Chancelier Allemand

traité de brest-litovsk traîner à la reddition de la russie permet à l'armée allemande de se fixer sur le face de l'ouest mais l'échec des pugnace frisé en juin et juillet 1918, le renfort des lier yankee et anglais retire à l'allemagne tout désir de victoire. Dans La Suite août, les forces allemandes refluer en bon ordre, mais avec de important pertes, sur l'ensemble du façade franco-belge. En septembre, l'état-major allemand fait génie à l'empereur que la querelle est perdue. Mais ni Guillaume II,

financières et de certains privilèges. Bien qu’il aime leur fille, c’était essentiellement pour vivre dans de meilleures conditions à cette époque. En dehors de tous les aspects négatifs et tristes de cette période difficile, j’ai remarqué que les allemands étaient finalement respectueux envers leur histoire et enthousiastes d’en parler. D’ailleurs, ils m’ont dit qu’ils étaient déçus de voir à quel point la plupart des gens ignorent ce qui s’est vraiment passé dans ce pays après la deuxième guerre mondiale

impériale il rejeta les conseille du chancelier Bismarck. Le 28 juin 1914 l’archiduc François-Ferdinand fût assassiné par un serbe, juste avant cette incident beaucoup de pays c’était préparé a faire la guerre et il ne manquait plus qu’une goutte pour faire déborder le vase, l’Autriche Hongrie déposa un ultimatum à la Serbie mais ils refusèrent (un seul point le faite d’amener des enquêteurs de l’empire pour résoudre l’affaire). Triple-Alliance : empire allemand, empire austro-hongrois, Italie

l'attentat de Sarajevo, le 28 juin 1914, l'Allemagne soutient son seul allié sûr, l'Autriche-Hongrie face à la Serbie. Si le gouvernement sait qu’il y a risque de guerre, il le pense limité. C’est la politique dite « du risque calculé » définie par le chancelier Bethmann-Hollweg. Quand, le 28 juillet, l'Autriche-Hongrie déclare la guerre à la Serbie, le mécanisme des alliances se met en marche et aucun chef d’État ne l’arrête. Le 30 juillet, la Russie, alliée de la Serbie mobilise. Le 1er août, l'Allemagne

dans la échappée de rethondes, en jungle de compiègne. Plus tard en 1919, à versailles, ils traiter le traité de versailles. le convenir de brest-litovsk traîner à la chute de la russie autoriser à l'armée allemande de se condenser sur le façade de l'ouest mais l'échec des offensives allemandes en juin et juillet 1918, le renfort des alliés américains et anglais quitter à l'allemagne tout soif de victoire. Depuis août, les dynamisme boche reculent en bon ordre, mais avec de important pertes, sur l'ensemble

Victor Emmanuel II peut être ainsi proclamé : roi d'Italie (VERDI !). - Si en 1870, l'unité semble achevée avec l'acquisition de la Vénétie puis de Rome, l'Italie réclame encore Trente et Trieste (les terres irrédentes). b. L'unité allemande - C'est Bismarck, chancelier du Roi de Prusse Guillaume 1er, qui sera l'homme de l'unification. Il fera l'union "par le fer et par le sang": - D'abord contre le Danemark (1864) puis contre l'Autriche (1866), ce qui lui permet d'unir tous les territoires protestants

l’Allemagne marquée par deux moments : abdication du « kaiser » Guillaume II le 9 Novembre (= proclamation de la République) et le 11 Novembre date officielle de la capitulation Allemande. Dans l’esprit d’un certain nombre d’Allemand va s’opérer une équivalence « République = défaite ». L’aval c’est le 30 janvier 1933, Hitler chancelier du Reich, la République de Weimar n’est pas officiellement abolie, à partir de 1934 et de la loi sur les pleins pouvoirs, le régime Républicain est définitivement aboli au

pays voisins de l’URSS ainsi que les Allemands apparaissent comme les principales victimes de ces changements territoriaux. Les pays Baltes notamment perdent leur indépendance acquise en 1918 sans que les populations aient été consultées. Question 3. Lors de ce mouvement qui installe le nouvel empire soviétique à l’est de l’Europe, la Pologne est reconfigurée aux dépens de l’Allemagne, ce qui cause la migration de trois millions de Polonais. Ce sont les Allemands qui souffrent le plus des recompositions

des nationalités au cœur de l'Europe du dix-neuvième siècle (18141871) Entre le congrès de Vienne, tentative de refondation de l'ancien ordre dynastique, pratiquement sans prise en compte des aspirations des peuples, et la proclamation de l'Empire allemand dans la galerie des Glaces du château de Versailles en janvier 1871, l'histoire de l'Europe du dix-neuvième siècle a été largement dominée par la question des « nationalités ». Dès l'automne 1830, la Belgique s'émancipe et la Pologne s'insurge ;

musulmans ;   - pangermanisme de l'Empire allemand qui aspire à achever la réunion des terres allemandes.           b) sur le plan colonial   - rivalité franco-anglaise au Soudan ( Fachoda, 1898 ) ;   - rivalité anglo-allemande en Afrique australe et orientale ;   - rivalité franco-allemande au Maroc ( crise de Tanger en 1905 et d'Agadir en 1911 ) ;   - rivalité franco-italienne en Tunisie.           c) sur le plan géostratégique autour des zones d'influence   - rivalité anglo-allemande sur les mers ;   - rivalité