Champ Lexical Du Regard Apparition

l’histoire ? Dans un premier temps nous verrons la scène du coup de foudre, puis nous analyserons les deux personnages principaux. I/ Scène de coup de foudre A. Un amour classique • Il naît au premier regard et avec violence (« je me trouvai tout d’un coup enflammé jusqu’au transport » -emploi du champ lexical du feu, topique dans le vocabulaire de la passion amoureuse, et du passé simple qui indique le changement brusque) ; • Le personnage se trouve immédiatement transformé par ce sentiment (insistance

directement en tête alors qu'il n'a pas encore identifié la sonate. « Mais tout à coup se fut comme si elle était entrée ». Odette prend totalement le pas sur la musique.Mais la pensée d'Odette est toujours accompagné de souffrance: « ...et cette apparition lui fut une si déchirante souffrance qu'il dut porter la main à son coeur ». Swan cherche donc à éviter ces souvenirs. Penser à elle ne lui procure plus le bonheur et le repos des premiers temps de la relation mais des sentiments opposés, la souffrance

coté bestial de Jean qui l’envahit de sa salle de bain rendus par les participes « entrant, sortant » (didascalies) et qui représente techniquement le processus physique de la métamorphose par différentes étapes pour qu’enfin J. se transforme « apparition effrayante ». La métamorphose est frappante mais se passe surtout en directe : les yeux de B sont un double du spectateur.  Ainsi Io varie les processus : il n’a rien de commun avec celui de Mr Bœuf qui n’a pas lieu en direct. 2. Les éléments

eux-mêmes au point d’envoyer une délégation à Rochefort au début des années 1920. Séance 2 : Extrait 1 : l’Orient comme vision mortifère et merveilleuse2. V. (p. 64-66) Problématique  Le regard reflète-t-il la réalité de la ville ou le paysage intérieur ? 3 axes de lecture  1. Le regard du « touriste » (curieux, cultivé : un écrivain voyageur)  : « le quartier bruyant […] à peu inconnu » 1.1. Le pittoresque

(« je ne sais pas » l.12 et 35 ou encire « je n’ai rien » l.7 « pas loin » l.15, « elle ne vaut rien » l.7) suggère ce pessimisme, cette accablement. Différentes fins sont envisagées : Un départ (verbe aller x7 l.8, 14, 16, 43, 54, 79, 87, 88) le champ lexical du déplacement rythme aussi la scène (l.19, 23, 36, 59, 70, 73, 74). Un départ est envisagé, une séparation (« si on se quittait » l .70) et enfin ils évoquent la possibilité d’un suicide collectif (l.38, 72). Cependant ces solutions toutes proposées

* meurtre du chat François * tentatives d’assassinats mutuels - dénouement avec le suicide des deux mariés - situation finale : Satisfaction de Mde Raquin qui regarde immobile et savoure le suicide de Thérèse et Laurent. Schéma actanciel du point de vue de Thérèse : Schéma actanciel de Laurent : La gestion du temps dans ce roman L’essentiel de ce roman se fait sous la forme linéaire ( = chronologiquement

nouvelle en opposition au roman. Présentation du travail à faire en lecture cursive. Biographie de Maupassant. Séance 2 : Lecture analytique 1 :La Main d'écorchée. Séance 3 : Lecture analytique 2 : Sur l'eau. Séance 4 : Lecture 3 : Apparition. Séance 5 : Synthèse et exercices sur le registre fantastique. Séance 6 : Méthode de l'écriture d'invention. Un sujet à traiter à la maison à partir de la nouvelle de Maurois, La Maison. Séance 7 : DS : questions sur un texte fantastique

épique ne fait ici pas de place au sentiment, mais au contraire déshumanise les armées, ce qui là encore révèle la critique derrière l’éloge. Enfin, l’éloge de la guerre met en avant son utilité supposée. Ainsi, la philosophie optimiste fait ici son apparition, avec l’expression « meilleur des mondes », qui renvoie clairement à Leibniz, ainsi qu’avec l’idée de « raison suffisante », qui veut toujours selon cette même philosophie que rien n’arrive sans raison : « jamais rien n'arrive sans qu'il y ait une cause ou

décrypter 3 manières de voir M.L. L’ordre des 3 manières est tout à fait souhaité = a) Lecture faite pas les paysans (vu comme une vulgaire putain) b) Lecture faite pas la vieille femme c) Lecture sensible de l’homme de qualité. A) Le regard de la population sur M.L. Lecture vulgaire, figurée pas l’attitude de la population de Pacy (curieuse). Ce terme est donc négatif, avec une curiosité malsaine, instinctive, qui réduit aux instincts les plus bas. La lecture est précisée pas l’archer

incapable de combler cette lacune. - C’est l’ambition que l’on donnera aux élèves qui réglera leur envie et leur capacité de conquérir les mots. La marginalisation culturelle et sociale engendre l’insécurité linguistique, la réduction des outils lexicaux, il en résulte un enfermement. - La méfiance des mots inconnus s’installe très tôt, ce qui exige que l’école démontre aussi très tôt la nécessité d’articuler justement et précisément sa pensée. - L’école doit donner à tous les enfants qui lui