Césure

années 5. Actions sur scène (rejet de la règle de bienséance des auteurs classiques) : • scènes violentes sur scène : duels, combats... • baisers... 6. Forme du texte : • alexandrins tétramètres (coupés à la césure) • trimètres (coupés en trois parties, sauf à la césure) • alexandrins assouplis ( contenant plusieurs répliques dans un seul vers). 7. Registres : • mélange : comique et tragique • Emouvoir en montrant la vie réelle comique ou tragique, vue à travers l’Histoire.

sont l’octosyllabe, le décasyllabe et l’alexandrin. L’octosyllabe est un vers de huit syllabes, sans césure (coupure) ; le décasyllabe contient dix syllabes, avec une césure à la quatrième, cinquième ou sixième syllabe ; l’alexandrin comprend douze syllabes, avec une césure à la sixième – il comprend aussi, normalement, un accent mineur dans chacune des deux moitiés du vers, avant et après la césure. Par exemple : « Il fit scier’ son on’cle / Achmet’ entre deux plan’ches » (dans ce vers d’Hugo tiré

divise le vers en groupes rythmiques. L’endroit où s’arrête un groupe rythmique s’appelle la coupe. La coupe principale d’un vers s’appelle la césure. Les coupes sont souvent liées à la ponctuation du poème. Exemple : Un soir,/ t’en souvient-il ?// nous voguions en silence 2 Coupe 4 Césure 6 Cet alexandrin est découpé en deux hémistiches de 6 pieds par la césure. Le premier hémistiche se compose de deux groupes rythmiques de 2 et 4 pieds, le deuxième hémistiche se compose d’un groupe rythmique de 6 pieds

splendides j'ai rêvées! Diérèse et synérèse : Exemple : prononciation de "une liaison" En faisant la diérèse : une [li][ai]son -> 3 syllabes En faisant la synérèse : une [liai]son -> 2 syllabes Hémistiche et césure : L'hémistiche est la moitié d'un vers. Il est marqué par une césure. Exemple : Qui n'a pu l'obtenir || ne le méritait pas Harmonie sonore : Le roulement des chars, le sifflement des balles. (Hugo) -> sifflement : mime

Vers de dix syllabes. *Diérèse : Décomposition de deux voyelles consécutives en deux syllabes . ex : e mot " nation" fait en prose deux syllabes ( na –tion ), et en poésie trois : (na – ti - on.) *Octosyllabe - Vers de huit syllabes • Césure : repos effectué dans un vers après une syllabe accentuée *Quatrain - Strophe composée de quatre vers. *Tautogramme - vers dont tous les mots commencent par la même consonne. *Tercet - Strophe de trois vers. *Vers - assemblage de mots réunis

récurrentes et omniprésentes. Avec ces antithèses il y a un chiasme croisé avec « ciel et abîme » puis « gou�re et astre ». Les phrases sont construites de façon binaire. Les alexandrins sont binaires avec un rythme à 2 temps donc il y a une présence de césure donc balancement régulier. Donc la Beauté est un mélange de Bien et de Mal avec 2 champs lexicaux di�érents, toute puissante avec un facteur de désordre « tu sème au hasard » puis « tout et rien » qui sont connotés positivement ou négativement. Il

plus pur// que le fond/de mon cœur. IV. L’Alexandrin L’Alexandrin comporte 12 syllabes et obéit à des règles précises. L’Alexandrin classique comporte 4 accents d’intensité : - 2 accents principaux avant la césure, et à la rime - 2 accents secondaires qui peuvent varier La césure est habituellement placée après la 6ème syllabe et coupe le vers en deux hémistiches. Ex : Un destin/ plus heureux//vous conduit/ en Epire.  L’Alexandrin « romantique » = le trimètre Ex : Tantôt des bois/

peut être considéré comme la césure du vers 1. Le rêve est "familier" (titre du poème) mais également "étrange et pénétrant" (vers 1) -> confusion et contradiction car ce qui est familier n'est en général pas étrange : Verlaine rêve d’un monde différent ("étrange") mais dans lequel il se retrouve ("familier"). Les allitérations en [r] et en [t] font sonner durement ce premier vers. Rythme confus, flou : nombreux enjambements (vers 1, vers 3, vers 5...), refus de la césure à l’hémistiche, (vers 9, 13-14

il doit y avoir un accent de relais appelé césure, il doit coïncider avec une séparation de mots. Dans les vers de 10 syllabes, la césure se produit après la 4e ou la 5e syllabe. Dans les alexandrins, elle est placée après la 6e syllabe. La césure coupe donc l’alexandrin en deux hémistiches (ou demi-vers) égaux. L’enjambement, le rejet, le contre-rejet L’enjambement, quand la phrase ne s’arrête pas à la fin du vers, mais déborde jusqu’à la césure ou à la fin du vers suivant. Il marque en général

les accents tombent sur les syllabes 4 et 8, et produisent une joyeuse symétrie, rythmique et harmonieuse. Au xvie siècle, le vers dominant est le décasyllabe. Le rythme du décasylabe est régulièrement déterminé par la coupe, ou césure, qui suit la syllabe 4. De ce fait, sont accentuées les syllabes 4, 6 et 10. En l’occurrence, le rythme met en relief les deux mots-clés antithétiques, « Mort » et « jour », que rapprochent cependant les riches sonorités du [r], qui traverse en allitération