Champ Lexical De Marbre

deux quatrains ​ et  deux tercets​ .  (0,5 pt)  b) Le poème est écrit en ​ décasyllabes ​ (vers de 10 syllabes).  (0,5 pt)  2. a) Relever dans le texte 1 les mots appartenant au champ lexical de  la mort.  b) La mort paraît­elle dure ou douce au poète ? Justifier la réponse.    a) Les mots appartenant au ​ champ lexical de la mort ​ sont :  « ​ tombeaux ​ » ; « ​ adieux ​ » ; « ​ mortes ​ » ; « ​ chaleurs dernières ​ » ; « ​ long  sanglot ​ » ; « ​ un  Ange ​ ». ​ (0,5 pt)    b) ​ La mort paraît douce au poète ​

enivrants, envoûtants mais mortels à quiconque les rejoint. Chant XII (page 203) « Viens Ulysse fameux, gloire éternelle de la Grèce » Les sirènes implorent Ulysse, vantant ses mérites en utilisant le registre épique, auquel Ulysse ne demeure pas de marbre. « Nous savons en effet tout ce qu’en la plaine de Troie, les Grecs et les Troyens ont souffert par ordre des dieux, nous savons tout ce qu’il advient de la terre féconde. » Utilisation du discours direct qui marque la proximité que les Sirènes veulent

bel ange ? Je vous prendrai sur mes genoux. III Sans faire la moindre objection, Angéla s’assit, m’entourant de ses bras comme d’une écharpe blanche, cachant sa tête dans mon sein pour se réchauffer un peu, car elle était devenue froide comme un marbre. Je ne sais pas combien de temps nous restâmes dans cette position, car tous mes sens étaient absorbés dans la contemplation de cette mystérieuse et fantastique créature. Je n’avais plus aucune idée de l’heure ni du lieu ; le monde réel n’existait

meilleurs fruits ; on grave sur le marbre bien plus malaisément que sur le sable ; mais les choses y sont conservées bien plus longtemps, et cette lenteur à comprendre, cette pesanteur d’imagination, est la marque d’un bon jugement à venir. -> métaphore n° 1 : Thomas comparé à un arbre tardif ; le père en déduit non pas qu’il est en retard ( constat réaliste ) , mais qu’il sera plus apte à donner satisfaction. -> métaphore n°2 : Thomas comparé à un marbre très dur ; le père en déduit non

l’intérêt ? 5.  « obtenu » insistance sur l’importance deJames Starr fig de style : la dérivation : « trop considérable et trop considéré » effets de réel 6.  « distingués » temps de la narration : ne va pas plus vite que la focalisation choisie  champ lexical de l’angoisse : montée de la tension 7.  « chose faite » comment le narrateur s’y prend-il pour rappeler certains faits au lecteur ? C’est à la page ..? « on se rappelle que » 8.  « mérités » « rester court » : sens ? quel est le trait de caractère

Je vous prendrai sur mes genoux. III Sans faire la moindre objection, Angéla s’assit, m’entourant de ses bras comme d’une écharpe blanche, cachant sa tête dans mon sein pour se réchauffer un peu, car elle était devenue froide comme un marbre. Je ne sais pas combien de temps nous restâmes dans cette position, car tous mes sens étaient absorbés dans la contemplation de cette mystérieuse et fantastique créature. Je n’avais plus aucune idée de l’heure ni du lieu ; le monde réel

|Et sangloter d’extase les jets d’eau, | | |Les grands jets d’eau sveltes parmi les marbres. | | |« Colloque sentimental », XXII | |[pic]

LES FAITS DE STYLE 3.1 − Les temps verbaux 3.1.1 − Le mode indicatif 3.1.2 − Le mode subjonctif 3.1.3 − Le mode conditionnel 3.1.4 − Le mode impératif 3.1.5 − Le mode infinitif 3.1.6 − Le mode participe 3.2 − Le lexique 1 3.2.1 − Le réseau lexical 3.2.2 − La dénotation et la connotation 3.3 − Les figures de style 3.3.1 − Les figures d'analogie 3.3.2 − Les figures d'opposition 3.3.3 − Les figures de substitution 3.3.4 − Les figures d'insistance 3.4 − Les sonorités 3.5 − Les registres de langue

montre un jeune garçon. On peut estimer son âge entre 8 et 14 ans. Ce garçon, dont on ne connaît pas l'identité mais que l'on peut aisément deviner être Jean Rezeau, est appuyé contre un tronc et paraît triste. Il regarde vers la gauche, hors de notre champs de vision. Encore une fois, le titre et le nom de l'auteur sont placés au dessus du portrait. On s’attendrait à ce que le titre, Vipère au poing, montre au moins l’image d’un serpent dans ces illustrations. Pourtant, ce n’est pas le cas, dans

bel ange ? Je vous prendrai sur mes genoux. III Sans faire la moindre objection, Angéla s’assit, m’entourant de ses bras comme d’une écharpe blanche, cachant sa tête dans mon sein pour se réchauffer un peu, car elle était devenue froide comme un marbre. Je ne sais pas combien de temps nous restâmes dans cette position, car tous mes sens étaient absorbés dans la contemplation de cette mystérieuse et fantastique créature. Je n’avais plus aucune idée de l’heure ni du lieu ; le monde réel n’existait