Champ Lexical De Loiseau

représente les couples. Maupassant a choisie des personnages qui représente parfaitement les classes sociales présente dans la société du XIX eme siècle. Le couple Monsieur et Madame Loiseau : ce sont deux bourgeois commercent de vins qui on obtenue une fortune par des moyens douteux. Monsieur Loiseau et décrit comme un homme n’ayant pas beaucoup d’éducation car c’est lui le premier qui demande a mangé a Boule de suifs mais c’est lui aussi qui se montre a la fin le plus odieux avec il n’as

consommation : Cette dernière est l’image que garde Maupassant des prostituées qu’il a largement fréquenté. « Boule-de-Suif » est une prostituée qui tient son nom de ses formes généreuses et grasses. Lors qu’il faut la décrire, l’écrivain utilise un champ lexical propre à la nourriture, étant « appétissante » avec son « visage de pomme rouge », comme si elle était prête à consommer. C’est d’ailleurs le seul personnage de la nouvelle désignée par un surnom, ce qui d’office la déclasse en respectabilité par

dans leur élément, tripotant de l’amour avec la sensualité d’un cuisinier gourmand qui prépare le souper d’un autre. ». On peut constater un parallélisme entre la statue de souille et le statue de gourmandise donnée à Boule de Suif. Quand Monsieur Loiseau dit : « Puisque c’est son métier a cette fille, pourquoi refuserait-elle celui-là plus qu’un autre ? » Maupassant utilise un euphémisme ironiquement pour décrire la penser de Madame Carré-Lamadon : « La gentille Mme Carré-Lamedon semblait même penser

respectabilité. Son portrait physique repose sur un lexique consacré à la nourriture, ainsi ses doigts sont comparés à des « chapelets de courtes saucisses », son visage à une « pomme rouge » et elle est toute entière qualifiée d’ »appétissante ». Ce champ lexical de la nourriture va permettre de percevoir un personnage, un corps de femme prêt à être consommé. Boule de suif apparaît aussi comme une héroïne sacrifiée. Maupassant souligne ses qualités et présente son personnage comme un être naïf, inconscient

occupée par les Prussiens. Dix personnes décident alors de fuir cette cité normande envahie dans l’objectif de se rendre au Havre, en passant par Dieppe. Un mardi matin, à l’aube, une grande diligence s’avance avec à son bord, trois couples – les Loiseau, les Carré-Lamadon et les Bréville – un démocrate, Cornudet, deux religieuses, ainsi qu’une prostituée méprisée par les autres passagers, surnommée « Boule de Suif ». Ce sobriquet souligne son embonpoint ainsi que ses formes arrondies. Alors que le

l’autre de vos poèmes, les procédés d’écriture suivants , en les identifiant en couleurs dans le texte : -un parallélisme (rouge)-un mot employé dans son sens figuré (bleu)-un oxymore (jaune)-un champ lexical (identifiez de quel champ lexical il s’agit ; mots surlignés en jaune)-une gradation (mauve)-une personnification (vert)Grille de correction /10Originalité/3Cohérence des poèmes avec les sections choisies /2Justesse des procédés d’écriture (0,5 / procédé)/3Respect

diligence peut même partir pour Le Havre, dix voyageurs partant vers la zone non occupée après avoir obtenu une autorisation. Ils sont tout à fait disparates. Il y a là : les Loiseau (lui, grâce à son don pour l’escroquerie, a fait fortune car, roublard, il revend du vin de mauvaise qualité à un très bon prix, d’où son surnom de «Loiseau vole» ; elle, grande et forte, beaucoup plus sérieuse que lui et acrimonieuse, est, « avec une âme de gendarme », en quelque sorte le chef du commerce) ; les Carré-Lamadon

P. 17 « Il fallut deux heures pour la dégager » Départ et description des personnages : le narrateur commence à décrire un par un les différents personnages de la diligence en allant dans l’ordre. On commence donc à savoir leurs noms : M. et Mme Loiseau, M. et Mme Carré-Lamadon, Comte et Comtesse Hubert de Bréville, les 2 religieuses, Cornudet et pour finir Boule de Suif. Il stipule également que les 6 personnes du fond de la voiture représentaient la société rentée, sereine et forte, de gens honnêtes

diligence peut même partir pour Le Havre, dix voyageurs partant vers la zone non occupée après avoir obtenu une autorisation. Ils sont tout à fait disparates. Il y a là : les Loiseau (lui, grâce à son don pour l’escroquerie, a fait fortune car, roublard, il revend du vin de mauvaise qualité à un très bon prix, d’où son surnom de «Loiseau vole» ; elle, grande et forte, beaucoup plus sérieuse que lui et acrimonieuse, est, « avec une âme de gendarme », en quelque sorte le chef du commerce) ; les Carré-Lamadon

largement fréquenté. Elle a été d’ailleurs inspirée d’une prostituée rouennaise : Elisabeth Rousset. « Boule-de-Suif » est une prostituée qui tient son nom de ses formes généreuses et grasses. Lors qu’il faut la décrire, l’écrivain utilise un champ lexical propre à la nourriture, étant « appétissante » avec son « visage de pomme rouge », comme si elle était prête à consommer. C’est d’ailleurs le seul personnage de la nouvelle désignée par un surnom, ce qui d’office la déclasse en respectabilité par