Chambre des Bourgeois de Virginie

sans savoir même ce que c’est qu’une pensée, et qui fait son métier depuis trente ans, fidèlement, consciencieusement, laborieusement, comme un métier manuel. Homaise est le pharmacien, est un prodige de vérité. Il représente la bêtise du petit bourgeois français. M. Homais n’est pas seulement un savant. Il a des lettres et des goûts artistiques. Il a appelé une de ses filles Athalie Une seule personne dans tout son entourage lui impose un peu. C’est Mme Bovary. Charles Bovary : Bovary est

métal) → quartier populaire + Lantier apparaît comme infidèle → Deux enfants : gros plan émouvant sur « Claude » et « Etienne » (enfants de Gervaise)→ registre pathétique. L’espace : Nombreux « effets de réels » dans la description de la chambre : « misérable chambre », « un tiroir manquait », « petite table graisseuse », « un châle troué » → petits détails qui renforcent l’illusion réaliste. Vocabulaire de la misère, du manque. Gervaise vit à l’hôtel car elle vient d’arriver à Paris et ne connaît personne

que sa “vertu chancelante,” bien que prévenue, ne peut pas résister à la nouvelle tentation. Emma se laisse entraîner dans le fiacre parce que “Cela se fait à Paris!” (249), ce Paris auparavant comparé à un Océan (60). Il est surprenant pour le bourgeois de Rouen, mais pas pour le lecteur avisé, de voir “cette chose si extraordinaire en province . . . une voiture à stores tendus . . . plus close qu’un tombeau et ballottée comme un navire” (250). Le dernier segment de la première partie de la célèbre

vivre à ses crochets, et la battre quand elle ne marche pas droit. Gervaise et ses deux enfants se retrouvent à la rue et sans argent. Au lavoir, elle se heurte à la soeur d’Adèle, Virginie, qui la nargue ; elles en viennent aux mains ; malgré son boitement, Gervaise prend le dessus, et, devant tout le monde, Virginie reçoit une fessée à coups de battoir, et se sent humiliée. Chapitre II Gervaise trouve, chez Mme Fauconnier, rue Neuve de la Goutte-d’Or, un emploi de blanchisseuse, métier qu'elle

Barette » accompagné de son nom de femme mariée « femme Leroux » : elle est malgré son origine, respectable, car mariée et mère de famille. Félicité se retrouve en bas de la hiérarchie : elle n’est nommée que par son prénom comme les enfants Paul et Virginie, titre du livre éponyme de Bernadin Saint Pierre, qui ont sept et quatre ans, l’âge de l’innocence et de la naïveté. Elle n’a donc pas de vrai statut social : elle est servante et n’est rien d’autre. Anaphores : Les anaphores sont surtout pronominales

Comment réagissent madame Aubain et Félicité au départ de Virginie ? Que font –elles ? Les deux personnages veulent combler le vide afin de ne pas trop songer aux séparations. Mais leu comportement est différent : |Madame Aubain « comblait le vide » |Félicité « était minée » | |Ecrit à sa fille |Entre dans sa chambre | |Lit

très bien reçu par le publique. Le film fut très populaire et nominé pour 3 oscars. Résumé Le film débute en 1776 en Caroline du Sud. Les États-Unis sont toujours sous l’emprise de l’empire Britannique. Par contre, les habitants et surtout les bourgeois commencent à se rebeller. Le personnage principal, est un ancien héro de Guerre veuf qui élève ses 7 enfants seuls. Son nom est Benjamin Martin. Celui si ne souhaite que vivre sa vie calmement loin de toute autres guerres surtout contre la plus grande

la littérature et l’art répudient la gratuité des formes, la légèreté, regardées comme aristocratiques et mondaines, pour aller vers le sérieux, l’authentique et le naturel, c’est-à-dire vers ce qui est conforme à la morale utilitaire du public bourgeois d’où le goût croissant pour le néoclassicisme, qui met en avant l’antique, non pas l’antique allégorique de l’époque classique mais un antique historique plus sobre, à la façon du peintre David. »[réf. nécessaire] Projet de reconstruction de l’Opéra

grotesques et odieux, qui circulent sur ma personne et sur mes œuvres. Ah ! si l’on savait combien mes amis s’égayent de la légende stupéfiante dont on amuse la foule ! Si l’on savait combien le buveur de sang, le romancier féroce, est un digne bourgeois, un homme d’étude et d’art, vivant sagement dans son coin, et dont l’unique ambition est de laisser une œuvre aussi large et aussi vivante qu’il pourra ! Je ne démens aucun conte, je travaille, je m’en remets au temps et à la bonne foi publique pour

s’affirmer comme une monarchie administrative solide quel que soit le porteur de la Couronne. L’institution parlementaire fut tout de même un organe fondamental au pouvoir : grâce à son pouvoir financier le Parlement, constitué alors de la Chambre des Lords et de la Chambre des Communes, aurait imposé son contrôle aux souverains. Le Parlement a fixé, entre autres, le montant des taxes sur les exportations de la laine, telles des droits de douane, ce qui a fortement enrichi le royaume. La monarchie persiste