Cette Vue Si Longue Et Si Prochaine De La Mort

Devoir Maison de Français :SUJET : DissertationIntroduction : Dans cette pièce de Lagarce Juste la fin du monde, le protagoniste, Louis, fait d’emblée l’annonce de sa mort proche et sa volonté de l’annoncer à sa famille. Cependant, cet aveu est empêché et le lecteur est dans l’attente de cet aveu, sans cesse déçu puisqu’il n’assiste à aucune révélation de la part de Louis. C’est pourquoi Jean-Pierre Sarrazac présente cette pièce comme « un drame qui n’advient pas, qui restera l’affaire intime d’un

passage : La pièce n’a donc pas encore commencé et pourtant, le personnage principal, Louis, dans un des nombreux monologues qu’il fera dans la pièce, annonce au public sa « fin prochaine et irrémédiable » et de la nécessité d’aller l’annoncer aussi à une famille qu’il n’a pas vue depuis douze ans. En quoi ce prologue annonce-t-il la tragédie à venir ? 1er mouvement : Louis, l’année d’après...2ème mouvement : Le retour imaginé...3ème mouvement : …

naissance de l’individu. En plus, il y a plusieurs exemples actuels qui peuvent être liés au sujet, comme l’assassinat de Joe Van Holsbeeck. La question est de savoir si cette nouvelle tendance est au profit de l’homme ou au contraire. Il s’ensuit qu’il s’impose aussi bien un commentaire négatif qu’une vision positive. Lors d’une longue période de l’histoire, l’homme a été entièrement dépendant de la société . La notion de subjectivité était ignorée. Néanmoins, plusieurs révolutions, comme la Révolution

faisant croire à tout le monde qu’il était tout le temps mal aimé.- “Je ne savais pas que tu partiras pour tant de temps, je n’ai pas fait attention, je ne prenais pas garde, et je me suis retrouvée sans rien”→ montre que Louis est parti pour une longue durée, en abandonnant toute sa famille. - « Plus tard encore, c'est il y a quelques mois, je me suis enfui.Je visite le monde, je veux devenir voyageur, errer.Tous les agonisants ont ces prétentions, se fracasser la tête contre les vitres de la chambre

 Jean –Luc Lagarce (1957-1995) est un auteur dramatique, metteur en scène et acteur qui a appris en 1988 sa séropositivité. Il compose entre 1990 et sa mort une trilogie sur le thème du retour d’un fils malade chez lui, dont fait partie Juste la fin du monde. Cette pièce au rythme quasi biblique se rattache à la tragédie antique tout en étant une pièce très moderne. Un « prologue », discours qui précède la parole théâtrale dans la tragédie grecque

partir d’une situation réellement vécue par l’écrivain, sa mort prochaine qu’il doit annoncer à sa famille, de parler de ce thème sans coller cependant à la réalité vécue par l’auteur et il en ressort une création assez originale pour un moment de théâtre au style particulier. En effet, par son écriture, par le ton employé, Jean-Luc Lagarce nous livre une œuvre au style littéraire difficilement définissable et nous pouvons nous demander si « Juste la fin du monde » est une tragédie. Nous essaierons

utilise une figure d'insistance, l'accumulation, pour prouver le coter destructeur de la guerre: «On l'a toujours vue remplir le monde de veuves et d'orphelins, épuiser les familles d'héritiers, et faire périr les frères a une même bataille.» (1-2) Il utilise ce procédés également pour montrer à quelle point il plaint la mort causée par la guerre du Jeune Soyecour et regrette cet homme si bon: « je regrette ta vertu , ta pudeur , ton esprit déjà mur , pénétrant , élevé , sociable ». (3) . Ensuite,

La peine de mort (ou peine capitale) est une sanction pénale ordonnant la suppression de la vie d’un condamné. Elle est infligée à une personne, reconnue coupable d’un crime passible de cette peine, à l’issue d’un procès organisé par une juridiction légale appartenant à un État dont la législation prévoit ce châtiment. L'abolition de la peine de mort en France en 1981 consacre un long combat deux fois centenaire, marqué par de nombreuses tentatives depuis la Révolution. Le vote de la loi Badinter

s’écoulait sans qu’il ne nous apporte des nouvelles du décès de quelque connaissance. Ainsi, comme la fatalité augmentait, nous apprîmes à nous attendre quotidiennement à la perte de quelque ami. À la longue nous tremblions à l’approche de chaque messager. L’air même du sud nous semblait imprégné de mort. Cette pensée paralysante, en effet, prit entière possession de mon âme. Je ne pouvais ni parler, penser, ni rêver à rien d’autre. Mon hôte était d’un tempérament moins excitable, et, bien que le moral

Regardez Mère, il y a des dauphins !! B : Mon cher Maxime Louis c’est magnifique, la mer présente bien des plaisirs. Mais tout de même il me tarde d’arriver à destination. Le baron, votre grand-père a gentiment accepté de nous accueillir après le mort de votre papa dans sa propriété en Amérique. PAUSE (plus personne ne bouge) le pirate Barbe noire arrive et dit : Vous voyez ce jeune homme de bonne famille, ce cher petit Maxime Louis et bien c’est moi ! Je vais vous raconter comment je suis devenu