Certitude Eluard

Méfier De Nos Certitudes ? PROBLÈME : La certitude est la qualité de ce qui sûrement et fermement établi, donc ce en quoi on peut avoir confiance, où il n'y a pas de risque d'erreur. Il serait donc contradictoire de se méfier d'une certitude. Mais la certitude traduit un sentiment subjectif concernant la vérité de nos idées. Or cette confiance est-elle fondée? L'expérience prouve que nous pouvons nous tromper ou perdre nos illusions. Nous ferions donc bien de nous méfier, car la certitude pourrait

c'est-à-dire "précise et différente de toutes les autres (...) qui ne comprend en soi que ce qui paraît manifestement à celui qui la considère comme il faut" . La raison. Descartes pensait pouvoir recourir à la raison seule pour atteindre avec certitude la vérité. Son célèbre cogito montre qu'il raisonnait selon des principes réfléchis. Une connaissance perçue à travers le prisme d'une méthode exclusivement rationnelle peut comporter certains préjugés nuisibles à l'apprentissage en profondeur.

sera impossible, on ne pourra distinguer le vrai du faux donc rien pour nous ne sera une certitude à nos yeux et la raison se repose uniquement sur des certitudes. La raison n’est pas si le doute s’installe. Cette incapacité de ne pouvoir porter un jugement provoquera une attitude irrationnelle. Mais pour réussir a atteindre la raison il ne faut pas de doute, la raison repose sur la fait d’être plein de certitude pour résumé d’être sur de soi. Il est totalement impossible de démontrer une chose qui

écrite) conclure, en bref, en guise de conclusion..... On appelle modalisateurs les mots ou expressions signalant le degré de certitude de celui qui s'exprime aux idées qu'il formule. Ils indiquent si, pour lui, ces idées sont vraies, douteuses ou fausses. Donc la valeur des modalisateurs sera la certitude ou l'incertitude. LES MODALISATEURS Ils peuvent être... Certitude Incertitude Adjectifs sûr, certain, inévitable, clair, évident... douteux, incertain, vraisemblable, probable

ma main à couper». L'homme a donc des certitudes, il est aussi capable d'introspection et a la capacité de se méfier, de douter de ce qu'il considère comme sûr. Ainsi on peut se demander s'il a l'obligation morale de le faire. Les certitudes sont-elles plus dangereuses que le doute ou au contraire, ce dernier a t-il des conséquences plus graves ? De qui et pourquoi l'homme a t-il le devoir de se méfier de ce dont il est certain. En quoi ses certitudes peuvent-elles être dangereuses? Quels sont

indices ses sentiments ou son avis par rapport à ce qu’il dit, même dans un texte à la 3ème personne. On appelle modalisation l’ensemble de ces indices. → Le commentaire peut porter sur la probabilité : Il évalue alors le degré de vérité, de certitude de l’énoncé : celui-ci peut être probable, obligatoire, certain, possible... L’information donnée est plus ou moins sûre. Moyens utilisés : - Verbes : devoir, pouvoir, sembler, paraître, prétendre, affirmer, ignorer, croire...  Il doit arriver

I. INTRODUCTION La certitude peut se définir comme l’état d’esprit qui tient sans réserve pour vrai ce qu’il juge tandis que la pensée apparait comme la faculté de connaitre, de juger. Ainsi dire que la certitude est le signe d’une pensée morte, c’est dire qu’elle sous-tend absence de réflexion. Toutefois, il apparait parfois que la certitude soit le signe de la connaissance.

choses certainement fausses et d'autres douteuses. Dans un second temps, le doute radical, on examine les principes des choses. Le doute méthodique est un moyen afin d'arriver au vrai , il a donc une foncion critique qui lui permet de séparer la certitude de l'opinion. Descartes se reffuse tout héritage du passé, toute vérité préétablie. Le doute méthodique est donc la recherche de l’évidence par un doute volontaire et provisoire. Ensuite, nous verrons le doute sceptique qui est utillisé

durant sa scolarité scolastique ne lui sert à mieux conduire sa vie. Autrement dit, les livres lui ont apporté des choses utiles, mais ce n’est pas suffisant, ce n’est qu’un savoir théorique. Il aimait beaucoup les mathématiques, « à cause de la certitude de leurs raisons » et parce que ce sont les seules sciences qui démontrent ce qu’elles affirment en s’appuyant sur des fondements fermes et solides. Concernant la philosophie, il en a

dit qu’il n’est plus sûr de rien. Il doute de tout ce qu’il a appris depuis sa naissance. Il chercher alors un point fixe (une certitude) d’où il pourra construire la base de sa connaissance. Il recommence donc à zéro, il se dit que la seule chose qui peut être estimé véritable est qu’il n’y a rien au monde de certain. C’est de cette façon qu’il vient à sa première certitude : « Je pense donc je suis ». Il commence alors à se poser des questions pour redéfinir ses connaissances par exemple : « qu’est-ce