Champ Lexical école

en jetant des copeaux dans le canal. | |Citation : «[…] il distingua aussi, parmi les branches, l’arc, déjà garni d’une flèche, que le roi tenait dans sa main. Ah ! s’il| |avait pu arrêter les copeaux dans leur fuite !» (ligne 7). Champ lexical sur le regard : «Marc vit Tristan» (l.1), «En y | |regardant de plus près» (l.6), «Iseult épie» (l. 9), «les voir glisser au fil de l’eau» (l. 9), «observant d’un côté et d’autre» | |(l. 11), «pour voir si elle n’était pas épiée.» (l

LECTURE DU TEXTE ANNONCE DU PLAN CHOISI Analyse thématique selon trois axes : - Le visage apparent de Duroy - Le vrai visage - Une vision de Paris et de la société EXPLICATION DU TEXTE 1) Le visage apparent de Duroy - Plusieurs champ lexicaux définissent Duroy dans son apparence : militaire ("jambes arquées", "geste militaire", "marche d’un soldat"), il a gardé sa démarche militaire même s’il a rejoint la vie civile. La fierté ("regard rapide, circulaire", "il portait beau par nature"

verbe « rêver » est le deuxième mot du passage ce qui donne le ton de celui-ci. En plus de cet élément, l’auteur utilise le conditionnel pour montrer la rêverie du couple : « auraient » « feraient » « rentreraient ». De plus, la présence d’un champ lexical de la rêverie vient confirmer cette axe : « rêvaient » « imaginer ». Nous pouvons ajouter à cela que les rêves de Jérôme et Sylvie sont déjà préconstruits, basés sur des clichés: « Une maison en pierre (…) grosses bûches dans la cheminée. » (ligne

dise que le livre est laid d'apparence et beau à l'intérieur : veut qu'on dise du livre ce qu'Alcibiade disait de Socrate. • fou ou sérieux : il est demandé au lecteur une exigence intellectuelle, un sérieux dans la lecture. Cela s’oppose au champ lexical du badinage. Conclusion     Le début du prologue théorise et met en pratique le projet du livre : enseigner par le rire. Mais il reste une ambiguïté : le double aspect, burlesque et sérieux. Ce double aspect montre la liberté et l’audace de

renseignement sur la raison de ce voyage. Le lecteur est in média res (commence dans l’action). -le lieu pas précisé -le champ lexical de la nature (faune flore et lieu) -Giono aime la nature sauvage méridionale -l’époque n’est pas précisé « l’aube » -indication indirect (transport : cheval, vêtement : cache corsée) -19eme siècle -l’intrigue n’est pas entièrement connu -champ lexical de la chaleur (été, soleil, rayon, étouffante…) -éléments inquiétant : cette chaleur est responsable de la rapidité

DOM JUAN Acte 1 Scène 2 Tirade de l'inconstance Pour Dom Juan la fidélité c’est la mort. Nous pouvons observer que le champ lexical de la fidélité «se lie, être fidèle, la constance, engagé », omniprésent dans le discours du héros de Molière, s’accompagne toujours d’une connotation négative. Dans son esprit le fait de rester fidèle à une même femme, de pérenniser une relation amoureuse, nous pourrions dire de se fixer, est synonyme d’ennui, d’usure, d’immobilité et les références au sommeil

- Cette image va plus loin encore en utilisant les termes « brisé et souillé » pour parler de l’objet du désir des parisiens. II- Le succès et l’apogée de Saccard a) Une ville propice - Paris est une ville riche, on peut relever le champ lexical de la richesse : « doré, voluptueux (l.17), or (l.18), colossale (l.20) ». - Les parisiens ont soifs d’argent et de réussite, on peut lire : « sa quête haletante du grand jour (l.16) ». Les parisiens vivent le jour de débauche et d’argent

tel que les mots : « douloureusement » « obstacles » «  appareil sauvage » « atrocité » , le champ lexical du crime et de la haine : «  tant de haines encore » « le vol » « les cupidités criminelles » « le crime devenait vide de sens , stupide... » « gendarmeries,les tribunaux, les prisons », Ce vocabulaire est utilisé pour dénoncer cette ancienne société ou tout n'était que vols et meurtres. Le champ lexical de l'argent est lui aussi utilisé afin de montrer que l'ancienne société n'étaient en rien

réelle. En effet, on peut laisser apparaître une distinction. On retrouve par exemple chez la jeune Marie, une envie de vivre traduite par une joie constante, elle se dévoile douce, belle, fragile, enfantine voire naïve. Elle est accompagnée du champ lexical de la vitalité : « avec des yeux brillants », « visage de fleur », « elle riait toujours » etc. On note que Céleste a un comportement proche de celui de Marie. Mais, au contraire, c’est un coté obscur qui apparaît par le biais de Raymond Sintès

froid » + les répétitions : « vieux.. vielle.. » Le champ lexical de la souffrance domine : « froid, faim, malheur, pauvre » Dans la suite du poème, P. Eluard veut redonner de l'espoir aux gens, qui le pays soit enfin libéré, pour cela il utilise encore des procédés comme: Il s'adresse aux parisiens par métonymie (figure de style qui remplace un substantif par un autre) à partir du vers n°8, c'est le champ lexical positif de l'espoir qui apparaît : « air pur, feu, bonté