Chant du cygne

troubadours à Apollinaire », parût en 2009 aux éditions Pocket Préface Français Des troubadours à Apollinaire, petite anthologie poétique. (Annie Colognat-Barrès) Après avoir lu l'oeuvre d'Annie Colognat-Barrès, recueil de poèmes et de chants du Moyen-Age au XX ème siècle tous traitant de sujets touchant avec une grande diversité, lire tout ces écrits n'a pas été déplaisant, grâce à ce recueil on peut avoir une autre vision de la poésie et de l'art d'assembler les mots. Notamment grâce

méditation sur la mort. La période du christianisme et du MA : Haut MA : anachorèse : On se retire dans le désert pour rompre avec la société : les anachorètes font l’expérience d’une Mélancolie particulière = acedia. Acédie est mentionnée par Dante au chant 7 de l’Enfer : « l’eau était noire. Nous étions tristes quand il faisait beau : croupisse dans les marais de la même couleur » Grec classique : négligence, indifférence. Peu à peu = abattement, chagrin, lassitude. Se spécialise finalement = les tentations

sont les témoins privilégiés. Le livre de chants Détail de la page de gauche du livre de cantiques Le livre représenté est le Geistlich Gesangbuhli de Johannes Walther, un livre d'hymnes sacrés dont la première édition date de 1524, et donnés dans leur traduction allemande par Martin Luther — dans une langue que pratiquait couramment Georges de Selve, qui, treize ans plus tard, représentera la France à la diète de Spire34. Il est ouvert sur deux chants identifiables, dans leur partie ténor. La

N'ont point tant de plaisirs, Puisqu'il a cru qu'aux champs la place était meilleure Pour flatter ses désirs. On l'a vu dans les champs plusieurs fois se repaître De quelque ébat nouveau, Et chatouiller ses sens sous la forme champêtre D'un cygne ou d'un taureau. Pour le plaisir des champs si ce dieu s'est fait bête, Doit-on à cette fois Dire que j'ai banni la raison de ma tête, Me faisant villageois ? Tant de dieux qui jadis portaient une houlette Ont voulu m'obliger, Bien que

salir au « brou de noix » « les robes des partenaires » féminines ; celle du « géant » recroquevillant son grand corps pour « gên(er) le moins » ; l’image cocasse de deux acteurs de la troupe se livrant à des pitreries (« chante(r) », « enfile(r) un tutu et danse(r) La mort du cygne ») pour réveiller un public atone. Cependant, à ces rapports bon-enfant, la mise en abyme analysée plus haut substitue des relations plus complexes, l’effet produit par la pièce et le jeu des acteurs sur la salle se plaçant

mot contrepèterie. Il fait également de nombreux jeux de mots et des anagrammes avec son nom ainsi que son prénom qui ont été exploré lors du colloque de Cerisy en 1977, par exemple Marcel Duchamp, Marchand de sel, ou même Duchamp du signe, Du chant du cygne. Duchamp a également utilisé l’écriture pour faire un Carton d’invitation de l’hommage à New-York, dans lequel il a fait un cour texte de présentation qui était le suivant  : «  Si la scie scie la scie, et si la scie qui scie la scie, est la scie

la douleur blessante Si vous ne faites droit des torts dont je me plains. Que gagnerez-vous si je me cloître, Si vous ne me tenez pas pour vôtre ? Toute la joie du monde est nôtre, Dame, si nous nous aimons, Je demande à l'ami Daurostre De chanter, et non plus crier. La Rennaissance : La renaissance du xiie siècle est une période majeure de renouveau du monde culturel au Moyen Âge , siècle d'un nouvel humanisme basé sur le renouveau de la culture antique selon l'adage de Bernard de

deux sœurs, ou plutôt deux demi-sœurs, deux filles de Léda : Clytemnestre ("la célèbre courtisée") et Hélène de Sparte ("celle qui prend"), la première était fille d’un mortel, Tyndare, l’autre fille de Zeus (qui avait séduit Léda sous la forme d’un cygne). Ces mariages sont des preuves de la qualité héroïques des deux Atrides ; leurs femmes avaient été courtisées par toute la Grèce. La cour faite par les princes grecs à Hélène est l’objet de nombreux récits : contre toute attente, elle choisit Ménélas

Aristote est le philosophe d’une autre forme de patience. De quoi d'autre ai-je puissance, vieux boiteux que je suis,| |sinon de chanter Dieu ? Rossignol, j'accomplirais la tâche du rossignol, cygne, celle du cygne. Mais puisque je suis | |intelligence, mon devoir, c'est de chanter Dieu. Voilà ma tâche : devenir le rossignol de Dieu. Et vous, joignez-vous à mon | |chant, je vous en prie.  |

J’ai choisit ce poème car Verlaine se sert de la comparaison de la jeune fille avec la poésie pour nous en donner une image flatteuse. ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! Page 4 ! ! ! ! ! ! ! ! ! Initium ! Les violons mêlaient leur rire au chant des flûtes Et le bal tournoyait quand je la vis passer Avec ses cheveux blonds jouant sur les volutes De son oreille où mon Désir comme un baiser S’élançait et voulait lui parler, sans oser. Cependant elle allait, et la mazurque lente