Champ Lexical De Verbes

diversité de champ lexical, on peut retrouver celui de la mélancolie avec « naguère », « souvenirs », « gris », « mélancoliquement, » « pleure » mais aussi celui de la guerre avec « battent », « saignent », « guerrière » et « sanglant ». Il y a aussi le champ lexical de la mort ; « meurent », « tombe », « église » et « mort ». Le poème de Jacques Prévert laisse le lecteur sur l'impression de grande monotonie. En effet, le poète utilise une structure répétitive, des temps des verbes et des sonorités

chemins semblaient des fleuves de boue; la campagne, une plaine de boue; et on n'entendait aucun bruit que celui de l'eau tombant; on ne voyait aucun mouvement que le vol tourbillonnant des corbeaux qui se déroulait comme un nuage, s'abattait dans un champ, puis repartait. Vers quatre heures, l'armée des bêtes sombres et volantes venait se percher dans les grands hêtres à gauche du château, en poussant des cris assourdissants. Pendant près d'une heure, ils voletaient de cime en cime, semblaient se

Deux feuilles gorgées de soleil Le temps d’atteindre l’autre rive Le temps de rire aux assassins Le temps de courir vers la femme Il avait eu le temps de vivre. = Végétale. = Métal. = Verbes d'action. = Anaphore. RAPPORT POEME/ BIOGRAPHIE BORIS VIAN. Depuis l’âge de 12 ans, suite à une angine infectieuse, Boris souffre de rhumatismes articulaires aigus provoquant une insuffisance aortique. Il sait risquer à tout moment

I Biographie II Résumé III Thème IV Figures de style V Champs lexicaux VI Type de discours VII Epoque VIII Genre IX Registre I Guy de Maupassant naît le 5 août 1850, dans une noble famille d'origine lorraine. Il fait ses études à Rouen, puis, bachelier en 1869, il part étudier le droit à Paris. Entre 1880 et 1891, Maupassant va écrire près de 300 nouvelles réunies en 18 volumes et 6 romans dont Une Vie en 1883. A partir de 1884, Maupassant souffre de névralgies, victime d'hallucinations

soleil, branle universelle Champs lexical de la vue "tenu l’œil sur le courant", "voir", "considère" 2) Méditation animée par un ensemble d’images baroques Eau en mouvement "Le courant de la rivière", dérivation du mot "courant"(l.2-3) Polyptote : "couler"/"coulait", "univers"/"universel" Personnification/allégorie de la nature : "Nature" Personnification du temps aves des verbes d’actions : "poussant", "chassant"

ayant le droit de condamner ou non les actes d’Yvain (« Et celui qu’elle out refusé, a mout laiaument escusé »). D’ailleurs, le narrateur emploi des termes se ralliant au champ lexical de la justice : « A mout laiaument escusé », et par le terme de « plaidoiee » employé à deux reprises. Elle emploi d’ailleurs elle-même ce champ lexical aux vers 1771-1772 dans la phrase : « Por ce, mien escïent, cui gié que j’ai a droit et bien jugié »  elle montre d’ailleurs, par le verbe d’opinion « croire » rattaché

l’utilisation du futur : « tu ne lui ôteras pas (…) » qui introduit une forme de défense. Ceci est complété par l’utilisation de plusieurs verbes à l’impératif dont le premier est à la ligne 2 (« Dis-moi »). L’accumulation de nouvelles questions rhétoriques aux lignes 2 et 3 (« ta force ? », « tes talents ? ») contribue également à créer cette autorité. Enfin, de nouveaux verbes à l’impératif font leur apparition aux lignes 4 et 5 : « Observe », « Parcours » et « donne-moi ». L’évocation de la « sagesse »

« descendre jusqu’à la moitié du corps » -périphrase -champs lexical de la coutume, de la confusion, de l’imprécision -hyperbole -hommes privés de leur personnalité →MASQUE →LE PARAITRE > ETRE -La grande hypocrisie La religion -« saints, sacré et redoutable » -« tournent le dos » -« ce peuple parait adorer le Prince, et le Prince adorer Dieu » -> champs lexical de la religion ; allitération en [s] : positives, mélioratives ->champs lexical de la crainte, de ma peur ; allitération en [r] -paradoxe

23). Le champ lexical du parfum ainsi que celui du voyage rythment le texte. Les sonorités nasales : [ã], [õ], et [oe] contribuent à l’expression de la nonchalance voire de la volupté. Les allitérations en [l] et [m] expriment une certaine douceur, enfin, l’allitération en [s], plus sonore, correspond à la musique évoquée dans le texte. 4. a. Sont présents le champ lexical de l’odorat : « odeur » (l. 1), « sens » (l. 5), « parfum » (l. 6), « musc » (l. 24), et le champ lexical de la vue

fonctionne-t-elle ? I Un récit étendu et riche en rebondissements 1) l1-l14 : longue exposition, les verbes sont majoritairement à l’imparfait l4 : « faisait aux animaux », l7 : « on n’en voyait point », l11 « n’épiaient », l13 « fuyaient » => valeur descriptive, qui pose la situation initiale : les animaux sont frappés par la peste. A partir de la ligne 15-24, il s’agit du début de l’action, les verbes est pour la plupart au présent : « je crois »l16, « se sacrifie »l19, « ne nous flattons donc point