Champs Lexicaux Les Chatiments

Commentaire composé Victor Hugo : Discours sur la misère Introduction: Victor Hugo est très impliqué dans la vie politique. IL revendique qu'il est contre Napoléon III (recueil de poèmes contre lui : « Les châtiments »). Celui-ci, pendant le Second Empire, l'exilera. Hugo est un écrivain adepte du romantisme. Son « discours sur la misère », tiré du recueil « Actes et paroles », est rapporté dans cet extrait. Le 9 juillet 1849 s'ouvre en France, sous la Deuxième République, un débat parlementaire

sont victimes de la décision de l’université de Coimbre de brûler à petits feu quelques hérétiques pour éviter un nouveau tremblement de terre.Par conséquent P et C sont arrêtés, l’un pour avoir parlé, l’autre pour avoir écouté.Le Chap VI décrit le châtiment imposé. Plan : L1/8 : situation, scène d’exposition. L9/30 : Désigne les victimes. Récit de l’autodafé L31/40 : Monologue intérieur de Candide L41/43 : épilogue 1) Un récit théatralisé et distancié mais ancré dans la réalité :l’autodafé

Corpus : Le corpus est composé de quatre poèmes : « A l’obéissance passive » extrait du recueil Les Châtiments datant de 1853 de Victor Hugo, « Question sociale » également de Victor Hugo mais cette fois ci faisant parti de son recueil La Légende des siècles publié en 1859-1877, « Les effarés » d’Arthur Rimbaud issu de son recueil Poésies écrit en 1870 et d’un poème d’Aimé Césaire faisant parti de son recueil Cahier d’un retour au pays natal rédigé en 1939. Nous étudierons dans ces 4 poèmes les

indiquent que les deux sont en colère contre Thèbes. Créon refuse de se laisser fléchir et accuse Tirésias de complot contre lui < Prêtre vendu >. Le texte prend la forme d’un réquisitoire bâti sur des arguments qui présentent justifié le châtiment des dieux a l’égard de Créon. D’emblée, le réquisitoire est base sur la réfutation des lois de Créon, le devin s’achesse au soi en employant le prénom personnel ‘tu’ et ses variante facultatives ‘Toi, Ton’, il s’accuse de tyrannie et d’abus du

de sa condamnation est souligné par le fait que son châtiment soit improvisé « pendu, quoique ce ne soit pas la coutume ». La superstition est ridiculisée par l’absurdité de la démarche sensée être un « moyen efficace pour prévenir une ruine totale » : il n’y a aucune raison logique, rationnelle, qui justifie cette décision. Les inquisiteurs se comportent comme des charlatans et des ignorants. D’autre part, la cruauté et l’horreur des châtiments mettent en évidence les terribles dangers que représentent

difficulté a raconté la mort de Manon pour Des Grieux (l.1-4)C’est le point de vue interne de Des Grieux « pardonnez » c’est RenoncourtRegistre pathétique et tragique pathético-tragico · Un récit qui me tue », « malheur » Proposition sub relative· Champ lexical du malheur, de l’horreur · Hyperbole « qui me tue », « qui n’eut jamais d’exemple », « toute ma vie est destinée à le pleurer » « tout » déterminant indéfinit · Allitération en r et en [k] · Propo circonstancielle concessive qui montre qu’il est

malades de la peste par La Fontaine (http://www.bacdefrancais.net/peste.php) Etapes du texte : 1ére partie : Vers 1 à 14 (Présentation de la situation = ravages de la peste Procédés utilisés pour mettre en valeur ces ravages, le mal ? - Champ lexical mal/ mort ( mal, terreur, achéron, mourir, etc.… - Répétition (anaphore) « mal » en début de vers [« mal » est une mise en valeur] - Oxymore « mourante vie » ( plus de vie possible - Pléonasme = mal/ terreur - Personnification

première personne avec le pronom personnel « je », je cite « je demeure », « je sens », « je dois », « j'attire »… et des pronoms possessifs « mon » et « ma », je cite « mon père », « mon âme », « ma flamme », « ma raison »… . Rodrigue utilise le champs lexical de l'amour « mon cœur », « mon amour », « ma maîtresse », « amoureuse »… ainsi que des métaphores traditionnelles de l'amour « ma flamme » et « mon feu » pour mettre en valeur son amour envers Chimène. Le père de Rodrigue, Don Diègue, a été humilié

qu'il ressent et il semble qu'il ne sait pas ce qui lui arrive. En fait « O Ciel » est une interjection, il n'y a pas de côté religieux. Ça prend du coup un côté blasphématoire, il jure, car c'est justement le Ciel qui le punit. On trouve le champ lexical du feu : « feu », « brûle », « brasier » (l.1826-1827) : il fait part de ce qu'il ressent (la chaleur), il ne raconte pas ses remords, il ne se lamente pas. ═> Le personnage est empirique (l'empirisme est une doctrine qui fait de toute connaissance

personnel « nous » désigne Gaston lui-même et ses compagnons d’armes. Cette lettre a été écrite le samedi 25 mars, après la bataille de Verdun qui a eu lieu du 5 au 12 mars 1916. a/ Le champ lexical dominant est celui de la guerre b/ Les mots suivants appartiennent au champ lexical de la guerre : « tué, mort, charnier, cadavre, tombés, deuil, Verdun… ») a/ L e temps dominant est le présent de l’indicatif. b/ Ce temps est employé avec la valeur suivante : présent d’énonciation