Champ Lexical Le Diable Au Corps

 (Citation/Justification par la forme) En effet, dans les répliques : « Va, va, le Ciel n'est pas si exact que tu penses ; et si toutes les fois que les hommes... », « Qui ose tenir ces paroles ? Je crois connaître cette voix » et « Spectre, fantôme, ou diable, je veux voir ce que c'est », on constate que Dom Juan ne prend pas au sérieux la situation qui parait pourtant surnaturelle et effrayante. Toutefois, la répétition de : « Non, non » montre sa détermination et une certaine auto-persuasion du personnage

Texte 2 : comment un moine de Seuillé sauva le clos de l’abbaye du ravage des ennemis chapitre 27François Rabelais (1483-1553) est un humaniste qui naquit près de Chinon en Touraine. Il devient dans moine un premier temps, mais renonce à sa carrière ecclésiastique dans le but de devenir médecin. Il publie son premier livre Pantagruel sous le pseudonyme d’Alcofribas Nasier pour éviter la censure, même si son texte sera condamné par la Sorbonne qui le considérera comme obscène. Gargantua, son deuxième

(Citation/Justification par la forme) En effet, dans les répliques : « Va, va, le Ciel n’est pas si exact que tu penses ; et si toutes les fois que les hommes… », « Qui ose tenir ces paroles ? Je crois connaître cette voix » et « Spectre, fantôme, ou diable, je veux voir ce que c’est », on constate que Dom Juan ne prend pas au sérieux la situation qui parait pourtant surnaturelle et effrayante. Toutefois, la répétition de : « Non, non » montre sa détermination et une certaine auto-persuasion du

(Citation/Justification par la forme) En effet, dans les répliques : « Va, va, le Ciel n’est pas si exact que tu penses ; et si toutes les fois que les hommes… », « Qui ose tenir ces paroles ? Je crois connaître cette voix » et « Spectre, fantôme, ou diable, je veux voir ce que c’est », on constate que Dom Juan ne prend pas au sérieux la situation qui parait pourtant surnaturelle et effrayante. Toutefois, la répétition de : « Non, non » montre sa détermination et une certaine auto-persuasion du personnage

sujets appartiennent au « je », en sont des extensions. Les verbes renvoient à une faiblesse physique, peut-être engendrée par l’accumulation d’images. « Haut mal » = épilepsie. À l’époque, l’épilepsie était considérée comme une manifestation du diable. Dans l’Antiquité, phénomène inquiétant mais caractère exceptionnel de la personne atteinte. À la fin de la première strophe, évocation de la mort. Thématique déjà présente avec l’esprit et Charon (?). Cette thématique nous fait basculer dans le

fléchit les jarrets », « tandis que M.Canivet », « Bournisien s'était remis en prière », « Charles était de l'autre côté, à genoux… ». La référence aux différentes parties du corps ( « poitrine », « langue », « yeux ») suggère une perte de contrôle de celui-ci. Présence constante du champ lexical du religieux: « sacrement », « prêtre », « Seigneur », « salut », « communion », « âme », « crucifix », « prière », « soutane », « ecclésiastique », « oraisons », « syllabes latines »

artificiels » et à l'alcool avec le verbe « brûle » qui accentue la forme négative et infernale de ces substances grâce à une hyperbole. C'est aussi un rappel des flammes de l'enfer. Cet enfer prend la forme de l'alcool et de la drogue et il envahit son corps. Baudelaire fait également référence à l'alcool comme le prouve la deuxième strophe : « Accoutume ma lèvre à des philtres infâmes » (vers 8), les philtres infâmes sont en réalité l’alcool. L’adjectif « infâmes » dans ce vers montre comme un certain

de phtisique", lien entre physique et caractère : « rongée par cette foi dévorante qui fait les martyrs et les illuminés » - Cornudet, « le démoc, la terreur des gens respectables ». Autre bord politique,républicain, « barbe rousse » : signe du diable, fréquente les cafés, a mangé la fortune familiale : toujours ironie du narrateur, républicain de café, rentier lui aussi, pas reconnu comme vrai républicain. Portrait plus nuancé, pas entièrement antipathique : « fort bon garçon, inoffensif et serviable

servitude A) Le Chien : Une allégorie de la servitude • Le caractère de convention du chien, le trait humain attribué au chien habituellement : La fidélité = une sorte de servitude deguisée ? • « donner, maitre, salaire, attaché, collier », champ lexical de la servitude, de l’eclavage. • « Les Chiens faisaient bonne garde »  Le « confort » que procure la servitude est caracterisé par la possibilité de prévoir et la sécurité  Le chien est lui-même agent, gardien, valet de la sécurité et donc

confus : il fait preuve de lâcheté mais essaie de se donner l’image d’un homme courageux. Tout d’abord nous pouvons relever le champ lexical de la lâcheté et la peur «savons-nous»v.1, «frissonne» v.2, «fuyons» v.3, «tremblai» v.7 «courir» v. 13 qui s’oppose au champ lexical du courage «hardiment» v.2 «courage» v.11 «épée»v.14 «valeur»v.17. L’opposition de ces deux champs lexicaux fortement présents dans cet extrait marque l’opposition entre l’être et le paraître de ce personnage : il veut paraître courageux