Cendre

Scolopacii (Scolopacidés, limicoles) :! Barge à queue noire Barge rousse Bécasseau cocorli Bécasseau variable Bécassine des marais Chevalier aboyeur Chevalier arlequin Chevalier cul-blanc Chevalier gambette Chevalier guignette Combattant varié Courlis cendré Courlis corlieu Larii :! Guillemot de Troïl (Alcidés) Pingouin torda (Alcidés) Macareux moine (Alcidés) Goéland argenté (Laridés) Sterne caugek (Laridés) Sterne pierregarin (Laridés) Grand labbe (Stercorariidés) Labbe pomarin (Stercorariidés) Labbe

Loth ANSELM KIEFFER 1990 1. Identifier l'œuvre Titre de l’œuvre : La femme de Loth Date de réalisation: 1990 Nom du peintre : Anselm KIEFER Dimensions de l'œuvre : 350 cm * 410 cm Techniques employées : Acrylique, émulsion et cendres sur toile, avec sel et plomb Lieu de conservation : au musée d’art de Cleveland aux Etats-Unis 2. Description Cette œuvre représente un paysage chaotique. C’est un lieu abandonné, désertique. On distingue que cette toile est coupée en

l’imparfait donne une impression de durée. Le rythme est régulier, en 3/3//3/3 et les sonorités harmonieuses, avec l’allitération en « r » (terre », « honoraient ») ou l’écho en « é » (« honoraient ta beauté »). Au vers 11 « La Parque t’a tuée et cendres tu reposes », la mort n’est évoquée que dans le premier hémistiche, ce qui est un raccourci saisissant par rapport aux vers 7 et 8. Le verbe employé « a tuée » est assez réaliste et l’effet de brutalité est renforcé par l’allitération en « t » (« t’a

harponne l'homme. Cette bête s'applique sur sa proie, la recouvre, et la noue de ses longues bandes. En dessous elle est jaunâtre, en dessus elle est terreuse ; rien ne saurait rendre cette inexplicable nuance poussière ; on dirait une bête faite de cendre qui habite l'eau. Elle est arachnéide par la forme (4) et caméléon par la coloration. Irritée, elle devient violette. Chose épouvantable, c'est mou. Ses nœuds garrottent ; son contact paralyse. Elle a un aspect de scorbut et de gangrène ; c'est

Commentaire de texte FrançaisLouise Michel, Mémoires (1886) La Révolution française, malgré la Déclaration des Droits de l'homme et du citoyen n'ont pas suffi à libérer les femmes et à obtenir l'égalité qu'elles souhaitaient, et les luttes reprennent au XIX° siècle. La fin du siècle voit la montée du syndicalisme qui est un mouvement qui vise à unifier au sein de groupes sociaux, les syndicats, des professionnels pour défendre des intérêts collectifs. Le syndicalisme désigne également l'action militante

question ; il installe par exemple un écho touchant entre « Ce malheur était l’absence de Julien ; elle l’appelait, elle,  le remords  » (p. 593) et « L’ambition était morte en son cœur, une autre passion y était sortie de ses cendres ; il l’appelait le remords d’avoir assassiné madame de Rênal »  Le rouge et le noir, sous-titré chronique du XIXème siècle, est un roman écrit par Stendhal et publié en 1830. Le roman est structuré en 2 parties dont la première retrace

éruptions effusives ce qui a entraîné la formation d’un cône de scories. Ce cône est du à la viscosité du magma. Le fait que ce même magma ait une très faible teneur en silice rend celui ci très fluide. Lors de l éruption, des bombes, des scories et des cendres sont projetées en l’air créant des dépôts de roches et formant ainsi un cône :c’est un volcan strombolien. Ensuite, la lave étant fluide celle ci s'échappe par le bas du volcan créant ainsi une coulée de basalte ou de trachyandésite suite à la cristallisation

Ainsi cet exploitation peut amener de graves affaiblissements physiques : « la fièvre maigrit », « pâleur », « rachitisme » pouvant aller jusqu’à la mort comme le précise l’auteur en utilisant la double image de la « cendre » qui peut caractériser aussi bien la cendre de charbon que la cendre d’un corps d’enfant tuer par le travail, mais ce travail peut entrainer aussi des modifications physiques plus superficielles comme l‘enlaidissement: « travail dont le souffle étouffant défait ce qu‘a fait Dieu;

d'une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre, Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, Ils travaillent. Tout est d'airain, tout est de fer. Jamais on ne s'arrête et jamais on ne joue. Aussi quelle pâleur ! la cendre est sur leur joue. Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las. Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas ! Ils semblent dire à Dieu : - Petits comme nous sommes, Notre père, voyez ce que nous font les hommes ! Ô servitude infâme imposée

avoir donné asile à l’un des nôtres. Entre, avec le peuple né de l’ombre et disparu avec elle – nos frères dans l’ordre de la Nuit. […] Ecoute aujourd’hui jeunesse de France, ce qui fut pour nous le Chant du Malheur. C’est la marche funèbre des cendres que voici. A côté de celles de Carnot avec les soldats de l’an II, de celles de Victor Hugo avec les Misérables, de celles de Jaurès veillées par la Justice, qu’elles reposent avec leur cortège d’ombres défigurées. Aujourd’hui, jeunesse, puisses-tu