Champ Lexical Le Diable Au Corps

vitrine     Les mannequins victimes     Et passaient enchaînées Intercalées dans l'an c'étaient les journées neuves Les vendredis sanglants et lents d'enterrements De blancs et de tout noirs vaincus des cieux qui pleuvent Quand la femme du diable a battu son amant Puis dans un port d'automne aux feuilles indécises Quand les mains de la foule y feuillolaient aussi Sur le pont du vaisseau il posa sa valise                           Et s'assit Les vents de l'Océan en soufflant leurs

un entremetteur. Il nous livre d’ailleurs le portrait de « la petite ». « Il fait un froid de tous les diables » : notation en partie comique dans la mesure où le duc incarne d’une certaine façon le diable. Autre effet comique : le recours au juron « entrailles du pape » (le duc = lui même considéré comme un fils bâtard du pape). Le portrait de la jeune femme est dépréciatif : champ lexical de la fille de mauvaise vie et de la débauche. Ceci = renchéri par l’allitération en [S] ex : L 25 « tout

à l’heure, et qu’on ne réplique pas ! Allons, que l’on détale de chez moi, maître juré filou, vrai gibier de potence ! La Flèche, à part - Je n’ai jamais rien vu de si méchant que ce maudit vieillard et je pense, sauf correction, qu’il a le diable au corps. Harpagon - Tu murmures entre tes dents ? La Flèche - Pourquoi me chassez-vous ? Harpagon - C’est bien à toi, pendard, à me demander des raisons ! Sors vite, que je ne t’assomme. La Flèche - Qu’est-ce que je vous ai fait ? Harpagon - Tu m’as

parties : 1. L’évocation du paysage : volcan et mer (lignes 115 à 140), 2. L’évocation du site antique de Pompéi (lignes 141 à 195) b) Idées importantes à faire émerger : - la beauté du paysage à l’aube : images de lumière et de couleurs (2 champs lexicaux dominants : la couleur, et la sérénité) ; métaphore du Volcan comparé à un bonhomme fumant tranquillement sa pipe. - le caractère très impressionnant des ruines de la cité antique, et les traces de vie qu’on y trouve. Un lien est toujours

donne à entendre l'éblouissement, la fascination > l'éloge est appuyé puisqu'il s'adresse à toute sa personne: à la manière d'un blason, il détaille chaque partie de son corps afin de justifier son admiration . Le parallélisme des constructions : injonction + commentaire renforce l'émerveillement ( chaque élément du corps est associé à un adj. mélioratif), appuyé par l'interjection en anaphore ("Ah!"), ainsi que les tournures !. La gradation souligne par ailleurs la progression du désir : à la

A.orales : Poème (sonnet) : Mon rêve familier, Verlaine. P Compétences ciblées : Lire un poème correctement. Repérer les caractéristiques d’un sonnet. Séquence II Lecture méthodique : Extrait 3 : De : « Oluf, le fils brun… A : … vos corps charmants » pp 85-87. Compétences ciblées : Identifier le point de vue adopté dans la narration. Repérer la pause dans le récit. Identifier la description et sa valeur. A.Langue : (Orthographe) L’adjectif qualificatif Compétence ciblée

Temps de réflexion personnelle, interaction orale et synthèse écrites s’alternent. Questionnaire pour une lecture analytique : 1er axe de lecture : (titre à trouver par les élèves) 1) Faites le plan de cette description. 2) Etudiez le champ lexical dominant dans le premier paragraphe (p.9) et les figures de style dans l’avant dernier paragraphe de la page 10. 3) En quoi cette description est-elle subjective ? 2ème axe de lecture : (titre à trouver par les élèves) 1) Que montrent

«les rêves démoniaques» (p.128), «satyre» (p.147). Le mot satyre a une connotation très forte puisqu'il est censé désigner une créature à la sensualité débordante et au comportement peu recommandable. Son apparence est très proche de celle du diable, et par ailleurs, il appartient à une basse catégorie de démons dans la mythologie grecque. Cette appelation antique suggère une diabolisation des personnages des différents rêves de Graham. Et pour cause, ils exercent une emprise absolue sur lui

l’“être“ (ce que l’on est en réalité). Ce comportement amène les hommes à se méfier constamment les uns des autres et à ne faire que rarement confiance à ce qu’ils voient. Ajouté à cela, le sexe est un élément tabou pour la société de l’époque: le corps doit être caché sous plusieurs couches d’étoffe, les cheveux sous une perruque et le visage sous une épaisse couche de maquillage, ce qui ne laisse plus grand chose de visible à part les yeux impossibles à cacher puisque nécessaires. Ils deviennent

américano-russe Roman Jakobson (1896-1982), cette définition trop simpliste et simplifiée ferait perdre des informations. On distingue la communication verbale (par la parole et l’écriture), la communication non verbale (par les gestes, les mouvements du corps, les signes et signaux.). Voilà pourquoi il propose une définition comportant six éléments. 1. L’émetteur ou destinateur C’est celui qui parle ou qui envoie le message. EX : Mme de Sévigné 2. Le récepteur ou destinataire C’est