Champs Lexicaux Tristesse Musset

superlatifs, gradations, rythmes croissants) - Amples périodes - Champs lexicaux de l’héroïsme, de l’exploit, du merveilleux Fantastique => Susciter l’incertitude, le trouble, l’angoisse, la peur. - Expression du doute (modalisation, interrogation) - Ruptures de la narration et jeux sur la focalisation - Champs lexicaux de la peur, de l’étrange, du monstrueux Lyrique => Exprimer ses sentiments personnels et les faire partager (joie / tristesse, bonheur/ mélancolie) - Marques de la première personne

compléments de lieu. En effet, l’auteur, en décrivant la fille, insiste sur son naturel : il est séduit par son impression de légereté, d’insouciance. Le désir du personnage masculin s’exprime par le fait qu’il demande à la fille de s’en aller dans les champs, ainsi que sous les arbres profonds. Enfin, nous pouvons voir que la description de la nature est érotisée: le printemps est «le mois où l’on aime»; l’évocation de l’eau amène l’idée de «caresse». Donc, le narrateur est fortement attiré par une jeune

la quatrième strophe. D’un seul coup, l’animal peut mourir. Le fait d’utiliser la première personne du singulier permet d’être sûr sur le fait que le chevreuil et Pierre de Ronsard. L’hyperbole du vers 14 (« mille traits ») nous montre l’énorme tristesse de l’auteur. Interpréter Lecture biographique Pierre de Ronsard a rencontré Cassandre et est tombé amoureuse d’elle. Le poème lui est donc adressé.

mouvement européen ? Il est né en Angleterre (auteur allemand= Goette). Mme De stalle amène le romantique en France. Ce courant est d’abord arrivé dans : · la poésie : ü Victor Hugo ü A. de Vigny ü A. de Musset · Peinture : ü Delacroix ü Gericaule · Théâtre : ü Victor Hugo ü A. de Musset · Musique : ü Chopin Les caractéristiques du romantisme : 1) On privilégie la sensibilité et l’imagination plutôt que la raison (lyrisme) 2) Thème de la liberté : Dans le contenu et dans la forme

est venue ménager une progression plus humaine et plus cohérente. On constate qu’il y a aussi une certaine alternance entre Spleen et Idéal tout au long du recueil et ce à travers les différentes sections. Par ailleurs, certains poèmes comme « Tristesses de la lune » et « Les chats » sont des sortes de passerelles permettant de passer d’un thème à l’autre. 3 ème activité: On débute l’étude de « Correspondances » en diffusant ce poème lu par Michel Piccoli (Médiathèque). On demande aux élèves

identique ce qui donne au texte un côté apparemment sobre, objectif. Cette juxtaposition crée un rythme régulier qui conforte l’impression d’objectivité et qui donne au lecteur une sensation de lenteur. Ceci est renforcé par l’utilisation des champs lexicaux de l’immobilité (« s’arrête*5, repart »), de la pesanteur (« dense, masse, épaisse, amas, compact, poids oppressant ») et de la lenteur (« doucement, lentement, ralentit »). B Quelque chose de dérangeant. Cependant, le lecteur n’est qu’en

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 151 Lecture cursive : Les Caprices de Marianne, Alfred de Musset, 1833  . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 151 Ce cours est la propriété du Cned. Les images et textes intégrés à ce cours sont la propriété de leurs auteurs et/ou ayants droit

poème inaugurant des Fêtes galantes s'inspire de paysages ou de scène qui ont traduit, avec sensibilité, insouciance et légèreté et le caractère fictif de la fête du XVIIIe siècle. Pour Verlaine, la fête se trouve complètement imprégnée d'une tristesse et d'une mélancolie qui colle avec le sentiment que l'on éprouve quand on se laisse aller à rêver devant un paysage. Dans ce poème, les personnages que l'on croise ne sont pas nommés et n'existent que dans le monde des apparences, du déguisement

entièrement consacrée au narrateur ("je" omniprésent) semble faire abstraction de tout ce qui n'est pas lui-même. En réalité, le regard intérieur, détourné du contexte , , est entièrement tourné vers la pensée de son interlocuteur, cause de la tristesse du poète, elle est l'élément obsédant de son univers. Enfin le jeu d'alternance portant sur la négation et sur l'affirmation, souligne le refus qu'a Hugo de ce qui l'entoure et affirme la présence obsessionnelle de celle-ci. Traverser des paysages

révolte qu’il ressent, notamment dans son recueil Une saison en enfer, qu’il écrit après une période de crise avec son grand ami Paul Verlaine. Dans ce recueil, il parle d’une harmonie lointaine, et lance un appel au chaos, il est comme possédé par la tristesse et le malheur, preuve du mal qui le ronge. Charles Baudelaire est l’archétype du poète « maudit », avec son œuvre Les fleurs du mal, en particulier la section Spleen et idéal. Le thème du Spleen qui signifie « mélancolie », lui est associé : il est