Chant des dunes

enregistrements devint leur quête. « On arpentait tous les deux San Jose et Berkeley pour trouver ces enregistrements pirates », confie Wozniak. Jobs me parla longuement de cette période : « On achetait les livrets des chansons et on passait la nuit à les chanter. Les paroles de Dylan nourrissaient l’imagination, développaient notre sens créatif. À la fin, j’avais plus de cent heures de chansons, y compris l’intégralité de ses concerts de la tournée 65 et 66. » (Le moment charnière où Dylan choisit à la guitare

enregistrements devint leur quête. « On arpentait tous les deux San José et Berkeley pour trouver ces enregistrements pirates », confie Wozniak. Jobs me parla longuement de cette période : « On achetait les livrets des chansons et on passait la nuit à les chanter. Les paroles de Dylan nourrissaient l'imagination, développaient notre sens créatif. À la fin, j'avais plus de cent heures de chansons, y compris l'intégralité de ses concerts de la tournée 65 et 66. » (Le moment charnière où Dylan choisit à la guitare

s’étendre. Gustave n’était pas curieux et l’aventurier sympathique le distrayait par le récit de ses nombreuses aventures. Quand ils approchèrent de Mogador l’espagnol fit remarquer à son compagnon la facilité avec laquelle les agaves poussaient dans les dunes, lui suggérant de les exploiter, comme il l’avait vu faire au Mexique, pour en tirer le sisal avec lequel on fabriquait pour la marine des cordages imputrescibles. Alors qu’ils s’étaient arrêtés pour faire reposer les bêtes et que cuisait un lièvre

plusieurs œuvres d’art. Les danses macabres sont d’abord un thème populaire, diffusé en réaction au traumatisme de la crise démographique du xive siècle, sous forme de théâtre de rue (prenant place souvent sur les parvis des églises) et de récits chantés. Elles sont rapidement devenues un thème religieux. En effet elles permettent de démontrer la vanité des plaisirs terrestres et d’inciter à l’humilité et au recours à la religion pour se préparer à une mort qui peut frapper à tout âge les hommes

mal à la maison, très mal. Il n'y a qu'un vieux lit à paillasse dans ma chambre. On ne connaît pas les sommiers, à Canteleu." Elle semblait enchantée: "Tant mieux. Ce sera charmant de mal dormir… auprès de… auprès de toi… et d'être réveillée par le chant des coqs." Elle avait passé son peignoir, un grand peignoir de flanelle blanche, que Duroy reconnut aussitôt. Cette vue lui fut désagréable. Pourquoi? Sa femme possédait, il le savait bien, une douzaine entière de ces vêtements de matinée. Elle ne

très mal. Il n’y a qu’un vieux lit à paillasse dans ma chambre. On ne 319 connaît pas les sommiers, à Canteleu. Elle semblait enchantée : – Tant mieux. Ce sera charmant de mal dormir... auprès de... auprès de toi... et d’être réveillée par le chant des coqs. Elle avait passé son peignoir, un grand peignoir de flanelle blanche, que Duroy reconnut aussitôt. Cette vue lui fut désagréable. Pourquoi ? Sa femme possédait, il le savait bien, une douzaine entière de ces vêtements de matinée. Elle ne

maison, très mal. Il n’y a qu’un vieux lit à paillasse dans ma chambre. On ne connaît pas les sommiers, à Canteleu. Elle semblait enchantée : – Tant mieux. Ce sera charmant de mal dormir... auprès de... auprès de toi... et d’être réveillée par le chant des coqs. Elle avait passé son peignoir, un grand peignoir de flanelle blanche, que Duroy reconnut aussitôt. Cette vue lui fut désagréable. Pourquoi ? Sa femme possédait, il le savait bien, une 392 douzaine entière de ces vêtements de matinée. Elle

maison, très mal. Il n’y a qu’un vieux lit à paillasse dans ma chambre. On ne connaît pas les sommiers, à Canteleu. Elle semblait enchantée : - Tant mieux. Ce sera charmant de mal dormir... auprès de... auprès de toi... et d’être réveillée par le chant des coqs. Elle avait passé son peignoir, un grand peignoir de flanelle blanche, que Duroy reconnut aussitôt. Cette vue lui fut désagréable. Pourquoi ? Sa femme possédait, il le savait bien, une douzaine entière de ces vêtements de matinée. Elle ne

maison, très mal. Il n’y a qu’un vieux lit à paillasse dans ma chambre. On ne connaît pas les sommiers, à Canteleu. Elle semblait enchantée : – Tant mieux. Ce sera charmant de mal dormir... auprès de... auprès de toi... et d’être réveillée par le chant des coqs. Elle avait passé son peignoir, un grand peignoir de flanelle blanche, que Duroy reconnut aussitôt. Cette vue lui fut désagréable. Pourquoi ? Sa femme possédait, il le savait bien, une 392 douzaine entière de ces vêtements de matinée.

très mal. Il n'y a qu'un vieux lit à paillasse dans ma chambre. On ne connaît pas les sommiers, à Canteleu. " Elle semblait enchantée : " Tant mieux. Ce sera charmant de mal dormir... auprès de... auprès de toi... et d'être réveillée par le chant des coqs. " Elle avait passé son peignoir, un grand peignoir de flanelle blanche, que Duroy reconnut aussitôt. Cette vue lui fut désagréable. Pourquoi ? Sa femme possédait, il le savait bien, une douzaine entière de ces vêtements de matinée.