Cellule

Chapitre I: Caractères généraux des cellules procaryotes et eucaryotes 1/ La cellule eucaryote. 1.1 - Cytoplasme et éléments figurés. La cellule eucaryote de grande taille (10 à 100 µm) comprend un vrai noyau entouré d’une enveloppe nucléaire, contenant deux jeux semblables de chromosomes porteurs des informations génétiques responsables de leur transmission et de leur expression. Elle est diploïde. Son cytoplasme, siège des activités métaboliques de dégradation et de synthèse, est constitué

TP N°4 / LE FONCTIONNEMENT DE LA CELLULE (1) Ce TP est consacré à l’étude des besoins nutritifs et respiratoires des levures. La levure de bière est un organisme unicellulaire, eucaryote, non chlorophyllien, classée parmi les champignons. Cet organisme vit dans les milieux humides et se développe facilement en présence de dioxygène et d’une source de matière organique (glucose par exemple). Nous cherchons à définir le fonctionnement d’une cellule de levure, pour cela nous nous intéresserons

chez l’individu concerne » Chaque cellule de notre organisme a l’exception des gametes comporte toutes les 23 paires de chromosomes. Beaucoup pourraient venir a se poser la question de souvoir pourquoi est ce que les gametes n’ont pas le meme nombre de chromosome que les autres cellules de notre organisme. Probablement parce que la nature bien avant notre naissance a appris a compter. Qu’est ce que c’est qu’un gamete ? Ce n’est ni plus ni moins qu’une cellule reproductrice. Or chacun d’entre nous

des structures capitales. Tout être vivant est en effet constitué de cellules. Or chacune de ces cellules est entourée d'une membrane plasmique; le contenu des cellules évoluées est lui même recloisonné en un grand nombre de compartiments appelés organites cellulaires; chaque organite est bordé par une ou deux membranes. Les biomembranes doivent être distinguer clairement des parois ou enveloppes pouvant entourer une cellule. Les parois sont des enveloppes péri-cellulaire, secrétées par le cytoplasme

cellulaire qui est caractérisée par un accroissement du volume cellulaire, la cellule transcrit ses gènes et les chromosomes sont dupliqués. Elle peut être subdivisée en plusieurs phases : ◾la phase G1 (de l’anglais growth ou gap), au cours de laquelle la cellule croît et effectue les fonctions pour lesquelles elle est programmée génétiquement : synthèse des protéines, etc. C'est notamment durant cette phase que les jeunes cellules filles fraîchement divisées grandissent jusqu'à atteindre leur taille finale

modèle : 1. en repérant les zones saisies et les zones calculées et vous aidant de l’annexe « Dictionnaire des noms » ; 2. en attribuant les noms aux cellules à partir des noms définis dans le « Dictionnaire des noms » ; 3. en élaborant les formules de calcul et en complétant le document d’analyse « Analyse des résultats » ; 4. en formatant les cellules pour obtenir une présentation conforme au modèle ci-dessus. 2 - Exercice 2 SIG -EXCEL DCG1 TD 01 Page 2 / 2 31/08/2013 10:16

qui code pour le caractère dont on veut doter une plante peut provenir d’une cellule animale ou végétale, d’un virus ou d’une bactérie. 2 – Pour isoler ce « gène d’intérêt », on extrait l’ADN de la cellule, puis on le découpe à l’aide de « ciseaux enzymatiques ». 3 – La bactérie Escherichia coli contient un plasmide, fragment d’ADN circulaire qui est utilisé comme vecteur pour transporter le gène d’intérêt dans les cellules de la plante à modifier. 4 – On insère ensuite le gène d’intérêt dans le plasmide

abordée à l’échelle de l’organisme pour permettre de comprendre la morphologie des végétaux, à l’échelle cellulaire avec les deux mécanismes qui expliquent la croissance des végétaux et à l’échelle moléculaire avec la composition de la paroi des cellules végétales ainsi que l’action de l’auxine. Le fil conducteur de cette partie du programme est l’établissement du phénotype. Le phénotype morphologique d’un individu est le résultat des interactions entre l’expression du génotype et son contrôle

quelle les chromosomes sont peu visibles dans les cellules. Elle est située entre le méristème et la zone d’ébauche des organes. B. CONTROLE GENETIQUE DE LA MORPHOGENESE Comme chez les animaux, les mécanismes de multiplication et d’allongement cellulaire sont contrôlés par des gènes de développement. L’activation de ces gènes dépend de la position de la cellule dans la plante. Après leur multiplication et leur allongement, les cellules se différencient en exprimant leurs gènes spécifiques

graphique je n’ai pas su sélectionner les bonnes cellules mais le type de représentation était correct. Apport(s) professionnel(s) et personnel(s) J’aime bien travailler avec le tableur. Mon tableau était bien présenté (format des valeurs). J’ai fait une erreur de saisie et j’ai compris que cette erreur pouvait avoir des conséquences importantes d’interprétation. Au niveau du graphique, j’ai appris comment sélectionner une plage de cellules.