Chambre De Félicité

est quasiment vierge. A la relève de 13h30, lorsque l’infirmier parle de Mme B. j’en profite pour les informer de sa prise alimentaire, hydrique, de son traitement et que je l’ai noté sur la fiche. L’équipe très étonnée de cette performance, me félicite et me demande de renouveler l’opération les jours suivants, ce que j’ai fait jusqu’à la fin de la première semaine, avec ses phases d’acceptations et de refus, que j’essaie toujours de contourner et de lui donner un maximum d’eau et de nourriture

fauteuil roulant âgée de plus de 100 ans au réfectoire. Elle était très exigeante car elle était et se sentait une des plus valides de la maison. Après le repas, on aidait à débarrasser puis à remonter les personnes physiquement dépendantes dans les chambres. Le temps étant au rendez-vous, nous promenions chaque jour des personnes autour de la maison pour la digestion ! Plusieurs fois au cours de la journée, je m'installais au réfectoire qui fait aussi salle de jeux et de réception avec les personnes

bibliothèque et constate que le tableau a disparu, seul demeure le cadre. A cet instant Sans atout voit ce qu’il dit être l’homme à la dague s’enfuir dans le jardin. La police est prévenue et intervient pour mener son enquête. Sans atout qui a rejoint sa chambre a du mal à s’endormir …. De retour, dans leur hôtel Monsieur ROBION et son fils racontent leur aventure à Madame ROBION. Bientôt les journalistes affluent dans les environs cherchant des informations. Sans atout, sollicité par l’un d’eux et grisé

Vaubyessard. Mais personne l’invita, elle en devint aigri, lunatique, plus envie de rien, arrêta de le dessin, le piano etc. Elle s’occupait de l’apparence de son mari pour elle, pour ne pas avoir honte. Elle commençait à le mépriser. Engagea une servante Félicité. Ne se cacha plus de ce qu’elle pensait des autres, son mari ne comprit point. Etant malade, il fallait ma changer d’air et s’installer ailleurs au plus grand dame de Charles. Ils partirent à Yonville-l’Abbaye où Charles peut toujours continuer sa

blancs ; et il marchait courbé, comme épuisé. Il comprit ma surprise et me conta sa vie. Un malheur terrible l'avait brisé.     Devenu follement amoureux d'une jeune fille, il l'avait épousée dans une sorte d'extase de bonheur. Après un an d'une félicité surhumaine et d'une passion inapaisée, elle était morte subitement d'une maladie de cœur, tuée par l'amour lui-même, sans doute.     Il avait quitté son château le jour même de l'enterrement, et il était venu habiter son hôtel de Rouen. Il vivait

blancs ; et il marchait courbé, comme épuisé. Il comprit ma surprise et me conta sa vie. Un malheur terrible l'avait brisé. Devenu follement amoureux d'une jeune fille, il l'avait épousée dans une sorte d'extase de bonheur. Après un an d'une félicité surhumaine et d'une passion inapaisée, elle était morte subitement d'une maladie de coeur, tuée par l'amour lui-même, sans doute. Il avait quitté son château le jour même de l'enterrement, et il était venu habiter son hôtel de Rouen. Il vivait

Belle sans Vilenie et les gens des alentours viennent féliciter leur sauveur et observer la créature morte, puis ils le conduisent au château de leur dame. Elle l’accueille comme le meilleur chevalier qui soit au monde. Un papegau rancunier La joie règne, et l’admiration pour le CP. Le papegau en veut au nain de s’être enfuit face à la créature, et de l’avoir laissé. Le CP finit par lui soutirer un pardon. Belle sans Vilenie entre dans la chambre de la dame (« la belle fee a qui appent enseignement »

travail. « ______________ (venir) voir ce que j’ai acheté aujourd’hui », lui a-t-il dit _________________ (gentillesse). Quelle _______________ (joie) surprise elle a eue lorsqu’elle a vu une voiture ______________ (flamber) neuve à l’entrée. Elle l’a félicité pour cet ______________ (acheter). 3) Cette fois le train ralentit ________________ (vrai). La gare est proche. Claire se sent ______________ (émouvoir). À côté d’elle, les _______________ (voyage) s’agitent, ________________ (descendre) les valises

didactique.On voit abondamment l’intérêt dramatique,en effet Gide pique la curiosite’ de son lecteur:”la chambre de ma tante d’ou jaillissent des voix”.Il dit deaucaup de chose en peu de mots.Dans ce livre,le narrateur est àla fois le protagoniste et l’auteur.Gide ironise l’attitude d’Alissa et sa privation.Selon lui,il n’est pas nécéssaire de s’adonner la souffrance pour être digne de la félicite’ célèste.La bonheur célèste n’est pas dans le méprise du bonheur terrestre.La saintete’ d’Alissa est vaine

dans une sorte d’évanouissement où disparurent la vision et les sons. Lorsqu’il s’éveilla, il éprouvait encore la même terrible angoisse que dans le rêve. Il s’élança dans la chambre d’Antonie. Elle reposait, étendue sur le sofa, les yeux clos, l’air doux et souriant, les mains jointes, comme si elle dormait et rêvait aux félicités et aux joies du ciel. Mais elle était morte. »