Cerveau

d'origine animale : réflexe de survie en réponse à une menace externe, sur lequel nous n'avons aucune action possible, il induit des réactions de fuite, de lutte, ou de résignation. C'est le domaine du cerveau primitif, le cerveau reptilien. Au fil de son développement, l'homme a acquis une conscience (cerveau limbique) à base d'expériences et de mémorisation des situations passées. La vraie différence est apparue avec le cortex préfrontal, siège de l'intelligence, responsable d'activités supérieures :

sommeil paradoxal: pendant que le corps est inerte, le cerveau, lui, est complètement éveillé. Si la première de ces phases ne dure que cinq minutes, les suivantes s'allongent à mesure que la nuit avance. Notre dernier rêve peut durer de 30 à 45 minutes et, comme c'est le plus long, on se souvient généralement de celui-là plus facilement. Pourquoi nos rêves sont-ils si souvent absurdes ou farfelus? Parce que c'est l'hémisphère droit du cerveau qui est alors en activité. Contrairement à la partie

contribue à rendre le rire contagieux. Les exercices de rire alternent avec des exercices de respiration venant du yoga ce qui a pour effet d'accroître l'apport d'oxygène à la fois dans le corps et dans le cerveau. Le résultat en est d'avoir plus d'énergie et d'améliorer notre santé. Notre cerveau et notre corps ne font pas de différence entre le rire naturel et le rire stimulé : les bénéfices sur la santé sont les mêmes. Cette méthode a été créée par un médecin indien le Dr.Madan Kataria, en 1995

communication direct. Le système nerveux est composé de 2 types cellulaires qui sont les neurones et les cellules gliales. 1) Le système nerveux central L’encéphale contient 3 parties qui sont : le cerveau, le cervelet et le tronc cérébral. C’est la boite crânienne qui protège l’encéphale. Le cerveau est creusé de 4 cavités appelées ventricules et de 2 hémisphères cérébraux (gauche et droite) du thalamus, de l’hypothalamus et de l’hypophyse. La surface hémisphère cérébrale est très plissée, on

admettons comme hypothèse plausible que la conscience émerge d’un mode de fonctionnement particulier du cerveau.» (American Psycological Association. Definition and description and description of hypnosis. Contemp Hypn 1994; 11 :142-5.). L’hypothèse précédente implique en fait que les phénomènes conscient entrainent une modification de l’activité cérébrale dans les différentes zones du cerveau. Cette modification dans les populations neuronales peut se vérifier grâce à des technologies comme la tomographie

Explication du texte de Bergson, l’Energie spirituelle, PUF, 1966, pp42-43 INTRODUCTION : Le cerveau est l’organe le plus complexe du corps humain. Il se trouve à l’intérieur de notre boîte crânienne, il faudrait surement des décennies entières de recherches encore pour le comprendre jusque dans les moindres détails. Le nombre total de neurones est estimé de 86 à 100 milliards. Le système nerveux dans sa complexité gère le fonctionnement du corps comme par exemple la coordination des mouvements

n'est pas digéré et passe directement du tube digestif aux vaisseaux sanguins. En quelques minutes, le sang le transporte dans toutes les parties de l'organisme. L’alcool a des effets essentiellement sur le cerveau qui peuvent durer plusieurs heures. Pendant cette période, le fonctionnement du cerveau et le comportement sont perturbés, entraînant des risques plus ou moins importants. Les risques immédiats A court terme et lorsqu'il est consommé à grandes doses, l'alcool provoque : - une diminution

pour indiquer une explication cachée, pas d’échappatoire vers un lien hypertexte, juste une phrase têtue, qui ne veut pas délivrer son sens, et encore moins disparaître. Cette impression que les mots rebondissent comme des balles autour de notre cerveau sans jamais s’y arrêter, nous l’avons tous ressentie à un moment ou à un autre. Lire, se détendre, suivre une conversation, être à l’écoute de ses proches, se « poser », tout simplement, ne va plus de soi. Les raisons, nous les connaissons trop bien

BCI non invasives : (controle des rats)  ­ BCI semi­invasives : (implants cochléaires)    Introduction    Brain computer Interface ­­> interface cerveau machine  C'est une communication directe entre un cerveau animal ou humain et un appareil externe.  Dans les BCI, cet appareil est un ordinateur mais on englobe aussi la notion de  neuro­prothèses qui peuvent aussi être branchées sur d'autres systèmes nerveux que le  cerveau lui­même et qui ne font pas forcément appel à un ordinateur.  Le but des BCI est d'obtenir une activité externe en controlant un objet

réflexe myotatique est de maintenir la longueur des muscles extenseur par compensation des perturbations de longueur. Ceci permet de maintenir la posture sans contrôle des centres supérieurs, en libérant le cerveau pour d'autre tâches. Tant qu'il n'y a pas de nouveau contrôle en provenance du cerveau, ce réflexe garde la position du muscle constante. Ce réflexe peut devenir dangereux s'il cherche à compenser des perturbations trop puissantes. Il y a donc un deuxième réflexe qui vient annuler le premier