Chaebol

la technologie et l’électronique… L’intervention gouvernementale a soutenu certaines industries durant la deuxième moitie du 20eme siècle mais aussi et surtout des entreprises. Ce choix politique explique donc la prédominance des conglomérats (Chaebol) dans l’économie coréenne. Ces entreprises sont connus internationalement et sont des géants en Corée, parmi ces entreprises nous pouvons citer Hyundai, Samsung ou encore LG. Elles ont une influence immense sur la société et l’économie coréenne

une malléabilité maximales. De plus cette permanence des salariés permet des investissements massifs en formation et cela jusqu'au niveau de cadre moyen (35-40 ans), ce qui accroît sensiblement l'efficacité des salariés nippons. La structure des "Chaebols" coréens, si elle est également conglomérale, n'en est pas moins différente. L'entreprise coréenne est une énorme organisation familiale dirigée de façon militaire. Ces grands conglomérats dépendent traditionnellement des pouvoirs publics pour se

épicerie de riz, sucre et de poisson séché nommé Samsung est créée. Par la suite, le gouvernement finance les entreprises afin d’aider le pays dans son développement économique. Le Groupe Samsung qui signifie « trois étoiles » est un des principaux chaebols, ces conglomérats coréens constitués de différentes sociétés que lient des relations financières complexes. Plusieurs sociétés importantes s'y rattachent. Le groupe Samsung possède une cinquantaine de filiales qui ont des activités dans l’électronique

système de crédit dirigé, des restrictions sur les importations, le financement de certaines industries ; il s'explique aussi par une très importante quantité de travail. En plus de cela, la présence des grands groupes industriels coréens appelés « chaebols », associés à protectionnisme économique, ainsi qu’au développement des activités exportatrices financées par des prêts à taux bas, ont également permis son expansion. Le gouvernement a favorisé l’importation de matières premières et de technologie

directement mais pour l'instant les volumes de vente ne justifient pas encore les investissements, et elles passent toujours par les importateurs. Ventes au détail Les points de vente de vin appartiennent généralement aux grands conglomérats coréens (Chaebol). Ils prennent la forme de boutiques gourmet dans les grands magasins, de supermarchés, hypermarchés, ou convenience stores. Il existe également des détaillants spécialisés dans la vente de vin. Les supermarchés, hypermarchés et entrepôts discount

milliards de dollars en 2005 et 8 milliards de bénéfice) et intéressante pour notre programme. Elle est un bon exemple de FMN dans le cadre de la mondialisation mais également un témoignage de la réussite sud-coréenne en Asie Orientale. Samsung est un chaebol. L’entreprise regroupe des activités dans la chimie, l’aéronautique, l’industrie lourde, les services financiers et l’électronique grand-public. En occident, on la connaît surtour pour ses téléphones, ses télévisions à écran plat, ses ordinateurs

fin des années quatre-vingt de la hausse du yen et de la montée des concurrences. * les dragons : suivent l'exemple japonais avec les mêmes motivations. La division internationale y est favorisée par l’apparition des grands groupes industriels ( Chaebols coréens ou groupes industriels chinois de Taiwan ou de HK) Pour l'ensemble de cette aire de puissance se développe un courant d’échanges de produits de plus en plus similaires entre Japon, Dragons et d’un commerce intra branches similaire à celui

passage à une politique prenant en compte cette question. En outre, l’importance du programme inscrit, de façon opérationnelle, la structure économique de la Corée du Sud dans le champ de l’urbain. Ce sont les grandes sociétés privées coréennes (les chaebol) qui ont bénéficié des contrats de construction (Hyundai, Samsung, etc.). L’importance des projets (ville pour 300 000 à 400 000 habitants) montre bien que les économies d’échelle sont au cœur des stratégies de construction et que la rentabilité doit

une malléabilité maximales. De plus cette permanence des salariés permet des investissements massifs en formation et cela jusqu'au niveau de cadre moyen (35-40 ans), ce qui accroît sensiblement l'efficacité des salariés nippons. La structure des "Chaebols" coréens, si elle est également conglomérale, n'en est pas moins différente. L'entreprise coréenne est une énorme organisation familiale dirigée de façon militaire. Ces grands conglomérats dépendent traditionnellement des pouvoirs publics pour se

n'est pas très développée et ne pas pratiquée par eux. Au contraire l'endettement est le seul moyen externe qui permet de recevoir les ressources pour investir dans l'activité. Juste avant la crise le taux d'endettement des entreprises coréennes (les chaebols) était de 600% - 700% de leur chiffre d'affaires32, pourtant le taux de remboursement du crédit était de 0,94%, ce qui veut dire que les paiements n'étaient pas suffisants pour payer les dettes. Quand les sources d'endettement ont été épuisées, les