Césarisme

sera reprise par différents hommes politiques bien après lui. Napoléon III, Pétain, et dans une certaine mesure de Gaulle, voire Sarkozy reprendront certaines pratiques du bonapartisme. Ce courant politique est qualifié par les politologues de " césarisme démocratique" et se veut antilibéral, antiparlementaire, mais populaire. n  Antilibéral: Bonaparte = retour au dirigisme économique. C'est l'intervention de l'État dans l'économie, avec toute une politique de subvention de contrôle des prix et des

Lefebvre de Laboulay. B. Napoléon III et le libéralisme er Attaque le régime parlementaire de la Monarchie de Juillet, mais demeure ambiguë. A l’image de Napoléon I , il veut faire du despotisme éclairé. Il est partisan du suffrage universel (truqué, césarisme démocratique). C. Napoléon III libéral ? Controverse historique : attitudes incontestablement libérales (suffrage universel, syndicalisme, annulation des actes administratifs illégaux, responsabilité du gouvernement devant les chambres…). Libéral

méfiance Les fonctionnaires civils se sentent dépossédés de leur pouvoir > On a proclamé l’état de siège ce qui fait que les pouvoir de police sont donnés à l’armée Le gouvernement a peur de l’autorité de certains militaire, on redoute le césarisme On redoute Gallieni (en effet très autoritaire) et Joffre B dit que l’union sacrée est essentiellement l’union pour se défendre 3) l’évolution de l’opinion publique (aout-septembre 1914) A) les français au mois d’aout 1914 Les français auraient

ONU Dans ses articles De Gasperi reconnaissait il avait gardé essentiel du programme du PPI en lui donnant un ton plus moderne Il demande aux jeunes de ne pas dédaigner expérience des anciens Sur les institutions il déclare pas de parti unique de césarisme plé biscitaire de monarchie réactionnaire de république dictatoriale oligar chie des riches de dictature du prolétariat mais il se garde bien de faire un choix entre Royauté et République et demeurera ce sujet parfaitement neutre au référendum de

pouvoir personnel du premier consul, cela par le morcellement du législatif, par l’unité de l’exécutif et une subordination au premier consul. Section 2 : La consolidation de la dictature personnelle Le régime consulaire va être qualifié de césarisme, c’est le nom donné à une dictature qui s’appuie ou prétend s’appuyer sur le peuple. L’une des grandes caractéristiques du régime de Napoléon est d’avoir utilisé la démocratie comme un instrument en vue de fonder son pouvoir personnel. Une évolution

despotique, ne puisse être dominée et soumise par le pouvoir gouvernemental ou présidentiel. Elle s'oppose aux exécutifs trop faibles, comme aux gouvernements trop forts. Elle s'oppose aux excès de la souveraineté poussée à ses extrémités et à ceux du césarisme démocratique. Le bicaméralisme prouve sa considérable utilité que déjà Montesquieu avait pleinement comprise : "Le corps législatif étant composé de deux parties, l'une enchaînera l'autre par sa faculté mutuelle d'empêcher" en soulignant en même

peuple en se passant des chambres parlementaires et des représentants de la N°. Ils sont là mais on essaie d'éviter le passage devant la représentation nationale. Bonaparte garde un lien de nature passionnel avec son peuple = pratique politique = césarisme. On a un État autoritaire, appuyé plus ou moins fictivement sur les masses populaires (= des périodes précédentes et du suffrage censitaire). Volonté de se situer dans un chemin radicalement différent de celui suivi sous la R°. 2. Évolution constitutionnelle

juridique. Les libertés publiques sont ignorées donc elles vont êtres assez vite étouffés comme la liberté d’expression et de la presse. La souveraineté est confisquée, donc en 99, la souveraineté n’est ni populaire ni nationale. Ce système est le césarisme démocratique avec ce principe inventé par Sieyès avec cet adage : « la confiance vient d’en bas et le pouvoir vient d’en haut ». Ce n’est pas une vraie séparation des pouvoirs : Nous avons dont un pouvoir exécutif qui tient la 1ère place, on

élections présidentielles sous la Ve République. Cautionnement électoral : somme qu’un candidat dépose avant l’élection et qui lui sera remboursé si celui-ci obtient un certain pourcentage de voix. Ce système évite la multiplication des candidatures. Césarisme : abandon du pouvoir par le peuple à un homme de confiance (cf. Ier Empire) Chambre : assemblée du parlement. Chambre des députés : assemblée législative sous la IIIe République et sous les chartes. Circonscription électorale : portion du territoire

nombre y trouve des avantages et de menus privilèges . Section 3 Les régimes autoritaires Le terme désigne de nombreuses formes politiques, désignées sous différents termes : c’est ainsi que l’on parle de despotisme, de bonapartisme, de césarisme, de populisme, voire d e fascisme encore que ce modèle, que concrétisa le fascisme italien n’est plus guère présent, en tant que tel. On a envie de dire que derrière la catégorie « régimes autoritaires » il s’agit plutôt aujourd’hui, de désigner