Chanson québécoise

juin 1894 à Newport (Gaspésie), Québec et morte à Montréal le 20 février 1941)[2],[3],[4] est une auteur-compositrice-interprète québécoise. Musicienne autodidacte, considérée comme la première « chansonnière » du Québec, elle connaît un succès phénoménal auprès du public québécois et la consécration par le biais du disque. Madame Bolduc a donné à la chanson québécoise des années 1920-1930 un vent de fraîcheur: trouver les mots justes et l'humour nécessaire en plein cœur de la crise économique des

ceux-ci. Il composa notamment la chanson Une chance qu’on s’a en 1995. Issue de l’album Écoute pas ça, cette chanson su toucher toutes les générations et faire de cette album un de très grande qualité. Dany Bedar fait, lui aussi, partie des artistes québécois qui ont su se démarquer. Faisant partie de l’album Fruit de ma récente nuit blanche, sortie le 1er janvier 2002, la chanson Faire la paix avec l’amour est un des chef-d’œuvre de Bédar. En lisant les chansons Une chance qu’on s’a et Faire la

Que représente, pour vous, l’identité québécoise à travers la littérature? La littérature québécoise a beaucoup évoluée au cours des décennies. Elle est passée du conte écrit à des romans beaucoup plus élaborés. À leur arrivée sur le nouveau continent, les Canadiens-Français n'avaient pas le temps pour se concentrer sur la littérature car ils devaient avant tout s'assurer de survivre. La littérature a donc été " mise de côté " pendant un certain temps. Cependant, les contes et les légendes continuaient

Leclair, Daniel Poliquin, Michel Vallières, etc. (Précédemment FRAN 2647) LITT 2676F 3 crédits Panorama de la littérature québécoise L'évolution de la littérature québécoise des origines à nos jours, de ses différents mouvements, de ses écoles littéraires. Études d'extraits appartenant aux divers genres (poésie, roman, théâtre, essai) et à d'autres modes d'expression comme la chanson. À une perspective historique s'ajouteront des considérations sociologiques, économiques, politiques et culturelles. On

ficelles, L. Mailhot fait des Mémoires de Claire Martin un « lieu d’exorcisme » (p. 141), ce qu’ils sont assurément. Le chapitre IV, consacré au critique et essayiste Gilles Marcotte, sert de transition entre les « classiques » de la littérature québécoise et les voix plus récentes. En les plaçant sous le signe de « l’intelligence », L. Mailhot parcourt, en les commentant, les plus récents recueils d’essais de G. Marcotte, en attirant l’attention sur leurs parentés. Ces textes, que G. Marcotte qualifie

Censure cléricale et survivance de la littérature Québécoise Introduction La Société québécoise a vécu plus d’un siècle de censure cléricale. L’époque qui nous intéresse ici se situe entre 1810 et 1959. Cette dernière a fait couler beaucoup d’encre et de larmes. Au Québec, la censure principalement du pouvoir religieux du milieu du XIX ième siècle jusqu’à la révolution tranquille s’est affirmée dans les écoles catholiques, les collèges et les couvents du Québec, menaçant même les élèves d’excommunication

 Introduction et Problématique Plusieurs grands débats font en sorte de couler l’encre dans la société québécoise. Que ce soit par rapport aux chefs d’accusations d’un maire, de la corruption au sein des entreprises privées, des éclats qu’ont provoqués des militantes FEMEN à l’assemblée nationale. En revanche, un sujet dont on ne finit pas d’entendre parler est celui des accommodements raisonnables. Il est clair que ce sujet est au cœur des discussions communes puisque le Québec demeure une des

de bec, sans quartier, Mon âme, une charogne éparse au champ des jours, Que ces vieux corbeaux dévoreront en entier. Source : Émile Nelligan. Poésies complètes 1896-1899, [En ligne] La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Littérature québécoise », vol. 43 : version 2.01 [http://www.ibiblio.org/beq] (Consulté le 12 mai 2009.)

 La question de l’égalité a toujours été très chaude au Québec. On y cherche l’équilibre parfait entre la liberté culturelle et religieuse des nouveaux arrivants et la culture québécoise qu’on s’efforce de préserver. Un grand débat s’effectue aujourd’hui même partout au Québec : Les québécois devraient-ils accepter ou refuser le projet de la charte sur la laïcité proposée par M. Bernard Drainville? Je tiens premièrement à préciser que ce débat est surmédiatisé. Aussi, comme partout ailleurs, les

études littéraires à l’Université du Québec à Montréal. En septembre 2000, il publie Carnets de naufrage. Puis, avec son deuxième roman, Chercher le vent, Guillaume Vigneault s’affirme comme l’une des nouvelles voix marquantes de la littérature québécoise. Alors que son roman a figuré plusieurs mois sur la liste des best-sellers depuis sa parution, en octobre 2001, les Éditions Balland (Paris) l’ont publié au mois d’avril 2002. De plus, Chercher le vent a été lancé, en octobre 2002, en langue anglaise