Champ Lexical Du Desespoir

ressentent une passion pour une femme, que ce soit la présidente de Tourvel pour Valmont, ou Cécile dans le cas de Dancenny. Nous pouvons noter le champ lexical de la souffrance dans les deux lettres : « le repos fui » (Ibid. p.53); « malheur » (Ibid. p.53); « tourments de l’amour » (Ibid. p.96); « peines cruelles » (Ibid. p.98). La présence du champ lexical de la souffrance permet à l’auteur d’insister sur le fait que les deux hommes sont bien des victimes de l’amour et de la femme, car une victime

Introduction Axe I : l’APAnAGE DES PAUVRES SOUS AXE1 : LA SOUFFRANCE DES ADOLESCENTS SOUS AXE 2 : l’explication des pauvres Axe II : la méchanceté des ainés Sous axe 1 : l’oppression des pauvres Sous axe 2 : désespoir des adolescents Conclusion Introduction Plusieurs écrivains débattent sur les maux qui minent notre société. Parmi lesquels a pauvreté. Soulevé par Maurice okoumba nkoghe. L’Auteur du

petit village misérable éclairé seulement par une lampe de cuivre. Le faible éclairage qui pourrait s’éteindre à tout moment renforce l’idée d’une vie qui peut être enlevé à tout moment. Le moulin fait donc office de symbole de cette fragilité. Désespoir existentielle et la mort +++symboliste difficile de continuer à avancer dans cette atmosphère Antithèse  : poète oppose le mouvement du moulin à l’immobilité de la nature endormie.   *citation : vers 1 et vers 8??? Rien d’autre

devant lui si l'avidité le prend. Monsieur Valentin est alors très malade et vis une vie recluse dans sa richesse, ne sortant que peu et vivant sa maladie seul. Dès la première lecture l'on est à même de remarquer une utilisation poussée de champs lexicaux traitant principalement de fatigue, et des aspects de sa maladie. Le premier recoupement englobant les lignes 1 à 14, l'on prend garde à l'aspect observateur du professeur qui analyse extérieurement son ancien élève. C'est ainsi que les termes

• essayer de dégager le plan du texte et de voir ce qui est le plus important. En même temps voir s’il y a une progression du texte : situation initiale → situation finale. • Passer le texte sur une sorte de grille : f • Faire une étude des champs lexicaux afin dégager les aspects et les thèmes les plus importants du texte. • Essayer de définir le registre du texte. • Chercher les figures de style éventuelles. • Etudier la métrique, la longueur des phrases, le rythme du texte, les allitérations

recherche du père est vaine et lui donne beaucoup de souffrances, qui elles même l'entrainent dans un désespoir, dont Dorante est le confident II : Du réel à l'illusion a) un état d'esprit -la tirade de Pridamant montre qu'il a déjà eu recours à la magie, ce qui justifie son extrême désespoir -champs lexical des enfers et des ténèbres dans la tirade de Dorante, renvoyant à la grotte -le désespoir de Pridamant est une sorte de descente aux enfers (correspondance mythologique) justifiant son attitude

Etude I - MISE EN PLACE DE L’INTRIGUE (vers 19 à 46) 1 - Tourment et malheur d’un père - champ lexical des tourments et des regrets : Pridamant à fait fuir son fils. - antithèse (vers 30 à 32) = contraste entre son comportement passé et celui qu’il voudrait avoir. - Emploi de l’imparfait pour décrire ce qui le tourmente - Alexandrin : comme dans une tragédie - Analepse : raconte ce qui c’est passé 2 - Scepticisme de Pridamant - Chiasme (vers 19 et 20) montre son doute vis à vis d’Alcandre

INTRODUCTIONPhèdre est une tragédie classique en 5actes écrite par Racine en 1677. La scène 7 de l’acte V est la dernière de la pièce, le dénouement. P après s’etre empoisonnée, avoue à son mari thesee que c’est elle qui vouait une passion incestueuse avec son beau fils hypolite et non l’inverse, comme a pu le lui faire croire Oenone la nourrice Thesee pleure alors sur son fils innocent qu’il a fait tué par un monstre marin En quoi cette scène 7 de l’acte 5 est-elle caractéristique d’une scène de

» (l.2) nous place dans le registre de l’émotion.Le champ lexical du pathos (=sentiment) nous le confirme :« malheureux » (l.2), « trahi » (l.2), « trahie » (l.2), « trompeuses » (l.3), « passion » (l.3), « mortel désespoir » (l.5), « cruauté » (l.5).Ces termes renvoient au sentiment de solitude et d’isolement ressenti par la religieuse.Les verbes employés renvoient à un lointain passé :

|d’agir comme il le souhaite, mais contre |d’opposition = antithèses, d’amplification, | | |laquelle il ne peut rien. Cette force en |d’insistance- champ lexical du destin, de | | |général le conduit à la mort. |l’impuissance, de la souffrance, de la faute,| | |But: provoquer les sentiments de pitié