Cellule photoélectrique

l'allumage et l'extinction des lampes de façon autonome (horloges ou cellules photoélectriques). Ils peuvent être branchés soit sur un réseau constitué de plusieurs points lumineux (c'est ainsi pour la majorité des installations), soit plus rarement, sur un point lumineux. Dans tous les cas, le circuit d'alimentation (en série pour un réseau) est équipé en tête par un coffret de livraison qui contient les appareils de commande (les cellules photoélecriques ne sont pas nécessairement placées dans un coffret

lumineux (un éclat toutes les trois secondes) et d’une cellule photoélectrique placée en face de la diode. Entre ces deux éléments est placé un barrage qui empêche l’imprégnation de la cellule par la diode en situation normale. Lorsque de la fumée pénètre dans la chambre, la dispersion de la lumière provoquée par les particules lourdes en suspension dans la fumée, entraîne l’imprégnation de la cellule photoélectrique. Le courant produit est chargé vers une porte « ET », puis vers l’amplificateur

optique (prisme ou réseau) permet de sélectionner une longueur d’onde, afin de disposer d’un faisceau quasi monochromatique. Après avoir traversé une cuve contenant le solvant seul ou la solution étudiée, le faisceau arrive sur une cellule photoélectrique permettent de mesurer l’intensité lumineuse émergente. Il est préférable de tenir les cuves par l’extrémité supérieure afin de ne pas laisser de traces de doigts sur la partie traversée par le faisceau lumineux. Les cuves doivent être

photométrie de flamme permet le dosage des cations alcalins Li+ , Na+ et K+ . Le photomètre : Diaphragme réglable lentille Cellule photoélectrique air butane Filtre sélectionnant la longueur d’onde Amplificateur Schéma de principe d’un photomètre de flamme Le photomètre de flamme est constitué de trois éléments : le brûleur, le monochromateur et d’une cellule photoélectrique, d'un amplificateur et d’un afficheur. Le brûleur : Il fournit une flamme dans laquelle on pulvérise la solution à analyser

aux actionneurs /effecteurs pilotés par la partie commande. La porte se déplacera alors systématiquement jusqu’en fin de course et elle se referme alors , qu’un véhicule l’ai ou non franchie. Si un objet coupe le faisceau lumineux de la cellule photoélectrique situé en pied du système, alors la porte reste alors ouverte (possibilité de franchissement pour un second véhicule sans taper le code) Si aucun objet n’est détecté dans la zone de franchissement , alors le système reprend sa position initiale

l’énergie mécanique. II. Matériel  * Corps cylindrique de masse m suspendu à un fil (pendule) * Cellule photoélectrique * Calculateur * Double mètre Corps cylindrique Calculateur Double mètre Fil Fil Corps cylindrique de masse m Corps cylindrique de masse m Cellule photoélectrique Corps cylindrique de masse m

largeur de 0,67 μm, d’une profondeur hc = 0,12 μm et de longueur variable. On nomme « creux » le fond d’une alvéole et « plat » l’espace entre deux alvéoles. La tête de lecture est composée d’un laser émettant un faisceau lumineux et d’une cellule photoélectrique chargée de capter le faisceau réfléchi. Le laser utilisé pour lire les CD a une longueur d'onde λ0 = 780 nm dans l'air et λ = 503 nm dans le polycarbonate. La profondeur hc des creux est liée à la longueur d’onde λ du laser dans le polycarbonate

détecteurs de fumée optique: Une source lumineuse éclaire une chambre de détection obscure. Cette chambre contient aussi une cellule photoélectrique qui transforme la lumière en un faible courant électrique. Lorsque les particules de fumée pénètrent dans la chambre de détection, la lumière est réfléchie sur la surface des particules de fumée et entre en contact avec la cellule, ce qui déclenche l’alarme -Les détecteurs ionique: Ce détecteur contient un élément radioactif (toutefois de très faible

PYLONE A l’intérieur du pylône, on trouve des drapeaux matérialisés par de petites plaques fixées sur 2 petites cordelettes, appelées des drisses, parallèles parcourant le pylône sur toute sa hauteur. Sur le toit de cabine, on a un capteur photoélectrique qui détecte la présence de ces drapeaux lorsque l’ascenseur passe devant. A chaque fois que le capteur lit un drapeau, une information remonte dans l’armoire. Cette information peut signifier le ralentissement de l’appareil ou bien son arrêt

est un système breveté qui se compose de trois éléments : 1 capteur solaire (cellule photoélectrique) qui mesure la luminosité. Caractéristiques : - branchement non polarisé ; - plage de réglage du seuil d’ensoleillement de 0 à 56 Klux ; - température de fonctionnement de –15°C à +60°C ; - poids : 110 g ; - directivité à sensibilité moitié : environ 80°C (à 35 Klux) ; - longueur du câble : 2 m(0,75 mm2 /H 05 VVF) ; - cellule plombée(indémontable). 1 capteur de vent (anémomètre) qui mesure la vitesse