Chaebol

(Philippines, Indonésie, Viêtnam) et la Chine qui "décollent". • Tous sont touchés par une crise au milieu des années 90 qui marque la fin d'une période de croissance ininterrompue. Une structure industrielle similaire : quelques grands groupes (Chaebol en Corée, Keïretsu au Japon) et une foule de PME qui alimentent les grands groupes et amortissent les crises. Le modèle suivi dans tous ces pays est très proche et s'inspire du Japon : • Développement des industries demandant peu de compétences

usines. La conception est aux EU. USA →HK→ chine/Thaïlande/ Indonésie. A HK, on gère le design, textile. • De l’émergence au dvpt, la Corée du Sud : Ce n’est plus un pays atelier. 4eme pays de déposition de brevets au monde (150 000).Gdes firmes : Chaebols. 11 ème rang mondial pour compétitivité. Salaires entre salaires portugais et espagnols. Deux types de produits : bas de gamme et HVA. 2_ L’Asie méridionale et centrale aux portes de la mondialisation •Une faible intégration : La plupart de ces

of the industrialised countries or of a national conflict. South Korea is the best example. Many conflicts took place, numerous violent demonstrations and crisis have been dealt by the authoritarian Park Chung Hee Regime who also put in place the chaebol (large conglomerates), a Korean version of the Japanese Zaibatstu, which was the motor of their economic development (Appelbaum, R.P, 1992: 33-55). During the Asian financial crisis which started in 1997, the IFM blamed governments for being the cause

pétrole « du puits à la pompe ». Concentration conglomérale : General Electrics par exemple, le conglomérat réunit dans un même groupe des entreprises qui ont des métiers très différents, comme Bouygues en France, PPR, ou conglomérat coréens, les chaebols. Périodisation : Révolution industrielle, taille des entreprises encore limitées. Ensuite affirmation avec sidérurgie et ferroviaire. Apparition de l’usine comme première forme de concentration des entreprises. Accélération à partir de 1870

mondialisation mais aussi et surtout par le choix d’orientations politiques en fonction des réseaux-portuaires existants, des possibilités de connexion aux grands axes économiques mondiaux et des stratégies des grands groupes industriels : Keiretsu au Japon, Chaebol en Corée du Sud, grandes firmes privées à Taïwan et à Hong Kong, grandes entreprises d’Etat en cours de privatisation en Chine. [pic] rattachée à la Chine en 1997, Shantou et Xiamen avec Taiwan. Au cours des années 90, l’Etat chinois développe

l’augmentation du chiffre d’affaire de l’entreprise de 25%/an, la productivité de 16% et le respect de délai de livraison prévu de 12% de 1990 à 1995. Les points communs de ces grands groupes coréens sont le fait que ces entreprises sont toutes des « chaebols » (terme coréen) qui signifie en français des conglomérats (entreprises qui s’investissent dans différents domaines au lieu de se limiter à un seul). Ils ont une forte ressource capitale, ils sont beaucoup représentés à l’international grâce à leur

une malléabilité maximale. De plus cette permanence des salariés permet des investissements massifs en formation et cela jusqu'au niveau de cadre moyen (35-40 ans), ce qui accroît sensiblement l'efficacité des salariés nippons. La structure des "Chaebols" coréens, si elle est également conglomérale, n'en est pas moins différente. L'entreprise coréenne est une énorme organisation familiale dirigée de façon militaire. Ces grands conglomérats dépendent traditionnellement des pouvoirs publics pour se

internationales. Ceci dit, pour ce faire, il faut à la fois se moderniser et s'adapter à la concurrence. Partout au nord les structures de production et la concentration se renforcent. Au Japon les keiretsus sont puissants, en Corée ce sont les chaebols, aux États-Unis les entreprises sont toujours les premières mondiales. Les chantiers navals japonais ont largement profité du gigantisme nécessaire des tankers suite à la fermeture du canal de Suez, ceci avec la bénédiction du MITI. Il faut absolument

Elle a provoqué un afflux trop massif de capitaux étrangers, que les banques locales ont placé, par exemple, dans des activités spéculatives (comme l'immobilier) ou peu rentables économiquement. En Corée, le secteur bancaire et indirectement les chaebols (les grands conglomérats industriels qui dominent l'économie du pays) croulaient sous les dettes externes à courte échéance. Ce sont ces châteaux de cartes qui se sont effondrés quand les capitaux étrangers ont pris peur. Dans certains pays, la

permis aux paysans de s’enrichir : une petite bourgeoisie rurale nait de la réforme agraire, qui fait la spécificité industrielle du pays : investissements dans des activités artisanales. PME extrêmement dynamique à l’exportation différence avec les Chaebols de Corée. La Corée plonge en 1997 avec la crise. Taïwan (mais aussi Chine, la Malaisie qui contrôle les changes) garde sa croissance car les Entreprises Taïwanaises ne sont pas endettée, gérée de façon normale, pas de spéculation. Taïwan exporte