Champ Lexical Cloche

peut être le récit d'une quête amoureuse et pour finir qu'il peut aussi être le récit d'un rêve. I) Le poète éveillant la nature a) Avant le passage du narrateur . => La nature est morte : champ lexical de la mort , de l'inertie : «rien ne bougeait», «morts» , «ombres». Ce champ lexical est utilisé par Rimbaud pour montrer à quel point la nature est immobile et sans vie. => Les ombres de la nuit son ici assimilées à l’inertie, par extension à la mort, de plus les phrases sont négatives

12. Souveraine qui contrôle tout même le destin, représenté allégoriquement comme un chien qui suit sa maîtresse (vers 10). Argument 2 : le poète utilise le lexique de l’amour pour évoquer la beauté :  Le rôle du regard évoqué plus haut  Champ lexical de l’amour : « baisers, bouche, charmé, charmant, amoureusement, ébloui, amoureux, j’aime ». Argument 3 : La notion abstraite devient donc une femme aimée du poète.  Le poète en fait son « unique reine » vers 27 : adjectif « unique » qui marque

systématiquement répétés dans le but de renforcer le sentiment négatif de l’auteur du cinéma et le diffuser en utilisant les mots ne, aucun et aucune comme appui. De plus, certains mots du champ lexical du sentiment son présent dans cette phrase comme « passion » à ligne 10 et « cœurs » à ligne 11. Néanmoins le champ lexical du sentiment est aussi présent dans le reste du texte comme par exemple aux lignes 26 et 28 ou le mot « plaisirs » est répété deux fois : « Les plaisirs sont offerts au public sans qu’il

poète oduisant des détails macabres. A) L’évocation du « vaillant Sud » -Les termes faisant référence aux états du sud du pays sont nombreux : « southern » (du sud) ouvre lenis, ceux où les lynchages étaient les plus répandus. -Le champ lexical de la nature apparaît à travers tout le poème avec les termes « arbre », « fruit », « feuilles », « racines », « peupliers », « magnolias ». Ils ramènent à ce « vaillant Sud » qu’évoque le poème, et dessinent un paysage rassurant, presque

Nous remarquons une certaine fierté du chêne, avec la quantité, le registre soutenu et les effets de syntaxes. Le chêne possède également le pouvoir, avec les hyperboles et l’usage de la première personne. Il y a dès lors installation d’un champ lexical de la protection et de la force, avec les expressions « non content d’arrêter les rayons du soleil », « brave l’effort de la tempête », « tout me semble zéphyr », « je couvre », « je vous défendrais ». Cela peut faire figure d’arrogance. De plus

Il décrit très précisément le commerce de Mouret où les femmes viennent acheter. Il y a beaucoup de termes qui décrivent l’architecture du magasin : (L24) « énorme charpente métallique », (L6) « comptoir », (L29) « à chaque rayon ». Il y a le champ lexical du magasin : terme qui évoque la construction du magasin « ponts volants »(L25) mais aussi dans quelle lieu travaille Mouret. Description très précise. Facon d’organiser son magasin «  beaucoup d’étoffes ». Il a organisé sont magasins

œuvres. Ce thème est mis en évidence dans Cage d’oiseau à la deuxième strophe lorsque l’on comprend que l’oiseau représente la mort : « L'oiseau dans ma cage d'os / C'est la mort qui fait son nid. » (v5 et v6) alors que dans Les Corbeaux c’est le champ lexical qui réfère à la mort :« vols funèbres (v2), tombeaux (v5), carcasses (v6), ténèbres (v7), proie (v9), démons (v9), âme (v14)… » Aussi, ceux-ci utilisent l'image de l'oiseau pour représenter la mort. Dans le poème Cage d'oiseau, on retrouve par

vis-à-vis le poète, ainsi que la loyauté de ce dernier envers Hélène. Procédons à l’analyse de la forme et de la composition de ce poème. Le premier quatrainporte sur l’indifférence d’Hélène vis à vis Ronsard. L’idée du froid est amenée par un champ lexical hivernal contenant les mots « hiver », « toute la même glace » et « toute neige ». Cette idée defroid traduit un certain manque d’affection, de cordialité venant d’Hélène. Ceci est renforcé par la métaphore hyperbolique « elle est tout hiver »

 Nuit de Mai de A. Musset 1) Dans la mythologie , une Muse représente l'ambassadrice de l'art libéral.La muse s'adresse sur un ton lyrique au poète avec un champ lexical de l'amour « baiser,coeur » et elle l'apostrophe « Ô poète » .Elle cherche à faire exhorter sa douleur pour donner l'inspiration. elle s'adresse au poète: elle lui parle à l'impératif "laisse-la", "ne crois pas", ce mode est caractéristique de l'ordre qu'on veut donner

gradation  (du  fait  qu’il  commence  par  une  simple  définition,  en  finissant  par  une  critique  envers  la  société),  l’usage  de  l’italique  (sur  les  mots  comme égalité  naturelle,  afin  d’accentuer  la  chose),  fait  apparaître  le  champ  lexical  de  l’égalité  (droit, liberté, principe) et utilise même 3 occurrences de l’adjectif  indéfini “tous” (tous les hommes).    Dans  l’article  "Les  chaînes  de  l'esclavage"de  Jean­Paul  Marat,  l'intention  argumentative  est  de  démontrer