Champ Lexical Du Desespoir

| Vous m'aimez, vous me le soutenez ;Et cependant je pars, et vous me l'ordonnez ! | ParadoxeParallélismeconnecteur logique d’opposition | Révèle l’incohérence de Titus vue par Bérénice | troublé, aimé avec tendresse | champ lexical de l’amour                 ≠Champ lexical de la haine | Paradoxe : l’attitude de Titus laisse Bérénice dans le doute : c’est ce qu’elle supporte le moins (cf scène 7 – vers 1480-1482) | Me haïr toujours.Haïsse  (vers 1335) | | | Jamais, je le confesse,Vous ne

la révolte 3 : le refus de la mort ce manifeste par le délire A) ARG 1 : souffrance est causée par la mort de sa fille Exemple : « Oh ! », « Hélas ! » (v1-2) Effet : cri de désespoir de la part du père ARG 2 : chagrin extrême Exemple : « pleurai, amèrement, souffert » + « souffert/souffrance » Analyse : champ lexical du chagrin + polyptotes Effet : mis en valeur de sa tristesse qui l’accable ARG 3 : choc de la nouvelle Exemple : « fus », « pleurai » ; « dans le premier moment » ;Analyse : passé

jusqu’au désespoir. Il s’agit donc de se demander comment Victor Hugo exprime sa souffrance liée au deuil de sa fille. Pour cela nous verrons de quel manière sa souffrance est exprimée et dans un second temps, il s’agit de montrer comment elle a évolué en folie. Ce poème est une succession des pensées de l’auteur, composée de deux strophes : une strophe de quinze vers et une de quatre vers en alexandrins en rimes plates. En premier lieu, le poète nous exprime directement son désespoir avec

referment ! » (p.44) Le champ lexical de la mort présent dans ce passage montre que son état mental frôle la folie, ce qui traduit son désespoir.  Au fil du récit, sa condition mentale ne s’améliore pas, il continue à faire des cauchemars : << La nuit, je l’imaginais [Théodule] entrant dans le dortoir, une hanche à la main, […] tranchant une à une ces tête pouilleuses>>p.90. Le fait qu’il rêve à des tueries démontre qu’il sombre encore plus dans le désespoir, ce qui indique à quel point

dans le passé : Retour dans le passé avec des verbes au passé simple, « sembla » v.215 etc. Rupture temporel du présent vers le passé qui permet à A. de faire le récit de ses actions au combat en Orient. b- Evocation des guerres passées : Champs lexical de la guerre avec « armes, rivales » etc. Evocation d’A. combattant. En effet, on remarque une valorisation de la guerre et de l’héroïsme d’A., le registre est donc épique. On évoque la fureur et la vertu de T. Antiochus ne semble pas avoir

ses sentiments. Nous verrons dans ce commentaire que c’est non seulement une lettre de désespoir amoureux mais aussi l’insolence de Vicomte qui adopte une certaine hypocrisie et vas jusqu’à la tromperie. I – Une apparente lettre de désespoir amoureuxA – Le registre lyriqueCette lettre 48 des Liaisons Dangereuses se lit d’abord comme une lettre de désespoir écrite par un amoureux éconduit.-Le champ lexical de l’amour place ainsi le texte dans un univers lyrique -Le Vicomte de Valmont allégorise

est un hôpital », le terme hôpital est une métaphore de la vie. (Il compare la vie à un hôpital.) Les termes « hôpital » (v.1), « malade » (v.1), « souffrir » (v.2), « mort » (v.), « âme » (v.7), « néant » (v.), « Enfer » (v.) correspondent au champ lexical de la mort. Tout cela nous montre qu’il veut fuir la réalité car elle évoque en lui un malaise, une insatisfaction. Ce poème est aussi un dialogue fictif entre son âme et lui-même. En effet, il lui parle comme si elle était vivante. Il la personnifie

avant les émotions de l’actrice Anna .On distingue deux champs lexicaux qui s’opposent .Le premier champs est celui du désespoir avec « désirais » l.1 ; « n’espérais rien » l.1 ; « n’aimais rien » l.2 qui s’oppose au champs lexical de la joie , de l’étonnement avec « tressaillit » l.29 ; « restai muette et immobile » l.35 ; « je regardais » l.35 ; « j’écoutais » l.35 .Dumas oppose ces deux sentiments différents ceux de la joie et de du désespoir pour nous montrer à nous les lecteurs que le théâtre peut

poussé par le besoin d’exprimer ce qu’il ressent. La mélancolie : exprime le regret, le chagrin, le désespoir. L’auteur expose une peine qui peut être provoquée par une déception sentimentale, par la tristesse du temps qui fuit, par l’exil ou par un deuil. On parle alors de lyrisme élégiaque : les textes élégiaques sont marqués par une douce mélancolie qui ne va cependant pas jusqu’au désespoir. La tonalité est tendre, plaintive. L’auteur y exprime la nostalgie et le regret. Les sensations : la

est réduit à des images: « ciel » comparé à un « couvercle », « la terre » montrée par un « cachot humide », « la pluie » dessinant les « barreaux » d’une « prison » = oppression, souffrance. Le poète se sent enfermé dans son malheur = champ lexical de la tristesse : « gémir », « ennui », « triste », « affreux », « corbillards », « pleure ». Absence de liberté. - Souffrance traduite par l’utilisation d’animaux tels que « chauve-souris » ou « araignée » et ainsi éviter d’être le sujet