Champ Lexical Du Combat

La peine de Rodrigue est d’autant plus marquée que jusqu'à la fin du monologue, « Chimène » rimera avec « peine », et que donc le nom de son aimée devient synonyme de douleur. Le mot « combat » au vers 301 renvoie bien sur au combat physique qui doit avoir lieu contre le comte, mais il renvoie surtout au combat intérieur de Rodrigue. D’où la mise en opposition des termes « honneur » et « amour » à l’hémistiche du vers 302. Les nombreuses antithèses de la deuxième strophe renvoient au dilemme de

armées ». Ainsi, par la personnification de l’armée, il montre les ressemblances des deux armées, ce qui conduit même à s’interroger sur les raisons du combat auquel elles se livrent l’une contre l’autre. Par contre, le combat lui- même est présenté comme un spectacle musical qui tourne ensuite au cauchemar de la guerre. L’accumulation du champ lexical des instruments de musique, comme « trompettes », « fifres », « hautbois » et « tambours », illustre ce déroulement d’une parade qui en tant qu’ensemble

l'idée de misère dans la ville, souligne également l'alliance de la misère et du vice dans la ville moderne et désigne aussi l'abandon - "abri sécrète" représente la misère sociale (pauvreté) et la misère morale. - "Persienne", "secrète" est le champ lexical du secret. Elle est le lieu de secrets gardés. Ainsi cela montre que la ville est vide et à l'abri des regards. - “secrètes” “luxures” représente une hyperbole (les luxures sont généralement secrètes au public), la débauche est cachée. - les persiennes

particulier ; mais ici c'est la poitrine (longue phrase), or partie du corps qu'on ne montre pas. Mais partie révélatrice du personnage impudique. 2. Deux traits physiques dominants La corpulence avec champ lexical + répétitions + « dix livres » => inappropriée pour séduction La rougeur : champ lexical + hyperboles => à l'opposé de l'idéal classique qui valorise blancheur du teint (âme innocente et pure, cf. Princesse de Clèves) 3. Un portrait physique entre réalisme et exagération Détails

la nature où règnent l’égalité et la bonne humeur. A Clarens, l’égalité des hommes est sans exception. Dans les deux premières lignes, l’auteur répète quatre fois « tout », ce qui montre bien l’insistance sur ce point. Il emploie également le champ lexical de la collectivité : « union », « tout le monde », « mutuellement ». Tout le monde a son importance et respecte l’autre : « personne ne s’oublie ». Les paysans sont les égaux des bourgeois pour cela l’auteur énumère : des « dames », des « paysannes »

Une vision de Paris et de la société EXPLICATION DU TEXTE 1) Le visage apparent de Duroy - Plusieurs champ lexicaux définissent Duroy dans son apparence : militaire ("jambes arquées", "geste militaire", "marche d’un soldat"), il a gardé sa démarche militaire même s’il a rejoint la vie civile. La fierté ("regard rapide, circulaire", "il portait beau par nature", "cambrai", "combat de poitrine", "frisa sa moustache"). De plus tout le monde le regarde ("les femmes avaient levées la tête vers

gréco-romaine, servant de support à l'histoire, de nos jours, elle apparaît tout autre : Reconquérie par l'homme désireux de reconnaissance et d'individualisme, elle est devenue le cahier même où se déversent les passions, les doléances de l'âme, les combats politiques et l'onirisme. Elle se présente ainsi comme un moyen d'expression libre où le poète n'est plus limité dans sa création, comme dans sa personne. Le genre est à son apogée au XIXème siècle, en particulier, lorsqu'il se voit touché par le

poétique et quête du sens, du Moyen Âge à nos jours Lecture analytique : « Ce cœur qui haïssait la guerre », Robert Desnos Proposition de plan : Introduction I. La résolution des contradictions 1. La construction du texte 2. Le motif du cœur : un combat vital pour la liberté II. Le lyrisme collectif 1. L’énonciation 2. La forme du texte III. L’espoir 1. La propagation de la révolte : appel au lecteur 2. La foi dans l’avenir Conclusion Proposition de lecture analytique rédigée : Introduction

L’ennemi, Baudelaire Le temps est l'une des plus obsédantes composantes du spleen de Charles Baudelaire. Omniprésent, étouffant, il se manifeste à chaque étape de la vie comme un ennemi que l’homme affronte continuellement dans un combat. La personnification du temps, à travers l’utilisation de la majuscule et son attribution à des comportements humains, illustre le monstre que l’homme doit craindre. Le poème “L'ennemi”, tiré du recueil Les Fleurs du mal

guerre voilà qu’il bat pour le combat et la bataille ». Le temps des verbes « haïssait » et « bat » présente également ce reversement chez l'auteur car le premier est à l'imparfait et le second au présent. • Desnos emploie le mot « cœur » pour parler de lui-même, c'est une métonymie. • Les champs lexicaux de la guerre (« guerre », « combat », « assaut », « liberté », etc) et du bruit (« rythme », « son de cloche », « échos », etc) rappellent l'ambiance des champs de batailles avec le bruit des