle un nom composé ? La famille a un nom composé puisqu’une partie a un nom et l’autre a l’autre. Quelle

franc succès. 1888 : Alexandrine Zola embauche une nouvelle domestique. Elle s’appelle Jeanne Rozeret et très vite une passion nait entre elle et Emile Zola. Deux enfants naîtront, Denise et Jacques. Alexandrine est révoltée mais laisse faire. Elle accepte après la mort de d’Emile, que les deux enfants portent le nom de leur père. 1898 : Affaire Dreyfus. Zola défend le capitaine Alfred Dreyfus dans le journal « L’Aurore », avec un articla passionné intitulé  « J’accuse ». Contraint de s’exiler en

Le mendiant, avec son rôle de voyant, donne un sens à cette nouvelle journée ambiguë : "Cela s’appelle l’aurore". Le démonstratif "Cela" permet de désigner l’innommable. C’est à lui qu’il revient de nommer ce qui n’avait pas de nom. Electre, dont le nom signifie "à l’éclat de lumière", a rempli son destin. Elles a compris que la clarté ne pouvait que succéder aux ténèbres : la nuit a fait place à l’aurore. Ce mot, le dernier du texte, donne une note d’espoir : il représente le lever du soleil et

Egisthe s’enfuient car les ennemis entre dans le palais, scène 8 -mort d’Egisthe et de Clytemnestre, scène 9 -Egisthe et Clytemnestre sont morts Oreste a disparu et il maudit sa sœur la vraie coupable. Electre contemple l’incendie de la ville, c’est l’aurore, scène 10 Etude de la scène 10 : conclusion de la pièce (Qui est la femme Narsès, d’après les notes du livre : Désignée comme on désigne une délinquante dans les tribunaux, porte le nom de son mari, l’homme le plus bête du monde (narkè en grec

Clytemnestre. La dernière scène montre bien qu'Electre, en rétablissant la vérité, s'est maudite et dépossédée, décimant la ville. L'éclat de cette vérité était trop violent. La dernière réplique "Cela a un très beau nom, Femme Narsès, cela s'appelle l'aurore." termine la pièce sur une ambiguïté délicieuse.

Biographie d'Emile Zola | Date et lieu de naissance : 2 avril 1840, Paris Sa famille : Son père, François Zola, est un ingénieur des travaux publics. Sa mère s'appelle Emilie Aubert. Sa formation : Il fait ses études secondaires à Aix jusqu'en 1857. Il rate son baccalauréat alors qu'il est au lycée Saint-Louis à Paris. Son action : Politique et journaliste : Il est employé chez Hachette où il devient chef de publicité et produit ses premières chroniques de presse.

large de la Guyane. Il est auapravant dégradé en public dans la cours du ministère à Paris. 1896, deux ans plus tard: Rebondissement de l'affaire. Une nouvelle carte télégramme est interceptée. Le chef des renseignements des services français s'appelle le commandant Picquart. Il lance une enquête. Il découvre que c'est un commandant français, le commandant Esterhazy, qui envoie des informations à l'ambassade d'Allemagne. Picquart acquiert la conviction que le véritable traitre est Esterhazy. Il

le biais de la personnification. L'inanimé prend alors vie, on lui prête des sensations humaines. « L'onde […] exténuée s'assoupit », « le brin d'herbe palpite », « la terre éveillé » est capable d'entendre alors que « l'aurore » hennit. Cela s'appelle l'anthropomorphisation. En outre, des choses abstraites s'incarnent dans un élément naturel ou humain. « Le mort couché » dit « d'aimer au vivant », « une âme obscure », élément on ne peut plus abstrait, « avance doucement