Cendrars La Main Coupée

soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques De mes souliers blessés, un pied près de mon coeur! Blaise Cendrars :La Prose du transsibérien et de la petite Jehanne de France En ce temps-là, j'étais en mon adolescence J'avais à peine seize ans et je ne me souvenais déjà plus de mon enfance J'étais à 16.000 lieues du lieu de ma naissance J'étais à Moscou

Rimbaud, Verlaine. Fondateur de la poésie contemporaine. Précurseur du surréalisme (c'est lui qui invente ce nom). Quels autres recueils poétiques d'Apollinaire connaissez-vous ? Le Bestiaire, Calligrammes, Il y a, Poèmes à Lou… 42 Blaise Cendrars, Prose du Transsibérien et de la petite Jehanne de France : début Dédiée aux Musiciens En ce temps-là j’étais en mon adolescence J’avais à peine seize ans et je ne me souvenais déjà plus de mon enfance J’étais à 16.000 lieues du lieu de ma naissance

poème est désormais associé aux combats raciaux et politiques des Noirs dans le monde entier. Les armes miraculeuses (1946) et Soleil cou coupé (1948) Les trente et les soixante-quatorze poèmes qui composent ces deux recueils appartiennent à la période surréaliste de Césaire, comme les titres des deux volumes le suggèrent. Le titre Soleil cou coupé est extrait du dernier vers de Zone de Guillaume Apollinaire. Ce titre traduit la blessure atroce de la séparation originelle avec l'Afrique

plaid Bariolé Comme ma vie Et ma vie ne me tient pas plus chaud que ce châle écossais Et l'Europe toute entière aperçue au coupe-vent d'un express à toute vapeur N'est pas plus riche que ma vie Ma pauvre vie Ce châle Effiloché sur des coffres remplis d'or Avec lesquels je roule Que je rêve Que je fume Et la seule flamme de l'univers Est une pauvre pensée... Cendrars Prose du Transsibérien, 1913 7 Ville de la Mandchourie chinoise 8 Compartiment d’un wagon avec une seule banquette 9

faites de fer et de verre. Il considère avec enthousiasme l’architecture métallique des bâtiments ferroviaire et écrit en 1882, au sujet d’un bâtiment de l’architecte Sédille : « C’était comme une nef de gare, entourée par les rampes des deux étages, coupée d’escaliers suspendus, la cathédrale du commerce moderne. » 2. L’espace ferroviaire : tableaux réalistes des bâtiments et des locaux Jusqu’en 1855, date de la construction de la gare de l’Est à Paris, le bâtiment ferroviaire n’engendre que

désignation du personnage rappelant son âge avancé et malgré tout, le complément circonstanciel de manière affirmant sa faculté remarquable « avec une incroyable vivacité ». Dans en second temps, Raphael affirme son choix. L’interjection ,,Eh!’’ coupe court à la mise en garde du vieillard. L’assertion ,,je veux vivre avec excès’’ indique que les propos du vieillard ont été vains puisque Raphael affirme sa volonté a la première personne ,,je veux’’ et désigne son caractère de façon autoritaire, comme

thématique (par exemple Mitterand), par mouvements littéraires (Lagarde et Michard), ou par tranches historiques (les manuels de lycée). En général, ce sont les mêmes noms qui reviennent comme référence : les Belges Yourcenar et Michaux, les Suisses Cendrars et Jaccottet, le franco-argentin Banciotti, le Bulgare Todorov et Cohen, de nationalité suisse mais né à Corfou de parents juifs sépharades. Ils font « naturellement » partie des mouvements littéraires. Comment expliquer cette absence de mélange

qu’ils ont l’un pour l’autre et qu’ils ne savent pas pour l’instant où leur histoire va les mener. 6. Avant d’être abordé par son camarade, le personnage est intimidé et angoissé : « J’avais peur de le dépasser », dit-il (l. 2) ; il tendait « une main tremblante » (l. 5). Mais cette sensation désagréable le quitte pour laisser place à de la joie « je riais » (l. 15), « j’avais envie de crier, de chanter » (l. 16). 7. La vie du narrateur a radicalement changé. Le jeune garçon est à présent heureux

de Beze pour le ramener à la littérature au nom de Dieu et de la France : Discours des misères de ce temps Ne prêche plus en France une Evangile armée Un christ empistolé tout noirci de fumée, Portant un morion en tête, et dans la main Un large coutelas rouge du sang humain : Cela déplaît à Dieu, cela déplaît au Prince (…) De Bèze, mon ami, tout cela ne vaut pas Que la France pour toi prenne tant de combats. Mais de Bèze reste sourd aux appels de Ronsard ; le poète

Aphrodite est la déesse protectrice de Rome. * L’histoire la plus intéressante est celle entre Aphrodite et Adonis. Adonis est né sur l’île de Chypre qui est une des deux iles qui se réclament comme patrie d’Aphrodite. A chypre il y avait un roi Cendrars mais il n’y avait pas de femme. Myrna était amoureuse de son père et elle va réussir à l’enivrer, le souler. Et donc il est devenu le père et le grand père d’Adonis. Lorsqu’il a découvert cela il a été pris de colère et il a voulu tuer Myrna. Elle