Champs Lexicaux Tristesse Musset

où le Sachem aveugle raconta ses aventures à René ». Ces allitérations sont très agréables à l’oreille pour le lecteur qui sent une ouverture générale à la lecture des œuvres, un sentiment de liberté. On a également la présence de nombreux champs lexicaux agréables, comme celui du bonheur dans Stello de Vigny (que l’on détecte aussi dans René de Chateaubriand ) avec des termes comme « heureusement », « favorable », « tout lui a réussi », « parfait », « bienfaisante », « protégé », etc., ou celui

deux reprises au dernier vers. A l’inverse, le symbole funèbre qu’est la nuit peut être lié à la violence puisqu’elle est le théâtre de la tuerie dans Notre-Dame de Paris. Elle est témoin des attaques et de l’horrible assassinat de Jehan. Le champ lexical employé est celui de la violence et de l’effroi : «écrasé », « cris d’épouvante », « gémissements » (page 572) ; « glaçait » (page 573) ; « une large couche de morts et de blessés saignait » (page 574) ; « des mourants à demi calcinés et mugissant

essais consacre un chapitre aux cannibales d’Amérique. De nombreux progrès en chirurgie sont effectués notamment grâce aux travaux du chirurgien du roi de l’époque Ambroise Paré qui effectuait des découvertes sur l’anatomie du corps humain lors des champs de batailles. c)L’imprimerie En 1440, Gutenberg crée les caractères mobiles en plomb qui permettent une meilleure diffusion des livres. Humanisme 16ème siècle Vient de « humanitas » qui signifie qualités humaines, par

« réchaufferait » l’âme morbide du poète ; enfin, le « tambour » des vers qui « soûlerait son cœur »… La poésie comme planche de salut, en somme ! L’ALBATROS Intro : poème fort connu, éloge du poète, topos romantique du poète-oiseau : cf. Alfred de Musset qui se comparait au « pélican », par des temps de famine « donnant son cœur en pâture à ses petits » ( ici = lecteurs) ; ou encore Lamartine, se comparant au cygne, et à son chant (« les plus désespérés sont aussi les chants les plus beaux… » - et

comporter des tas d’interprétations. « Le lac » d’Alphonse de Lamartine, Méditations poétiques. 1820 « La courbe de tes yeux… » Paul Eluard, Capitale de la douleur 1926 « Où que tu sois, je t’aime » André Velter, l’amour extrême. « Souvenir » Alfred de Musset, Poésies nouvelles, 1850 «  elle était déchaussée » Victor Hugo, Les contemplations, 1856 « Comme un chevreuil » Pierre de Ronsard, Amours de Cassandre, 1552 «  Et la mer et l’amour… » Pierre de Marbeuf, recueil de vers, 1628 Alphonse de Lamartine

Sujet de dissertation n°2, Alfred de Musset affirme « Les plus désespérés sont les chants les plus beaux ». Pensez vous que la littérature doive forcément chercher ses sources dans le malheur humain ? Vous appuierez votre argumentation sur les œuvres littéraires (roman, théâtre, poésie) que vous avez étudiées ou lues. Le malheur humain fut le thème de beaucoup d’œuvres littéraires et le sera encore longtemps. Autre fois, c’était un des principaux thèmes de la tragédie grecque. Sous forme

horrible de certains événements tragiques. Ainsi le poète a moins de mal à « ouvrir son cœur » ce qui lui permet, au fil de l'écriture des vers, de ne plus voir la réalité telle qu'elle est et, petit à petit, de soigner toutes ses plaies. Comme Alfred de Musset le dit : « Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots. », dans Le Pélican. Pour Baudelaire, la poésie est utile mais selon l’ordre du cœur plus que selon celui de la raison « Elle n’a pas

nombreux verbes de perception accompagnent l'expression des sentiments : « je me sens triste et inquiet » (l. 1), « je ne vois pas comment je remplirai tant d'heures » ( l. 2) – 2ème argument : l'expression de la tristesse et de la mélancolie dominent le passage : => champ lexical de l'accablement et du dégoût recouvre les deux § du texte : « abattu », « triste et inquiet », « je m'afflige, je m'abandonne », « des plaisirs pour l'apparence », « l'âme malheureuse » « ce sentiment d'amertume

Le Romantisme Introduction Il y a, entre Nerval et Musset, un point commun anecdotique et un point commun plus mystérieux. Le point commun anecdotique : Musset et Nerval ne se sont jamais fréquenté et très peu connus. Selon Bony, Musset et Nerval se sont rencontrés une unique fois dans un journal Paris et ce jour là ils étaient saoul et se sont tapés dessus. Deux alcolo. Plus mystérieux : Nerval, Musset, Schuman sont mort tous les trois à 46 ans. Une similitude frappante. Ils sont nés sous

- la mélancolie, la fuite du temps, les échecs de l’existence, la mort et ses arrachements. La voix lyrique exprime le regret, le chagrin, le désespoir. L’auteur expose une peine qui peut être provoquée par une déception sentimentale, par la tristesse du temps qui s’enfuit, par l’exil ou par un deuil ; - la beauté sublime de la nature, ou le sentiment religieux. La voix lyrique manifeste le bonheur d’une communion avec la nature. L’auteur témoigne de la plénitude des sensations, du plaisir