Chacun Peut Il Exprimer Sa Verite

la vérité. Cette valeur est perçue comme celle des gens honnêtes, bons, comme une qualité par l’opinion publique cependant Nietzsche va dans ce texte ôter toute idée morale associé au fait de dire la vérité, en la présentant comme un résultat purement utilitaire. Il répond ici à la question philosophique pourquoi les hommes mentent-ils ? Est-ce que la vérité ne serait pas plutôt une commodité qu’un fondement moral de notre société ? Dans la première phrase de cet extrait, Nietzsche exprime sa réflexion

dissimuler sa personnalité réel par exprimer des sentiments ou des opinions non possédés pour s’attirer des faveurs sociales, certains refusent d’avoir une telle relation au sein de la société or d’autres acceptent ce caractère sans problème alors que la plupart d’eux sont des personnes flatteuses, donc est-il judicieux d’utiliser l’hypocrisie dans nos relations sociales ? L’hypocrisie est un comportement qui permet de faire entendre l’auditeur tout ce qui peut le faire plaire comme l’exemple de

juger. Comment concilier, alors, la critique de l’opinion avec la reconnaissance de sa liberté ? A quoi sert-il de défendre un droit qui par le mépris est sans cesse bafoué ? Se défier des opinions privées, n’est-ce pas souterrainement se réserver la vérité ? Si pourtant l’opinion est hâtive, si les avis sont précipités, c’est qu’ils ne sont pas privés. La limite de l’opinion n’est pas qu’elle soit personnelle, mais impersonnelle. L’opinion, loin d’être subjective, est souvent partagée. C’est un écho

Peut-on séparer penser et parler ? Le langage, nous dit la doxa, sert à communiquer. Mais ce n’est qu’une des fonctions du langage. Tous les êtres vivants ont une manière de communiquer. Les animaux crient. Cette forme de communication est en rapport direct à la nature, presque instinctive. Mais l’être humain se distingue par le langage. L’homme pense le langage. Nos cris de peur par exemple, sont instinctifs, mais nos paroles, nos mots, sont pensés. On incorpore dans notre discours notre vécu

Dissertation de philosophieSujet  : Le langage trahit-il notre pensée ? Dans notre société, la vérité se définit comme une parfaite adéquation entre le langage et la pensée : dire ce que l’on pense, serait dire la vérité. En grec, le logos signifie d'ailleurs à la fois la pensée rationnelle et le langage. Ainsi, le langage et la pensée sont reliés par cette notion de vérité. Or avoir un langage fidèle à notre pensée, nécessite des mots qui le reflètent réellement : c’est-à-dire capable

our le silence, nous devons distinguer deux niveaux : en effet, être silencieux signifie ne pas exprimer par des vibrations sonores, l’agitation intérieure, mais, au delà de cette acception, c’est aussi être capable de maîtriser cette agitation afin d’obtenir une paix silencieuse intérieure. Quand à l’expression orale, Verbe, langage ou parole, les mots ne signifient pas la même chose selon la personne qui les prononce ou qui les reçois, car le code est flou pour le profane et le décodage est

question primordiale de la sincérité que nous pouvons définir de deux manières différentes. Premièrement la sincérité peut concerner le domaine psychique en se définissant comme étant la manière réelle de penser ou de ressentir. Puis vient le domaine plus actionnel, c'est-à-dire le fait de s’exprimer sans déguiser ses pensées et ses émotions. Nous pouvons donc noter que dans chacun de ces deux cas il existe la notion de conscience ou d’inconscience. Effectivement, trois grands philosophes ont élaborés

plusieurs raisons : le poète est en partie lié au sacré – le sacré n'est pas forcément l'expression d'une religion, mais peut renvoyer à une manière enchantée, spirituelle de voir le monde ; d'autre part, le langage est à la fois l'outil le plus banal de la communication, et la forme la plus haute de la spécificité humaine – l'instrument du poète est de ce fait très proche de chacun d'entre nous, mais nous avons tous l'intuition du fait que les mots, malgré leur utilité dans le quotidien, sont magiques

l’esprit de séparativité, d’où elles éclairent un dressage arbitraire, donc suranné. À notre avis, l’étiquette ne peut jamais s’exercer au détriment de la simplicité, de la spontanéité, de l’originalité, du naturel, empêchant un être de rester pleinement lui-même en toute occasion. Elle ne doit pas empêcher un être de rester pleinement lui-même, de se présenter tel qu’il est, d’affirmer sa vérité nue. Toute règle de bienséance qui contreviendrait à ces éléments sains de l’expression de soi se désavouerait

détenir la vérité, c'est-à-dire détenir la réalité correcte. Mais face à une telle diversité, on pourrais vouloir renoncer à chercher la vérité absolue, ce qui nous semble réel peut nous semblé relatif, c'est-à-dire résoudre par nos expérience personnelle ou la culture dans laquelle nous vivons. Les sens aussi peuvent fausser la vérité absolue l’écoute est différente entre chaque êtres humains, les goût diffèrent l’un va aimé les tomates l’autre non, mais alors qui détiendrai la vérité si elle est