Cellule de la granulosa

aboutissent à la formation des gamètes. Celles-ci concernent uniquement les cellules germinales. Les gamètes interviennent dans la reproduction sexuée des individus. Dans un organisme humain, les cellules germinales représentent une minorité des cellules de l’organisme. La majorité des cellules, sont les cellules somatiques. Celles-ci forment les tissus, les organes, et les appareils de l’organisme. L’évolution des cellules de la lignée germinale, en gamètes, s’effectue dans les gonades. Ainsi la gamétogenèse

sont des cellules diploïdes qui dérivent des gonocytes primordiaux. Au terme de leur multiplication, les ovogonies s’entourent d’une couche de cellule folliculaire aplatie et l’ensemble constitue le follicule primordial. Dans le follicule primordial l’ovogonie se différentie en ovocyte de premier ordre. Immédiatement après sa mise en place, l’ovocyte 1 double sa quantité d’ADN et entre en prophase de première division de méiose. L’ovocyte 1 établit des interactions actives avec les cellules folliculaires

 d’une   même  structure   =  le   follicule   ovarien   (différent   du   testicule   où   il   y   a   deux   compartiments   bien   séparés  :   le   tube  séminifère  et  les  cellules  d e  Leydig).   o   Le  fonctionnement  s e  fait  de  façon  cyclique.   o   Le  fonctionnement  n e  s e  fait  pas  toute  la  vie.  (puberté    ménopause)    

L’épithélium ovarienIl est en surface de l’ovaire, possède des cellules cubiques/cylindriques simples. Certaines cellules de cet épithélium peuvent être en mitoses pour se renouveler. L’épithélium ovarien va se raccorder au péritoine au niveau de jonction qui s’appelle la « ligne de Farre- ??? »2. L’albuginée ovarienneElle se situe entre l’épithélium ovarien en surface et le stroma cortical en profondeur. Elle est pauvre en cellules mais riches en substances fondamentales (protéines, glycoprotéines)

début de spiralisation des artères en profondeur ; les cellules épithéliales augmentent de hauteur et ont un pôle apical clair. Phase de transformation glandulaire (J15-J21) Phase de sécrétion débutante sous l'action combinée des œstrogènes et de la progestérone, les glandes deviennent plus longues et plus sinueuses, la spiralisation des artérioles s'accentue ; la progestérone provoque la sécrétion de glycogène au pôle basal des cellules, les noyaux sont donc en position médiane, voire apicale

|4 |Follicule tertiaire | |5 |Cavité folliculaire | |6 |Disque proligère | ❖ Déroulement de l’ovogénèse ← Multiplication des cellules souches : les ovogonies, les ovocytes I et le début de la méiose. On a une première phase de multiplication comme dans la spermatogénèse mais celle-ci va se dérouler à une période de la vie complètement différente puisque chez la femelle celle-ci

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génitaux 1.1. Appareil génital de l’homme doc 1 1.2. Appareil génital de la femme doc 2 2. La gamétogénèse Définition : Processus de fabrication des gamètes 2.1. La méiose Voir TD Définition : Division des cellules germinales (diploïde) pour former des cellules haploïdes (gamètes). 2.2. La spermatogénèse 2.2.1. Structure du testicule : voir doc 3 Le testicule est entouré d’une coque fibreuse, l’albuginée, qui forme, à l’intérieur du testicule, des cloisons fibreuses délimitant

2022/2023 « Pouvez-vous confirmer que la mitose concerne les cellules germinales et somatiques et la méiose uniquement les cellules germinales ? » Oui, la méiose ne concerne que les germinales. A contrario, la mitose concerne les cellules somatiques + les gonies (phase d’amplification in utero chez la fille, et tout au long de la vie chez le garçon) Fécondation : Nous avons cette question

l'appareil génital : p.240, 241 La différenciation du sexe masculin résulte de la sécrétions d'hormones testiculaires : - la testostérone, sécrétée par les cellules de Leydig, empêche la régression des canaux de Wolf (futurs canaux déférents) et masculinise les organes génitaux externes (pénis); - l'AMH (hormone anti-müllérienne), sécrétée par les cellules de Sertolli, provoque la régression des canaux de Müller chez le mâle. Chez la femelle, l’absence d’hormones testiculaires est responsable de la persistance