Certification Mase

Module : normes et normalisation Evolution de la norme ISO 9001 Année universitaire : 2011/2012 Sommaire Introduction 1) 1987: Première édition des normes ISO 9001, 9002, 9003 ; 2) 1994: La première révision, changements mineurs ; * Les raisons de la révision ; * Les changements apportés. 3) 2000: La deuxième révision, changements majeurs ; * Les raisons de la révision ; * Les changements apportés. 4) 2008 : la troixième révision

d'aborder la nature des évolutions entre la version 1994 et la version 2000 des normes ISO 9000, il convient de répondre à une question préalable : pourquoi faire évoluer des référentiels qui ont conduit en France plus de 15 000 entreprises à la certification de leur système qualité ? La réponse à cette question n'est pas unique mais elle réside notamment dans une analyse réalisée par l'Organisation internationale de normalisation (ISO) sur l'utilisation faite par les entreprises de ces référentiels

plusieurs commissaires aux comptes. ➢ Définition 2 : L'article 27 de la loi 91-08 du journal officiel du 27/04/1991, définit le commissaire aux comptes comme: « toute personne qui en son nom propre et sous sa responsabilité, fait profession habituelle de certification de la régularité et de la sincérité des comptes» ➢ Définition 3 : Le commissaire aux comptes est en charge du contrôle légal des documents comptables d'une société. Il est nommés pour trois exercices avec pour objectif principal de vérifier

comptes des entreprises, sous le nom d’audit financier conduisant à la certification. L’audit légal, également appelé commissariat aux comptes, est un audit financier et comptable légale mené par le commissaire aux comptes, il comprend une mission générale et le cas échéant des interventions définies par la loi. La mission générale comprend obligatoirement : - Une mission d’audit financier conduisant à la certification ; - Des vérifications spécifiques dont la liste figure dans la

critères pour pouvoir obtenir le logo « A.B. » (Agriculture Biologique), signe officiel de qualité créé en 1985. Un produit est révélé conforme lorsqu’il est contrôlé par un organisme certificateur, le plus connu étant Ecocert, qui délivre la certification du produit. Tous ces critères et conditions sont répertoriés dans la charte de l’agriculture biologique. Il existe une définition selon laquelle « un produit A.B. doit être composé d’au moins 95% d’ingrédients d’origine agricole obtenus selon le

l'organisme demandeur de l'audit. 1.3 Audit tierce partie - Audit de certification Une démarche volontaire L'audit tierce partie ou audit de certification est une opération volontaire, décidée par la direction d'une entreprise, pour faire apprécier la conformité de son système de management avec un référentiel, par un organisme tiers, reconnu pour ses compétences et sa notoriété dans les secteurs d'activités concernés. Cette certification peut être demandée sous différents angles, conjointement ou séparément

internationales. Il a placé les hommes au cœur de son développement avec une action sociale réelle et concrète visant à valoriser chaque employé du groupe. Le groupe a adopté une démarche qualité de la fourche à la fourchette. Il a obtenu plusieurs certifications qui garantissent l’excellence de tous les produits qu’il fabrique. Le groupe a fait des investissements importants tant dans le domaine de la production que de celui de la distribution. Figure 1. Les différentes sites

N°1 Objet : Certification ou label ? Le restaurant a besoin d’un plus pour redevenir aussi performant qu’il était précédemment. En 2004 un léger froid a pesé sur les restaurants asiatiques quand il y a eu des problèmes sanitaires dans quelques de ces restaurants. Le Label Qualité Asie ou la certification sont donc nécessaire pour repartir de l’avant. Plan du rapport : 1- La Certification 2- Le label Qualité Asie 1- La certification A- Le dispositif

Partenaire privilégié en matière de conformité pour la commercialisation et la valorisation de produits électriques et électroniques, le LCIE accompagne ses clients depuis la phase de développement jusqu’à leur mise sur le marché : essais, certification, audits, inspections, formation. Certificateur de premier plan en Europe et signataire d’accords de reconnaissance bilatéraux avec des homologues étrangers, le LCIE fournit les passeports nécessaires à la conquête des marchés mondiaux, après vérification

en tant métier au sein de l’entreprise n’a apparu qu’après la crise économique de 1929 aux Etats-Unis, et ce, comme un moyen de réduire les honoraires des cabinets d’audit externe. D’ailleurs, à cette époque, pour mener à bien leurs travaux de certification, les auditeurs externes, devaient se livrer à de nombreuses tâches préparatoires : inventaires de toute nature, analyses de comptes, sondages divers et variés, etc. Alors, une suggestion a été faite consistant à assumer certains de ces travaux