Champ Lexical Du Desespoir

qui représente l’amour forcément malheureux que Phèdre ressent et qui fait d’elle une héroïne tragique. Par conséquent, Phèdre est tourmentée par la fatalité divine qui pèse sur elle. On remarque une omniprésence divine dans la tirade avec le champ lexical de la divinité en général (« temple » v. 280, « autels » v. 284, «  déesse » v. 285, « adorais » v. 286). Mais le présent de l’indicatif v.306 « C’est Vénus », tranchant avec le passé de la tirade, définit le véritable coupable des malheurs hantant

l'on lirait, par des didascalies et l'omniprésence des dialogues, il est bien plus facile pour le lecteur de ressentir les émotions des personnages. Ainsi dans Ruy Blas de Victor Hugo au moment où Ruy Blas se suicide, le lecteur peut ressentir le désespoir de la reine et la quiétude de Ruy Blas «  La Reine, se levant et courant vers lui : Que fait t-il ? Ruy Blas, posant la fiole : Rien mes maux sont finis. Rien vous me maudissez, et moi je vous bénis . Voilà tout. La Reine, éperdue : Don César 

personne : le poète… Analyse sémique Champ lexical de la fatalité, de l’impuissance : éternel, accable, impuissant, lambeaux, méchamment, âme vide, impuissant, sans répit, errante prison, méchante, hanté, sanglotante. Champ lexical du mal-être : ennui, lasse, remords, douleurs, maudit, agonie, martyr, tristes, trépas obscur… Champ lexical de la nature : l’azur, fleurs, désert, les oiseaux, brouillard, marais, étangs., roseaux Champ lexical du céleste : Cieux, fumée, brouillard, brume

ses souvenirs, et surtout, sa capacité de rêve et d'imagination. .... / 2 10 A partir du dernier paragraphe de la page 23, le narrateur retrouve le quartier de son enfance. Celui-ci a changé d'une façon malheureuse. Relevez au travers du champ lexical de la perte et de la désespérance, au moins 15 mots ou expressions courtes dans les pp. 24 et 25 qui montrent ce changement. p. 24: « oubliés », « ravage », « perdus », « chétifs, ternes, vieillis, près de leur mort », « mon coeur se serrait »

la scène précédente on apprend que La Flèche est le voleur de la cassette lorsqu'il la présente à Cléante. Étant donné qu'il s'adresse à la foule et non seulement à lui même, Harpagon se lance dans un « faux » monologue dans lequel il exprime son désespoir. Ce monologue est un texte comique en prose. Molière nous illustre le délire d'Harpagon à son maximum, cependant le ton reste d'une manière prédominante comique. Dans cette scène Harpagon devient fou, il perd complètement la logique rationnelle

cette scène (« La lueur des bougies » L.10). De plus, à la ligne dix, il est écrit : « L'ombre cachait si bien le corps à partir de la ligne brune que décrivait ce haillon ». L'allusion aux ombres, de part ces expressions qui appartiennent au champs lexical des couleurs foncées, reprend l'idée selon laquelle ce texte est ancré dans un contexte lugubre. Enfin, les deux expressions : « bizarres... quoique naturel » à la ligne dix-sept et « expression de démence triste » à la ligne vingt et un , qui

heurs, espérance et vie” vers 3 / “Maux, malheur, désespoir et mort” vers 4. L’auteur veut souligner dès la première strophe, le caractère tragique de la situation dans laquelle il se trouve. Son monde est scindé en deux. En effet, si l’on regarde bien ces huit mots respectifs, on peut voir que l’on peut les relier puisqu’ils représentent le contraire des uns et des autres. “Plaisirs, heurs, espérance et vie” vers 3 / “Maux, malheur, désespoir et mort” vers 4. La représentation de la vie ici entre

contraste, effacer cette cacophonie urbaine. 2) Personnages il y a une alternance des pronoms personnels : je/elle/elle/moi/elle/moi/moi/moi cela montre leur rencontre .- chiasme « car j'ignore où tu fuis, tu ne sais ou je vais »- pour B, il y a le désespoir (=le spleen) et l'Idéal (=monde imaginaire parfait) pour échapper au Spleen 3) Coup de foudre l'apparition de la passante n'est toutefois qu'un moment fugitif, vite disparu. La soudaineté de la vision et sa disparition est soulignée au v.9 par l'ellipse

Relevez les champs lexicaux pour le justifier a) Champ lexical du châtiment : « lier », « fessé en cadence », « brûlés », « brûlées à petit feu ». b) Champ lexical de la religion ou des rites : « auto-da-fé », « procession », « sermon », « musique en faux-bourdon », « prêché », « absous », « béni ». c) Champ lexical des vêtements rituels : « Mitre », « san benito ». d) Champ lexical de la sorcellerie ou de l’hérésie : « Diable » (2 x), « flammes » (2 x), « griffes », « queue » e) Champ lexical de la peur

réflexion passionnée et passionnelle passe par plusieurs techniques: les paroles de Titus sont en permanence en contradiction entre elles. «Que dis-je?», par exemple, est une expression très révélatrice de l'égarement du malheureux Titus. les champs lexicaux du pouvoir et de l’amour s’opposent, notamment par les paroles de Bérénice. Cela trouble encore plus Titus. L’incertitude est très présente dans le vocabulaire : « je sens ma faiblesse ». Il lui pose beaucoup de questions, ne sait pas vraiment