Chaine De Valeur Dacia

peut retrouver des éléments de proxémique dans l’architecture (riyad par exemple). 3) Le langage du temps (le langage silencieux) La seconde interface dont parle Hall est le temps. Il constate que dans les cultures occidentales, le temps est une valeur très précieuse. Dans d’autres cultures, le temps ne compte pas, on peut passer des nuits à négocier. Le temps c’est le temps qui passe mais également l’heure à laquelle on peut s’adresser à quelqu’un. Choc de culture vis-à-vis du temps (Roi du Maroc

producteur et client) et les circuits longs(plusieurs intermédiaires). Le fait qu’un circuit soit plus court qu’un autre ne signifie pas qu’il est plus avantageux pour le client et/ou le producteur. L’efficacité économique d’un circuit est fonction de la valeur ajoutée et de la productivité de chaque canal. 3. Les formes de commerce. On distingue généralement trois formes de commerce : Le commerce indépendant : avec la distinction entre commerce de détail et commerce de gros : - le commerce de gros

investissements directs à l’étranger (IDE), dont l’importance de plus en plus grandissante affecte le commerce international et qui conduit à la décomposition des processus de production au niveau international, ou si l’on préfère à la constitution de chaînes de valeur mondiales (CVM), ce qui n’est pas sans incidences sur l’attractivité des territoires, les rivalités entre ces derniers, le choix des implantations de ces firmes et des processus de multinationalisation mis en œuvre par ces acteurs. Ces stratégies

rapport à 2000. © CCMP – 2010 –NISSAN – DERHY-PASTUREL – ESG Management School 15 B. Les concurrents du marché de l’automobile en 2009 Marques Nissan PSA Renault Divers France Total Marques françaises Alfa Roméo Audi BMW Chevrolet Chrysler Dacia Daihatsu Dodge Fiat Ford Honda Hyundai Jaguar Jeep Kia Lada Lancia Land Rover Mazda Mercedes Ventes (volume) 45 898 717 474 505 503 76 1 223 053 11 732 49 082 13 393 21 063 1 085 60 719 1 907 1 358 82 285 133 064 14 599 21 505 1 168 1 180 21 157

|7 | |La logistique : un facteur clé de la compétitivité de l’industrie automobile………………. |7 | |Rôle de la logistique portuaire dans la chaîne logistique du secteur automobile………….. |10 | |Partie I : Approche micro – économique………………………………………………………………………………………... |11

classiques prônaient que l’hypercompétition est une stratégie efficace pour générer plus de valeur, et constitue le seul moyen pour se l’approprier (D’Aveni, 1994, Porter, 1990). Cependant, les nouvelles approches en stratégie mettent en avant la notion de l’avantage coopératif. En effet, la valeur ainsi créée peut être plus importante en étant en coopération avec les autres acteurs impliqués dans la chaîne de valeur (intégration verticale)[3]. Par ailleurs, la forme de rapprochement inter firmes la plus

emblème de la modernité, voire de la réussite sociale et porteuse de valeurs fortes sur la fin du XXe siècle, l’automobile subit pourtant une crise sans précédent. L’industrie doit faire face à une pression de plus en plus soutenue des pouvoirs publics. Les mutations technologiques induites par la prise de conscience écologique et l’avènement des TIC obligent les constructeurs à se réorganiser au sein de la filière. Chaîne de valeur de la filière automobile Eléments macro économiques La crise

Elle veut tout faire elle-même, sans dépendre d’autruis. Les formes : - Intégration horizontale : L’entreprise dans ce cas augmente ses capacités de production en intégrant d’autres unités de production concurrentes (ex : Renault, Renault Dacia, Renault Nissan, Crédit agricole, Pariba …) - Intégration verticale : L’entreprise va intégrer soit des activités amont (devenir propriétaire des sources d’approvisionement des matières premieres), soit en aval (elle va commercialiser elle-même

utilisés à la résolution de cette réflexion. Enfin, je noterai les apports de ce stage et ce que j’ai pu en tirer comme valeur ajoutée. I- L’environnement économique du stage : A-Le secteur 1-présentation : Le Maroc produit et assemble depuis 1959 des voitures mais aussi des camions de transports à Casablanca où la société marocaine SOMACA produit les modèles automobiles "Dacia Logan", "Peugeot Partner", "Citroën Berlingo" et "Renault Kangoo". En février 2007 plus de 5000 voitures marocaines

constructeur roumain Dacia. Toutefois les équipementiers ne sont pas en reste. Comme ils sont aussi très souvent fournisseurs. SDL du 07/02/2009 6 Depuis la première moitié des années 90, ils ont d’ailleurs implanté 24 usines dans la zone Peco*. Pneumatiques, vitrage automobile, plasturgie automobile, services industriels du travail des métaux, et autres fournisseurs de la chaîne de l’équipement automobile ont eux aussi emboîté le pas. Depuis 2000, les entreprises françaises de la chaîne de l’équipement