Champ Lexical Du Regard Apparition

beauté ; point de vue omniscient qui souligne la soudaineté et l'aspect merveilleux de cette apparition qui parait presque divine ; le mot beauté est placé au centre de cette 1ère phrase ; les précisions physique sont vagues : blondeur, blancheurs et la régularité de ces traits ; pas de détails précis sur la forme du corps et du visage ; procédés qui valorise cette beauté (rythme binaire) ; champ lexical du regard ; grande héritière de France = grande qualité et l'un des plus grand partie de France ;

implicitement le vie à la cour de Louis 14. ( Récit en prose, registre tragique, pathétique, roman précieux. Objet d'étude: la passion à l'age classique la vie à la cour) 1) Un portrait idéalisé A)Portrait physique -Polyphonie du terme apparition -champs lexical du regard - physique décrit du début à la fin - semble définir l'idéal de la beauté - mot "beauté" réccurent - MAIS aucune volonté de rendre le portrait précis B)Portrait moral -Discrète, vertueuse, sait cultiver esprit et beauté - Au

trouvai enflammé tout d'un coup" ; "Ce fut comme une apparition […] Jamais il n'avait vu cette splendeur" ; "nul ne t'aimera et ne te connaîtra comme je t'aime".      Puis, ils la décrive : "Quoiqu'elle fût encore moins âgée que moi" ; "Elle était assise, au milieu du banc, toute seule […] elle leva la tête […] Elle avait un large chapeau de paille, avec des rubans roses" ; "elle eut un tremblement, baissa les yeux". le champ lexical du regard est omniprésent.      On constate ensuite que les approches

des deux personnages : « ils échangèrent un dernier regard », « Thérèse vit le verre, le vida a moitié et le tendit a Laurent … » → Échange des moyen de tuer traditionnellement affectés au sexe masculin et féminin. Ici la femme a un poignard et l'homme un verre de poison → Il y a un chiasme b.Issue fatale → T et L victimes de leurs pulsions. Idée d'animalité avec « sensation étrange » et « mouvement instinctif » → Présence du champs lexical de la mort : « poison », « danger », « cadavres »

– corrigé rédigé (niveau Première) = objectif à atteindre thèmes : Argumenter Blason Peinture Poésie Portrait Renaissance Ronsard Séduir e 1. au brouillon, ou sur la photocopie, vous ferez toutes les remarques possibles (vocabulaire, champ lexical, figures de style, genre du texte, appellation, remarques de prosodie …) 2. vous remarquerez également les ressemblances avec d'autres poèmes étudiés (classeur à disposition) 3. vous construirez alors un plan de commentaire, plan que vous indiquerez

Monsieur Fau l'acteur, donnant à Tante Geneviève un cours de théâtre où il lui fait répéter des phrases telles que «Si potiche je fus, je ne serai pas cruche» et « portée par l'urgence comique, l'écriture d'Olivier Py oublie quelques instants de se regarder dans les miroirs pour retrouver sa liberté ». On peut donc se demander quel est exactement le point de vue de Py qui transparaît à travers cette scène et de quelle façon il le met en œuvre... Pour ce faire, nous verrons premièrement de quel manière

Cette scène est ancrée dans le réel car aucun signe de surnaturel n’eu lieu dans le texte. b) Selon moi , l idée que le personnage va pénétrer dans la chambre d un mort laisse présager des événement surnaturels .La grammaire du texte : 1) Le champs lexicale : La nature ( la foret, les prairies, les arbres, …).Les sentiments ( joie, bonheur tumultueux, étonnement, …).Les batiments ( chateau, manoir, maison ).Les animaux ( cheval, allouettes ) .2) Les figures de style : La personnification ( ligne

chambre de Jean (visible) et salle de bains hors scène → lieu de la transformation. Allées et venues de Jean permettent de réaliser « techniquement » la métamorphose + de rendre perceptibles les différentes étapes de la transformation (comme l' »apparition effrayante » (l.46) de Jean. B. les éléments sonores langage de Jean → déconstruction proggressive de son discours et de sa syntaxe → répliques brèves, un mot ou deux « chaud...trop chaud » → emploi de l'infinitif + absence d'article devant le nom)

Chaque conquête féminine devient pour lui un véritable combat: champ lexical de la guerre présent dès les premières lignes: « réduire » « combattre » « rendre les armes » « résistance » « vaincre » se concrétise a la fin de la tirade et prend une connotation positive, il gagne toujours ses combats comparaison avec Alexandre Le Grand « et comme Alexandre » hyperbole, se sent vainqueur, fierté. Avec ce regard de conquérant, il établit une stratégie pour gagner le coeur de

encore été décrite. Elle apparait ici sous les yeux de la cour qui la découvre, comme le lecteur pour la 1ere fois. Plan : I ) Une esquisse de portrait a- Une apparition b- Un portrait vague II ) … éclipsé par les principes de l’éducation a- Le portrait moral b- Une présentation dérisoire I ) a- Champs lexical de regard « paru » « attira les yeux » Tournure impersonnelle passé simple « il parut alors » Effet de suspens, de retardement, métonymie « une beauté parfaite » b- Portait