Chaebol

investir massivement dans des fabrications modernes ; le rôle de grandes compagnies multinationales y est important. * La Corée du Sud a imité de très près le modèle japonais, avec le développement de grandes sociétés à l’image des Kereitsu, les Chaebols (grande entreprise coréenne à valeur conglomérale). A Taïwan, le tissu industriel est fait d’une grande quantité d’entreprises petites et moyennes. * La Chine, depuis son ouverture de son économie, surtout sur son littoral, bénéficié d’investissements

investir de manière coordonnée ces secteurs industriels : à Hyundai les chantiers navals, à Posco la sidérurgie, …. Confortés par leurs premiers succès, notamment les positionnements judicieux ou heureux en pétrochimie et sidérurgie, ces groupes appelés chæbols augmenteront rapidement leurs capacités de production et la qualité de leurs produits. Les grèves de 87 changeront fondamentalement ce mode de développement, même si les premiers effets ne se feront pas sentir immédiatement. Les concessions accordées

Corp. et 19 % pour SoftBank35. 2.3.6 Corée du Sud Une grappe industrielle importante a été formée en Corée du Sud par l’agglomération d’entreprises autour des entreprises Samsung et LG. La sous-traitance continue de Samsung et des autres chaebols (soit des conglomérats 31 32 33 34 35 MobileMag, 2010. The New York Times, 20 juillet 2009. BusinessWire, 2010. Nations Unies (CESAP), 2010. Jong Woo Kim, Hanyang University, 2008. Raymond Chabot Grant Thornton Alliance numérique Étude

les principales banques japonaises ont été confrontées aux problèmes de créances douteuses. Les fusions-acquisitions jusqu'alors très rares, ont commencé à prendre de l'ampleur. • En Corée du Sud, les conglomérats assez similaires portent le nom de chaebol. • PNB = PIB + ( revenus des facteurs du travail et du capital en provenance de l'extérieur revenus des facteurs du capital et du travail versés à l'extérieur ) PNB = PIB + solde extérieur SOGO SHOSHAS • Au Japon, les sōgō shōsha sont des maisons

sous-développé non pas parce que les firmes multinationales investissent en Afrique mais plutôt qu‟au contraire ces dernières n‟y sont pas assez présentes. 26 Des firmes multinationales de pays du Sud apparaissent même dans le concert des grandes. Les “chaebols ” coréennes sont exemplaires de ce mouvement. Sept firmes de taille internationale réalisent 40 % du PIB coréen. Samsung s'est dotée d'une stratégie mondiale, d'une culture internationale, et son palmarès est des plus éloquents (un chiffre d'affaires

aux infrastructures, à l’éducation, aux aides aux entreprises (exonérations fiscales)… autant d’éléments indispensables pour s’ouvrir sur la mondialisation et pour effectuer la remontée des filières - l’Etat s’appuie sur de grands groupes (ex : les chaebols en Corée du Sud comme Samsung ou Hyundaï) qu’il protège à l’intérieur (ex : le marché coréen a longtemps été fermé à la concurrence) et qu’il stimule à l’extérieur par du dumping (ex : cours de la monnaie nationale laissé volontairement bas) - l’Etat

Thaïlande, avec l’effondrement du baht (monnaie thaïlandaise) au printemps de 1997, la crise financière a secoué plus ou moins fortement les Quatre dragons. La Corée du Sud a été une des plus touchées, elle a dû remettre en cause l’organisation des chaebols (conglomérats) et son système bancaire. Finalement, c’est, en partie grâce au dynamisme de la Chine continentale, que l’aire de l’Asie orientale a pu juguler les effets de cette crise. c. Du sous-développement au développement Période 1950 1973

form of a pro-Malay development strategy that became the central driving force. In Korea, a symbiotic relationship between business and government was formed, a link that had some real costs but one that also helped produce the successful Korean chaebol, or conglomerates, of today”(Leipziger & Vinod, 1994) - The attempt to have new institutions forged to facilitate deeper incorporation of national economies into the structures and values of neoliberal globalization engendered new conflicts in

Stratégie de stratégie de l’entreprise à l’internationalDéfinitionLa stratégie est une trajectoire sur une perception dynamique, chaque action en s’intégrant et en renforçant les opérations précédentes consolide et détermine les manœuvres futures.Dans une perception statique, c’est le positionnement concurrentiel en un instant T, ce positionnement a pour but de surclasser les concurrents et de prendre un avantage concurrentiel durable. EX : les segments démarchés visé, la valeur créer pour les clts

asiatiques vis-à-vis des technologies importées, rendant l’innovation plus difficile dans des secteurs ou la compétitivité s’émoussait fatalement. Les entreprises se sont alors sur endettées, dans des projets pas forcément judicieux : en Corée, les chaebols (ensembles d'entreprises, de domaines variés, entretenant entre elles des participations croisées) ont atteint des ratios d’endettement de 500%, selon une politique entrepreneuriale préférant l’expansion d’activité à l’engrangement de bénéfices