Chant De L Exil Poeme Du Cid

manières by Étienne de Fougères (d. 1178) and verse sermons such as Li Vers des Juïse (Judgement) warned that salvation lay in rejecting worldly temptation, while the themes of the brevity of life, the vanity of human affairs and the need to repent (Le Poëme moral, c.1200) were repeated endlessly, with lurid pictures of heaven and hell serving as carrot and stick. In time, authors added further graphic scenarios to Biblical, hagiographic and other Christian traditions, dramatizing the story of Eden, the

» espagnol typique se soient affirmés chez les classes nobles du Portugal avec une vigueur moins spontanée ? Certes, ce n’est pas sans raison que les Portugais n’ont jamais produit, pendant le moyen âge, rien qui ressemble à l’épopée castillane du Cid. Le langage épique ne fleurit que tardivement chez eux, dans une phase d’abaissement national — la seconde moitié du XVIe siècle — et fleurit, avec Camoëns, sous l’influence directe des modèles classiques, comme une rétrospective de gloires déjà assoupies

autres à l’aune : Levi Strauss que le mot barbare a lui-même une origine, cette origine est celle qui consiste à penser l’homme comme un produit de l’éducation et le mot barbare « se réfère étymologiquement à la confusion et à l’inarticulation du chant des oiseaux, opposé à la valeur signifiante du langage humain ; et sauvage qui veut dire de la forêt évoque aussi un genre animal, par opposition à la culture. Dans les deux cas, on refuse d’admettre le fait même de la diversité culturelle. On préfère

toucher, d’émouvoir. Or, il se trouve que, en cela même, il élève, il purifie, il moralise. Le poète, en effet, et c’est de lui surtout que nous parlons, s’adresse à tous. C’est dire qu’il ne peut chanter que l’universel, si bizarre qu’une telle association des mots doive paraître. Il a beau le chanter sous la forme du particulier, sans quoi la vie manquerait à ses fictions, il n’exclut pas moins le pur individuel, incompréhensible, inexplicable, dénué de vérité s’il n’exprime un rapport (a). Il

l'on prête à quelqu'un, ou ce que l'on croit être l'opinion d'autrui sur ces intentions. Il pourra être présenté comme mi-prononcé, mi-pensé. Sous ce dernier mode très ambigu, Browning s'en est amplement servi dans son célèbre poème The Ring and the Book. » (1) Corneille, Le Cid, acte 1. sc. VI. (2) Rhétorique à Herennius, liv. IV, § 38. (3) Cf. Vico, Delle instituzioni oratorie, p. 151. (4) Cf. § 37 : Problèmes techniques de présentation des données. P 238-239 : « Signalons enfin les figures relatives